• Samedi 27 septembre 2014 6 27 /09 /Sep /2014 07:52 - Communauté : Les blogs républicains

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    « Dans toutes les guerres, la première victime est la vérité » Winston Churchill

     

     

    Ainsi, nous sommes en guerre. Contre qui ? Contre « les barbares ». Le mot est bien passé : la formule « Etat Islamique », qui est le nom que le groupe en question s’est donné, est interdite d’antenne. Que ce soit sur les radios, sur les télévisions, dans la bouche de nos journalistes, de nos gourous ou de nos intellectuels médiatiques, on n’entend plus que ce mot : « barbares ». La guerre dans laquelle nous nous embarquons est une « guerre contre la barbarie ». C’est plus pratique pour faire taire les voix dissidentes : qui, en effet, osera défendre les « barbares » ?

     

    Qu’on me permette ici un souvenir personnel. Dans les années 1980 – je ne saurais dire la date exacte – le Nouvel Observateur, qui était déjà à l’époque l’organe officiel de la bienpensance de gauche, avait publié plusieurs reportages d’un envoyé spécial du magazine en Afghanistan, envoyé qui avait eu le privilège – ou du moins l’affirmait-il – d’avoir partagé pendant plusieurs semaines la vie d’un groupe de moudjahidine combattant les troupes soviétiques. Si ce souvenir me revient en tête, c’est à cause de la teneur des articles. On y glorifiait la lutte contre les « infidèles ». On y racontait les tortures infligées aux soldats soviétiques faits prisonniers : émasculations, amputation des bras ou des pieds, noyade. On racontait aussi les exécutions, l’utilisation des cadavres mutilés pour effrayer les troupes peu aguerries. Et tout ça, loin de dégoûter le journaliste, était au contraire présenté sous un angle on ne peut plus positif. Dans d’autres reportages, on rendait compte des bombes dans les bazars, destruction d’écoles, exécutions sommaires… et là encore, on ne parlait pas de « terrorisme ». On faisait au contraire preuve de la plus grande bienveillance. A l’époque, personne dans la bienpensance n’avait utilisé le mot « barbarie ». Au contraire : les « barbares » étaient à l’époque reçus à Washington par le président américain Ronald Reagan, et se voyaient qualifier devant les caméras de « combattants de la liberté ». Pourtant, il semble difficile de soutenir que décapiter un journaliste serait un exemple de « barbarie », alors que mutiler un prisonnier puis de l’assassiner et finalement d’utiliser son cadavre comme épouvantail ne le serait pas. Il semble donc que la notion de « barbarie » est moins liée à la nature exacte de l’acte, mais plutôt aux intérêts qu’il sert.

     

    La politique internationale pendant la guerre froide était une affaire de cyniques. Les américains soutenaient un Somoza ou un Pinochet, renversaient un Mossadegh ou un Allende en fonction des intérêts économiques ou stratégiques des Etats-Unis. Mais au moins on n’avait pas la prétention à l’excellence morale. Depuis les années 1980, les puissances n’assument plus la défense égoïste de leurs intérêts et justifient leurs actions au nom d’une morale présentée comme universelle. C’est le camp du « bien » contre celui du « mal ». Et bien évidemment, le « bien » peut faire des choses qui seraient considérées « barbares » si elles étaient le fait du camp du « mal ». Ainsi, par exemple, les mêmes qui aujourd’hui défendent l’intangibilité des frontières de l’Ukraine sont ceux qui hier ont bombardé la Serbie pour l’obliger à consentir au détachement d’une partie de son territoire. Ceux-la mêmes qui pratiquent l’emprisonnent des êtres humains pendant plus d’une décennie – et ce n’est pas fini – à Guantanamo sans avoir à les incriminer devant un juge, et qui confient des prisonniers à d’autres états pour y être torturés font la leçon à d’autres sur l’Etat de droit. Décapiter c’est « barbare », électrocuter sur la chaise électrique est « civilisé ». Ceux qui hier qualifiaient les terroristes de « combattants de la liberté » lorsqu’ils s’attaquaient aux troupes soviétiques crient à la « barbarie » lorsqu’ils tournent leurs armes de l’autre côté. Comment dans ces conditions se retrouver ?

