• 25 Juillet 2017

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    Sophie Panonacle, députée de la 8e circonscription de la Gironde, recherche un assistant parlementaire pour travailler dans sa permanence aux côtés de son époux, lequel est directeur de cabinet bénévole de son épouse.

    La description du poste est claire: "Sous l’autorité directe de la députée et aux côtés de son conjoint, directeur de cabinet ( bénévole ), d’une assistante cheffe de cabinet, vous les assistez et les secondez."

    En tous les cas, ce n'est pas un détournement de fonds publics, puisque Christian Panonacle bosse gratos pour son épouse, laquelle dispose chaque mois de 7 696 euros brut en tant que représentante de la nation,  plus 5 840 euros brut pour frais de mandat, afin de gagner le pain du ménage. Plus quelques libéralités de la République comme le remboursement des frais liés à 5 lignes de portables, au remboursement des frais d'installation d'internet et du bigophone fixe dans sa permanence.

    Allez, pour rire, mais pas seulement:

    Une députée macroniste moralise la vie politique à sa façon


  • 24 Juillet 2017

    Publié par El Diablo

    Féru d’histoire, matière qu’il enseigna à l’école militaire de Saint-Cyr, Charles de Gaulle porte dans son cœur le Québec, celui de Jacques Cartier, le Malouin, et de Samuel de Champlain, l’homme de Brouage. Il en veut à la France d’avoir lâchement abandonné en 1763 cette terre de culture française, après la défaite de Montcalm face à Wolfe.

    (...)

    LIEN VERS LA SUITE DE L'ARTICLE CI-DESSOUS:


  • 24 Juillet 2017

    Publié par El Diablo

    François Ruffin (source: france info)

    François Ruffin (source: france info)

    François Ruffin "craque le off" d'un député LREM : "J'ai l'impression d'avoir volé cette place"

    Il avait prévenu : François Ruffin se voit comme un "député-reporter" à l'Assemblée. Mise en application dans la nuit du 18 au 19 juillet...

    Il l'annonçait moins de dix jours après son élection en tant que député Insoumis de la Somme : François Ruffin se voyait bien "député-reporter". Pas vraiment une surprise de la part du réalisateur de Merci Patron !, également fondateur et rédacteur en chef du journal local satirique Fakir. "Je prétends toujours être reporter aujourd'hui, et voilà la manière dont je veux exercer ma fonction", déclarait-il au micro de Jean-Jacques Bourdin le 27 juin.

    Presque aussitôt dit, presque aussitôt fait. Dans la nuit de ce 18 au 19 juillet, c’est sans doute en sa qualité de "reporter" qu’il a publié sur Twitter un off, rédigé "en direct depuis la buvette de l’Assemblée", qui n'a rien à envier aux confidences du genre que l'on peut retrouver à longueur de journaux.

    (...)

    LIEN VERS LA SUITE DE L'ARTICLE CI-DESSOUS:


  • 23 Juillet 2017

    Publié par El Diablo

    Selon l'OFCE, MACRON va aggraver les inégalités

    L’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), publie son évaluation des réformes prévues par Macron d’ici à 2022. Il estime que près de la moitié des mesures destinées aux ménages va profiter aux 10 % les plus aisés. Parmi ces mesures qui favoriseront les 10 % les plus riches, on trouve notamment la réforme de l’impôt sur la fortune (ISF) et la « flat tax » sur l’épargne.

    *****

    Dans une évaluation peu enthousiaste de la politique engagée par le nouveau pouvoir, le think tank jette la lumière sur les cadeaux fiscaux faits aux plus riches.
    Au moins six oreilles (trois paires) ont dû siffler mercredi 12 juillet, celles d'Emmanuel Macron, d'Edouard Philippe et de Bruno Le Maire, lorsque les économistes de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) ont présenté leur évaluation du programme présidentiel pour le quinquennat 2017-2022 [PDF]. Selon eux, ce programme aura en effet pour conséquence d'aggraver les inégalités de pouvoir d'achat et de retarder la décrue du chômage.
    LIEN VERS LA SUITE DE L'ARTICLE CI-DESSOUS:


  • Assistants d'eurodéputés : Jean-Luc Mélenchon va porter plainte pour "dénonciation calomnieuse"

    L'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs d'assistants au Parlement européen a été élargie à l'ancien eurodéputé du Parti de gauche, mardi 18 juillet. 

    Le président du groupe La France insoumise à l\'Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon, lors d\'une manifestation contre la réforme du Code du travail, le 12 juillet 2017 place de la République à Paris. Le président du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon, lors d'une manifestation contre la réforme du Code du travail, le 12 juillet 2017 place de la République à Paris.  (SEVGI/SIPA / SIPA)

    avatar
    franceinfo avec AFPFrance Télévisions

    Mis à jour le 19/07/2017 | 13:36
    publié le 19/07/2017 | 13:25

    Il dénonce un "pilori médiatique". Le député et président du groupe de la France insoumise à l'Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon, a annoncé mercredi 19 juillet qu'il allait porter plainte pour "dénonciation calomnieuse", après l'élargissement de l'enquête concernant des soupçons d'emplois fictifs d'assistants au Parlement européen. L'enquête préliminaire du parquet de Paris à été élargie à Jean-Luc Mélenchon, député européen du Parti de gauche entre 2009 et 2017, et à quatre de ses ex-assistants, a annoncé le parquet de Paris mardi 18 juillet. 

     

    Pour le député de la France isoumise, une "dénonciation sans fondement est une dénonciation calomnieuse. C'est un délit". "Il va donc en cuire à cette personne ! Comme à tous ceux qui auront relayé la dite dénonciation calomnieuse", a t-il écrit sur sa page Facebook. "Je me prépare donc à porter plainte à mon tour pour dénonciation calomnieuse contre cette militante du FN et ses complices", a poursuivi Jean-Luc Mélenchon. 

    En évoquant "cette militante du FN", le chef des députés de la France insoumise fait référence à Sophie Montel, l'eurodéputée frontiste à l'origine du début de l'enquête et de son élargissement à Jean-Luc Mélenchon. Après un premier signalement de l'élue FN, le parquet de Paris avait ouvert le 22 mars une enquête préliminaire pour "abus de confiance", visant une vingtaine d'eurodéputés de tous bords.

     

    Mélenchon "nullement mis en examen"

    La "méthode de la dénonciation est un grand classique de l'extrême droite et sa forme suprême de courage. Au cas précis, cela aura pourtant suffi à déclencher une 'enquête préliminaire' sur une dizaine de députés européens (...) Dont moi. Un gros gibier !", a réagi Jean-Luc Mélenchon sur Facebook. "J'ai donc droit à une place particulière sur le pilori médiatique habituel où tout le monde est montré comme coupable avant d'avoir eu le temps d'ouvrir la bouche", ajoute le député qui rappelle qu'il n'est "nullement mis en examen".

    "Mais ce qui me blesse le plus profondément, c'est que les noms de mes assistants soient cités. Et seulement les miens ! Ce qui souligne la hargne particulière dont je fais l'objet", écrit encore le député de la France insoumise. "J'affirme qu'aucun d'entre eux n'a jamais consacré aucun temps de travail payé par le Parlement européen, sous quelque forme que ce soit, pour une activité au Parti de gauche, au Front de Gauche ou à la France insoumise", explique l'élu.