• TERRORISME. Turquie: un attentat à Istambul fait au moins 10 morts.

     
    Facebook
     
     
     

    MamAfrika TV | Par Allain Jules

    C’est le revers de la médaille. L’attentat suicide dans le quartier de Sultanahmet à Istanbul ce mardi, serait l’œuvre d’un kamikaze venu de Syrie, pour les responsables turques. Ironie du sort, non ? Après avoir soutenu cette terreur-là en Syrie, est-ce le retour du bâton ? Toujours est-il que, ce sont toujours les innocents qui périssent…On se souvient de l’attentat du 10 octobre dernier qui avit fait 103 morts devant la gare centrale d’Ankara. Comme ce cuistre de Erdogan, nous condamnons fermement cet attentat terroriste.

    >>> Suivez-nous sur Facebook

    >>> Suivez-nous sur Twitter 

    Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdoğan, a indiqué que l’explosion de mardi à Istanbul était due à un «attentat suicide d’origine syrienne». «Je condamne fermement cet attentat terroriste», a souligné le chef de l’État islamo-conservateur turc, ajoutant que «la Turquie est la première cible de toutes les organisation terroristes actives dans la région». Il se moque vraiment des gens ce gars. La première cible ? L’Irak et la Syrie seraient donc des paradis sur terre..

    Un peu plus tôt, un responsable du gouvernement avait confirmé les récits de nombreux témoins sur place qui évoquaient la piste d’un attentat suicide. «Nous soupçonnons une origine terroriste», avait-il déclaré sous couvert de l’anonymat. Laquelle ? Le président Assad avait prévenu tous les soutiens des groupes terroristes en Syrie, sans succès. Aujourd’hui, ce terrorisme-là, abject, aveugle et meurtrier, les frappe à leur tour…

     


    En savoir plus sur http://www.mamafrika.tv/blog/terrorisme-turquie-un-attentat-a-istambul-fait-au-moins-10-morts/#GlRiOzpzYHv7MZoo.99

  • Pas de couacs

    In dessin on 12 janvier 2016 at 15:13

    piscineC’est Manuel Valls en personne qui annonce qu’il « présentera lui-même la révision constitutionnelle au Parlement, sans Christiane Taubira ».
    Dont acte.


  • 12 Janvier 2016

    Publié par Michel El Diablo

    ARABIE SAOUDITE: après les mises à MORT un cran de plus dans L'AFFRONTEMENT

     

    Dans notre numéro de décembre N° 434, nous indiquions à propos de la situation au Moyen- et Proche-Orient qu'un : « affrontement inter impérialiste de grande ampleur se prépare... ». Nous n'étions pas les seuls à expliquer que les guerres en cours ne sauraient s'apaiser tant que les intérêts qu'elles recouvrent sont en action. Ainsi, l'organe d'information et d'analyse américain "Foreign Policy" écrivait récemment:" Au cours de ces cinq dernières années dans le Monde, le nombre des conflits armés s'est accru et il ne faut pas s'attendre en 2016 à une amélioration de la situation dans le règlement des crises de guerre". Le développement de la situation, et en particulier l'aggravation du conflit entre l'Iran et l'Arabie Saoudite nous donne raison.


    Décrire ce conflit uniquement comme un conflit religieux entre Chiites et Sunnites, cette analyse superficielle masque en réalité la nature même des conflits en cours dans cette région.


    Les faits sont connus: La mise à mort par la dictature saoudienne de 43 "terroristes" dont un dignitaire Chiite a mis le feu aux poudres dans un chaudron du Moyen-Orient où les guerres impérialistes embrasent la région et au-delà: Irak, Syrie, Libye, Yemen, Afghanistan, Soudan, Liban, Palestine sont au coeur de ces affrontements.


    L'Arabie Saoudite, une dictature théocratique féroce, alliée des USA et de la France qui est un de ses grands fournisseurs d'armes, entend jouer le rôle de puissance régionale pour son compte et celui de ses suzerains. Possédant les plus grandes réserves mondiales de pétrole elle entend maintenir son leadership en abritant sa politique sous le couvert de la défense des populations sunnites. Ainsi, elle mène en alliée et en concurrence avec Daech et Al Qaida la guerre en Syrie, au Yemen et au Nigéria.


    L'Iran l'autre grande puissance régionale qui entend jouer ce rôle est aussi un Etat théocratique. Ses réserves en pétrole sont tout aussi immenses que celles de l'Arabie Saoudite et sa place de leader régional s'assume par des interventions militaires, certes plus discrète, que celles de l'Arabie Saoudite mais non moins réelles.


    Chacun fourbit ses armes et rassemble ses alliés tandis que les puissances impérialistes de premier rang s'appuient sur leurs champions régionaux. Notons que la Turquie et Israël ne sont pas étrangers aux affrontements en cours.


    Tout cela, nous pouvons le lire ou presque dans la presse. Cette réalité n'est que la partie la plus visible de tous ces conflits, la partie la moins visible estsoigneusement cachée.


    Cette partie c'est celle des formidables intérêts capitalistes en jeu. Cette région représente plus de 50% des ressources pétrolières actuelles et dans le détroit d'Ormuz, circulent en direction principalement de l'Asie plus de 30% du commerce pétrolier mondial. Royal Dutch, Shell, Exxon Mobil, BP, Chevron et Total auxquels il faut ajouter les majors gaziers en premier lieu Gazprom, sont les monopoles pétroliers et gaziers les plus puissants. Leur capitalisation dépasse celle de beaucoup d'Etats et ils ont d'immenses intérêts à défendre. Leur concurrence est encore plus féroce lorsque le prix du baril est au plus bas. En réalité, c'est la lutte de ces multinationales qui engendre ces guerres qui sont bel et bien la forme des affrontements au sein de l'impérialisme pour le repartage du Monde.