     

    Peut-être en se souvenant à quoi toute cette sémantique sert. Comme le dit le dicton anglais, dans la guerre et dans l’amour, tout est acceptable. Aucun état ne s’est jamais privé des méthodes les plus illégales, les plus horribles, les plus « barbares » lorsqu’il s’est agi de défendre ses intérêts. Mais en même temps, si les sociétés modernes arrivent à maintenir cet ordre indispensable pour atteindre un haut niveau de développement et de productivité c’est parce qu’elles arrivent à soutenir cette fiction qu’est l’Etat de droit, et à susciter chez ses citoyens des inhibitions fortes qui les empêchent de tuer une petite vieille pour lui soutirer ses économies quand ça leur chante. La question est donc comment faire coexister le gentil citoyen qui s’indigne lorsqu’une petite vieille est tuée et lorsque les droits humains sont violés avec le méchant citoyen qui admettra – ou qui ira lui même – torturer son prochain ou l’enfermer à vie sans droit et sans jugement parce que les intérêts de son pays l’exigent.

     

    Dans une société tribale ou clanique, c’est simple : il y a « nous », les membres du clan, et « eux », les autres. « Nous », nous avons des droits. « Eux », n’en ont aucun. Tuer ou voler un membre du clan, c’est violer une loi sacrée et s’exposer à la sanction de la communauté. Tuer ou voler en dehors du clan non seulement ne vous expose à aucune sanction, mais vous pouvez compter sur le soutien du clan au cas où cela tournerait mal (1). En fait, dans ces sociétés la qualité d’être humain, en tant que sujet de droits, n’est reconnue qu’aux membres du groupe. Les autres sont réduits au statut animal : ils peuvent être volés, tués ou réduits en esclavage sans que cela donne lieu à des questionnement moraux. D’ailleurs, dans beaucoup de civilisations primitives le mot « homme » et le nom de la tribu ou du clan se confondent.

     

    Mais tout change, si l’on peut dire, avec les Lumières. On refuse alors l’idée que seuls les membres d’un groupe seraient des êtres humains, et on proclame l’universalité des droits de l’homme. Comment expliquer, une fois qu’on a proclamé l’universalité de la liberté, de la sûreté, de la propriété et de la résistance à l’oppression admettre qu’on a le droit de bâillonner, d’emprisonner, de tuer, de torturer, de saisir la propriété ou de réprimer la révolte de « l’autre » ? Pour aller à la guerre – en dehors des guerres purement défensives – il faut donc s’éloigner de l’esprit des Lumières et déshumaniser « l’autre », le réduire au niveau de la « bête assoiffée de sang », du « barbare », bref, d’un être qui ne saurait avoir de droits. J’avais montré combien ce raisonnement se retrouve en politique chez les partisans d’une idéologie de « guerre civile » qui fleurissent à l’extrême gauche, et dont la division du monde entre « les nôtres » et « les autres » prônée par Mélenchon est un bon exemple. C’est le même mécanisme qu’on retrouve aujourd’hui dans le discours des gouvernants des grandes puissances lorsqu’il s’agit de préparer psychologiquement les populations à une guerre au moyen-orient.

     

    Ce discours fait peut-être partie des « fictions nécessaires » (2). Mais il faut être conscients de ses effets délétères sur le long terme. D’abord, une fois qu’on donne un coup de canif au principe de l’universalité des droits de l’homme, on entre en terrain dangereux. Car tout le monde n’a pas la même définition du « barbare ». Et une fois admise l’idée qu’on puisse déshumaniser les « barbares », certains proposeront d’appliquer le même raisonnement non seulement à « l’ennemi », mais à certains groupes de la société. Nous savons ce que la déshumanisation de « l’autre » pendant la guerre de 1914-18 a rendu possible dans les années 1930 et 1940. En politique, les actes projettent de longues ombres, et on ne peut plus ensuite prétendre que cela n’a jamais eu lieu.

     

    Mais le principal danger, c’est que la qualification de « barbare » ou de « bête assoiffée de sang » interdit tout questionnement. L’adversaire est un chien enragé qu’il faut abattre. Et un chien enragé n’a ni raisons, ni intérêts, ni histoire. On ne peut ni le comprendre, ni discuter avec lui. Cela ne sert à rien de chercher à l’inscrire dans une dynamique historique. On le tue, et le problème est résolu. On peut contempler les résultats désastreux de ce mode de pensée. Les américains nous avaient expliqué que le problème, c’était Saddam Hussein. Saddam Hussein est aujourd’hui mort, et on ne peut vraiment pas dire que cela ait amené une ère de paix et de progrès pour l’Irak. Ensuite, on nous a expliqué que le problème, c’est le « jihadisme », terme vague qui recouvre un peu n’importe quoi. Le combat contre le « jihadisme » fait rage depuis presque dix ans, et on ne voit rien avancer. Et maintenant, nous allons lancer bombes et drones contre les « barbares »…

     

    Talleyrand avait raison : lorsqu’on se fait un trône avec baïonnettes, il est fort imprudent de s’asseoir dessus. La stratégie qui consiste à détruire les régimes et les mouvements qui ne nous plaisent pas en laissant le hasard décider du régime ou du mouvement qui remplira le vide ainsi créé a montré – c’est le moins qu’on puisse dire – ses limites. L’idéologie du « lasser-faire » libéral, dont on connaît les limites en politique intérieure, a eu des résultats désastreux lorsqu’on l’a mise en œuvre dans le plan international. De l’Afghanistan des années 1980 à l’Irak des années 2000, les grandes puissances ont cherché à affaiblir les Etats au lieu de les renforcer. Sans se rendre compte que les Etats sont, par essence, la barrière la plus efficace contre le retour à « la guerre de tous contre tous ». Saddam Hussein, Muhammar Khadafi ne sont certes pas des enfants de cœur. Mais on peut se demander si leurs peuples ont gagné quelque chose de leur renversement. Et la question vaut aussi pour ou Bachar Al-Assad. Hobbes montrait déjà que la question de savoir si le prince était bon ou mauvais était secondaire : la fonction essentielle du prince, est de concentrer le « pouvoir de nuire » de tous et d’empêcher le retour de la guerre civile. Le reste vient en complement. Lorsque l’Etat perd le monopole de la force légitime, ce sont les groupes et les « bandes » qui prennent le pouvoir. Or, un mauvais gouvernement est souvent préférable au chaos, et mieux vaut de mauvaises lois que pas de loi du tout.

     

    Ce que les convulsions des deux dernières décennies nous enseignent, c’est que l’Etat-nation, qui nous semble chez nous une réalité institutionnelle inamovible, est en fait une institution relativement récente, et bien plus fragile qu’on ne le croit généralement. Dans beaucoup de contrées, l’Etat n’est pas encore tout à fait séparé de la personne du dirigeant, et la mort du Prince sans héritier peut provoquer – comme ce fut le cas en Europe jusqu’au XVIIIème siècle – une guerre de succession voire une partition du pays et l’effondrement de l’Etat. Or, l’effondrement de l’Etat n’est dans l’intérêt de personne. Ni des habitants du pays concerné, ni de celui des puissances qui, quelque soient leurs intérêts egoïstes, ont besoin d’interlocuteurs et ont tout intérêt à négocier avec le directeur du cirque plutôt qu’avec les lions.

     

    Descartes

     

    (1) On voit encore aujourd’hui dans certaines régions – Corse, Sicile – ou dans certaines communautés – Tsiganes, Roms – des restes de ce mode de fonctionnement, qui fut pendant des millénaires la structure de base des sociétés. Dans ces sociétés, le meurtre ou le vol ne sont considéré par la société des crimes que si la victime appartient au « clan ».

     

    (2) On peut en douter. Il y a beaucoup d’exemples de combats qui n’ont pas été accompagnés par ce processus de déshumanisation. Missak Manouchian mourant « sans haine pour le peuple allemand » me semble un bon exemple. La gestion de la propagande de guerre par le gouvernement britannique pendant la deuxième guerre mondiale me paraît aussi assez significative. A ce titre, une histoire révélatrice : une anglaise s’était vu reprocher par son voisinage d’avoir traité avec gentillesse un pilote allemand abattu par la DCA en attendant l’arrivée des autorités. Elle avait répondu : « je l’ai assis dans ma cuisine et lui ai servi une tasse de thé, parce que je voudrais que si mon fils, pilote dans la RAF, était abattu sur l’Allemagne il se trouve une allemande pour l’asseoir dans sa cuisine et lui servir une tasse de thé ». Je trouve cette réponse admirable.

     

    source: le blog de descartes


  • LES FRANÇAIS ONT PERDU 1500 EUROS DE POUVOIR D'ACHAT EN 5 ANS

     

     

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    La CGT n'est pas la seule à le dire, le pouvoir d'achat des français recule.

     

    C'est ce que vient de reconnaître le magazine « 60 millions de consommateurs »

     

    Le magazine « 60 millions de consommateurs » de septembre estime en effet à 1500 euros par an, soit 125 euros par mois le recul du pouvoir d'achat depuis le début 2009.

     

     

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    Les ménages français ont, selon lui, été amputés de 4% de pouvoir d'achat depuis cette époque. En cause : une augmentation notable du prix des dépenses contraintes, notamment le logement ou la voiture.  

     

    Pour calculer ces variations, le magazine de l'institut national de la consommation (INC), s'est basé sur l'évolution des prix, des revenus, et de la consommation des ménages.

     

    L’inflation grimpe plus vite que les revenus

     

     

    Les économistes de l'INC ont d’abord calculé le revenu annuel moyen par ménage en incluant les revenus liés aux activités, au patrimoine et aux prestations sociales, et en déduisant les impôts directs et les cotisations sociales. Ils ont ainsi établi le revenu moyen à 37 517 € en 2009 et à 38 591 € en 2014, soit une augmentation de 1 074 € (+ 2,9 %).

     

    Ensuite, ils ont étudié l’impact de l’évolution des prix sur le pouvoir d’achat, poste par poste, et pu calculer que l’inflation a emporté 2 570 € (– 6,9 %) au total.

     

    Mais cela n'est qu'une moyenne: cela cache de grandes disparités. Les populations les plus touchése sont, ce n'est pas une surprise, les familles monoparentales, les jeunes et les personnes âgées.

     

    La baisse du pouvoir d'achat pèse sur l'activité économique.

     

    La CGT ne cesse de le dire: près de 95% de la population active est aujourd'hui salariée.

    C'est la consommation qui tire l'économie: il est donc impossible de relancer la machine économique si l'on n'augmente ni les salaires, ni les pensions.

     

    De leur coté, les retraités sont cette année particulièrement malmenés: le blocage des retraites et l'augmentation des impôts pour plus de 2 millions de retraités, aura un effet négatif sur l'activité économique.

     

    La solution ne se trouve pas dans les restrictions de consommation que propose 60 millions de consommateurs.

     

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    Ce n'est pas en ayant recours à la concurrence, en changeant nos habitudes ou en négociant.

     

    Il n'est pas sérieux de laisser penser que la solution se trouverait dans l'addition 10 € par-ci, 20 € par-là, d'économies, que les salariés pourraient redonner ainsi de la souplesse à leur budget familial. Cela fait des années que tout le monde fait cela et personne ne voit le bout du tunnel !

     

    Pour la CGT il donc est urgent de revaloriser les salaires, et de porter le SMIC à 1700€ !

    C'est aujourd'hui incontournable

     

     

    Tous dans l'action les 30 septembre

    et 16 octobre !

     

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  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
     
    Publication CAPJPO - Europalestine
     

    Barcelone vous invite à Free Palestine !

    vendredi 26 septembre 2014

    En Catalogne, les militants pour la Palestine se mobilisent pour venir en car participer au festival de la solidarité du 1er novembre à Paris. Et en prime, Manu Chao et Jony McLoad ont composé la musique de ce clip, qui fait office de bande annonce en Calalogne. Un grand merci, ainsi qu’à Jana Key !


    Un documentaire de Nadir Dendoune sur Salah Hamouri en préparation

    vendredi 26 septembre 2014

    Nadir Dendoune* fait appel à notre soutien financier pour réaliser un documentaire sur Salha Hamouri et les raisons pour lesquelles, pendant ses 7 ans de prison, en Israël, ce jeune Franco-Palestinien, n’ obtenu aucune couverture médiatique en France ou presque.


    Nouvelles condamnations d’israël par le Tribunal Russel sur la Palestine

    vendredi 26 septembre 2014

    « Il y a urgence, nous sommes à deux doigts d’un génocide comme on n’en a plus connu depuis des années », a alerté l’avocat Michael Mansfield, jeudi, à l’occasion d’une session extraordinaire du Tribunal Russell sur la Palestine, qui s’est tenue à Bruxelles.


    Un Français kidnappé par l’armée israélienne !

    vendredi 26 septembre 2014

    Raed AbuBadawia, Franco-Palestinien, professeur de droit et conférencier à l’université Al-Najjah de Naplouse vient d’être enlevé à son domicile, en pleine nuit, et se trouve détenu par l’occupant dans la prison israélienne de Pitah Tikva, nous alerte Nasrine, la mère de ses 3 enfants, qui vit en France, et qui appelle à l’aide.

     


  • Ce matin en bref // 2014-09-27 // Samedi 27 septembre 2014

    ce matin en brefTreizième jour de grève à Air France après l’échec des négociations, la direction maintient les deux contrats de travail " afin de garantir la compétitivité" de Transavia France, le SNPL a prolongé son préavis de deux jours.
    "Nous le disons très clairement, une nouvelle fois, cette grève doit s’arrêter" a déclaré le premier ministre hier jugeant la grève “insupportable“ , il a refusé de nommer un médiateur demandé par les pilotes.
    Le lycée Isaac-Newton de Clichy a été bloqué hier matin par les élèves mécontents des emplois du temps.
    Cinquième jour de grève de conducteurs de bus à Provins pour des augmentations de salaires.
    Élections sénatoriales demain : inquiétude de la majorité socialiste qui pourrait perdre la majorité au Sénat après la déroute des municipales.
    Le gouvernement a trouvé un remède à la crise de surproduction de fruits et légumes : exonération quasi-totale de charges patronales sur les salaires jusqu’à 1,25 fois le Smic, l’exonération de charges pour les saisonniers sera reconduite dans le budget 2015. Ces mesures rentrent dans l’application du pacte de responsabilité et du crédit d’impôt compétitivité (CICE).
    Un accord prévoyant le recrutement d’éducateurs et une prime exceptionnelle a mis fin à la grève des éducateurs et agents territoriaux de Rueil-Malmaison commencée le 22 septembre.
    Devant le manque criant d’enseignants en primaire en Seine Saint Denis Pôle emploi fait du démarchage téléphonique pour le compte de l’éducation nationale indique l’AFP.


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    Aujourd’hui à 3h11 PM
    Région Poitou-Charentes : Lettre d'information - L'Essentiel

    Si vous ne visualisez pas correctement ce courriel, cliquez-ici

    L'Essentiel Poitou-Charentes
    La lettre d'info de la R?gion Poitou-Charentes 422
    26 Septembre 2014 
    Center Parcs en Poitou-Charentes © Groupe Pierre & Vacances-Center Parcs

    Center Parcs Poitou-Charentes : 600 emplois avec le soutien de la Région

    D'ici quelques mois, le cinquième Center Parcs de France va ouvrir ses portes dans la Vienne sur les communes des Trois-Moutiers et de Morton. L'ouverture de ce Center Parcs contribue au développement économique et à la création de nombreux emplois. La Région accompagne le projet à hauteur de 13 millions d'euros, en soutenant notamment les actions portant sur la formation et l'excellence environnementale.
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    Notre Région Notre Fierté n° 13

    Votre journal "Notre Région Notre Fierté" arrive dans les boites

    Le numéro 13 de votre journal régional sera distribué à partir du lundi 29 septembre. Découvrez-le en avant-première sur le site poitoucharentes.fr rubrique "publications régionales" ! A la Une, les entreprises de Poitou-Charentes, les filières d'excellence et les aides que la Région leur apporte pour la création d'emplois.
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    Ecole Manga en Poitou-Charentes

    Une école du Manga s'installe en Poitou-Charentes

    En avril 2014, la Région Poitou-Charentes s'est portée candidate auprès de l'Agence Française pour les Investissements Internationaux (AFII) pour accueillir sur son territoire le projet de l'entreprise Human Academy d'ouvrir une école en France, dédiée au jeu vidéo et au manga. Séduite par les atouts de la région, cette école va s'installer à Angoulême. La proposition de Poitou-Charentes a attiré l'attention de l'investisseur, qui s'est rendu en France en juin dernier pour visiter trois villes : Angoulême, Rennes et Lille.
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    Edito de Jean-François Macaire
    Dans un contexte économique encore difficile et pour accompagner la transition énergétique, la Région accentue son action en faveur de la relance de l'activité économique et de l'emploi, pour une compétitivité durable des entreprises avec notamment un plan de soutien à l'investissement industriel pour la compétitivité et l'emploi des TPE-PME.
    Approuvé par les élus régionaux le 19 septembre dernier, ce plan accompagne les investissements de compétitivité et d'innovation permettant aux entreprises des filières prioritaires d'améliorer leurs équipements industriels pour qu'ils soient plus productifs.

    Nous aidons aussi les entreprises qui souhaitent réduire leurs consommations d'énergie et aller vers l'autonomie énergétique.

    Avec cet engagement, la Région favorise également les investissements de formation des salariés et le dialogue social, éléments essentiels pour la compétitivité de nos entreprises.


    Jean-François Macaire
    Président de la Région
    Poitou-Charentes
     
    La Région s'engage pour les lycéens
    les Br?ves
    Fête de la Gastronomie : les lycéens à la table des chefs
    Dans le cadre de la Fête de la Gastronomie, du 26 au 28 septembre, la Région Poitou-Charentes lance l'opération "Tables gourmandes dans les lycées". Objectif : servir plus de 30.000 déjeuners bio et gastronomiques à la cantine. Au menu : des plats réalisés à partir de recettes imaginées par les chefs gastronomiques de la région, en collaboration avec les chefs cuisiniers de lycées. L'occasion de sensibiliser les élèves au bio et d'éveiller leur goût, tout en valorisant l'excellence des savoir-faire et des produits régionaux.

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    "J'adopte un projet", le financement participatif made in Poitou-Charentes
    La première plateforme de crowdfunding de Poitou-Charentes vient de voir le jour à l'initiative d'un collectif d'acteurs locaux de la finance participative et solidaire. En ligne depuis le 1er septembre 2014, le lancement officiel du site est prévu lors du salon de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) les 17 et 18 octobre prochains à Niort.

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    La Région soutient les projets des territoires
    La Région met en place des aides à destination des élus, des habitants, des associations et des entreprises. Pour informer les communes de ces aides, Jean-François Macaire, Président de la Région Poitou-Charentes, présente aux maires "la boîte à outils régionale". A cette fin, la Région organise une réunion par département : le 29 septembre en Charente, le 6 octobre dans la Vienne, le 9 octobre en Deux-Sèvres et le 14 octobre en Charente-Maritime.


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    Appel ? projets
    La Région lance régulièrement des aides pour les associations, les entreprises, les collectivités, les jeunes et les particuliers. Retrouvez sur le site de la Région toutes les aides, et dès maintenant une sélection dans votre Essentiel !  
    Agenda
    19 sept. - 16 oct.
    Les Coréades, festival d'automne en Poitou-Charentes

    Les Coréades d'Automne 2014
    En savoir plus
     
    Mois d'octobre
    Les Espaces Régionaux d'Information en région

    Les espaces Régionaux d'Information en région, octobre 2014
    En savoir plus
    26 septembre
    Ligue 2 : Niort reçoit Angers, vendredi soir à 20h00

    Les Chamois Niortais reçoivent Angers
    En savoir plus 
    Appel ? projets
    Chaque semaine dans l'Essentiel, un petit bonus ludique et pédagogique : retrouvez notre quizz et approfondissez votre connaissance de notre belle région Poitou-Charentes !  
    Le quizz de la semaine
    Julien Viaud (1850-1923) était officier de Marine, il se fit écrivain et dessinateur et devint académicien à 40 ans. Pendant 35 ans, sur 38 navires, il parcouru le monde. Originaire de Rochefort, cet homme est plus connu sous son pseudonyme. Quel est-il ?
    • Joseph Kessel
    • Pierre Loti
    • Henri de Monfreid

      Retrouvez la solution dans le prochain numéro
      La réponse de l'Essentiel n° 421 était : hôtel de ville de Poitiers
    La R?gion Poitou-Charentes est aussi...
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