    La lutte pour la paix et l'indépendance des peuples et des Nations ne peut donc passer que par une lutte résolue contre le capitalisme dans sa forme impérialiste. Le meilleur soutien aux peuples qui souffrent cruellement de ces conflits c'est celui de la lutte contre ces monstres monopolistiques et leur expropriation, au bénéfice des peuples et des Nations.
     

    SOURCE : Site Communistes

     


  • 12 Janvier 2016

    Publié par Michel El Diablo

    Ana Belén Montés
    Ana Belén Montés

    Ana Belén Montés

    Ana Belén Montés

    Ana Belén Montés, née en 1957, est fille d’un couple de portoricains. C’est l’aînée d’une famille de quatre enfants. Son père était médecin militaire et travaillait au sein de l’armée US. Cet homme violent et autoritaire battait sa famille. Sa mère avait obtenu le divorce au bout de 16 ans de mariage. Ana avait alors 15 ans.

    Après avoir obtenu une licence, puis une maîtrise en relations internationales à l’Université de Virginie, Ana est entrée à 28 ans à l’Agence de Renseignement pour la Défense du Pentagone (DIA), où elle devenait, 7 ans plus tard, analyste. Elle a eu quelques temps un emploi fictif à la représentation diplomatique à La Havane, soit disant pour « étudier » les militaires cubains. En 1998, retour dans l’Ile pour cette fois, « observer » le déroulement de la visite du Pape Jean-Paul II.

    Cette femme discrète, devenue analyste de première catégorie au à la DIA, spécialiste de Cuba, avait accès à presque toute l’information sur l’Ile dont disposait la communauté du renseignement, en particulier sur les activités militaires cubaines. De par son rang, elle était membre du très secret « groupe de travail inter agences sur Cuba », qui rassemble les principaux analystes des plus hautes agences de renseignements des Etats-Unis, comme la CIA par exemple.

    Elle a été arrêtée en 2001, jugée et condamnée à 25 ans de prison en 2002 pour espionnage : elle avait remis à Cuba, sans contre partie financière, l’information concernant les plans d’agression des Etats-Unis contre l’île. Elle a risqué sa vie pour défendre la petite île de Cuba de l’agression des Etats-Unis, superpuissance mondiale. Elle n’a par contre jamais nuit aux Etats-Unis ni à son peuple, ni même eu une telle intention, bien au contraire. Pourtant on lui a imputé d’avoir indirectement causé la mort d’un Béret Vert en soi-disant dévoilant un secret de polichinelle : l’existence d’une base secrète yankee au Salvador. Scott W.Carmichael à l’origine de son arrestation, a écrit qu’il n’était pas sûr de sa culpabilité à ce sujet dans son livre True Believer, publié en 2007.

    Voici ce qu’a déclaré Ana Belén Montés dans son plaidoyer lors de son procès, avant l’annonce de sa sentence: « Il existe un proverbe italien qui peut-être, décrit le mieux ce que je crois :

    Le monde entier n’est qu’un seul pays. Dans ce pays mondial, le principe d’aimer son prochain comme soi même, est le guide essentiel pour des relations harmonieuses entre tous les pays.

    Ce principe implique tolérance et compréhension pour la façon de se comporter envers les autres. Il implique que nous traitions les autres nations comme on aimerait être traité : avec respect et considération. C’est un principe que, malheureusement nous n’avons jamais appliqué à cuba.

    Votre honneur, je suis devant vous aujourd'hui pour une activité à laquelle je me suis livrée parce que j'ai obéi à ma conscience plutôt qu'à la loi. Je crois que la politique de notre gouvernement vis-à-vis de Cuba est cruelle et injuste, profondément agressive, et je me suis sentie moralement dans l'obligation d'aider l'île à se défendre contre nos efforts de lui imposer nos valeurs et notre système politique. Nous avons fait preuve d'intolérance et de mépris à l'égard de Cuba depuis plus de 40 ans. Nous n'avons jamais respecté le droit pour Cuba de choisir sa propre voie vers ses propres idéaux d'égalité et de justice. Je ne comprends pas pourquoi nous devons continuer à dicter aux Cubains comment ils doivent choisir leurs dirigeants, qui peuvent ou ne peuvent pas être leurs dirigeants, et quelles sont les lois appropriées pour ce pays. Pourquoi ne pouvons-nous pas laisser Cuba poursuivre son propre chemin, comme le font les Etats-Unis depuis plus de deux cents ans

    

Ma manière de réagir à notre politique Cubaine a peut-être été moralement condamnable. Peut-être que le droit pour Cuba d'exister libre de toute pression politique ou économique ne justifie pas les informations secrètes que j'ai transmises pour l'aider à se défendre. Je peux seulement dire que j'ai fait ce qui me paraissait être juste pour réparer une grave injustice. 

    

Mon plus grand désir est de voir des relations amicales s'établir entre les Etats-Unis et Cuba. J'espère que mon cas contribuera d'une certaine manière à encourager notre gouvernement à abandonner sa politique hostile envers Cuba et à collaborer avec la Havane dans un esprit de tolérance, de respect mutuel, de compréhension... »

    Ana Belén Montés a été en quelque sorte précurseur des nouvelles relations entre Cuba et les Etats-Unis et a agi en harmonie avec les principes fondateurs de la Chartre des Nations Unies..

    Elle est la prisonnière 25037-016 de la prison de Carswell, une annexe du FBI de la Station Aérienne de la Marine des Etats-Unis située au Texas. Elle y est internée dans la section de psychiatrie, bien que ne présentant pas de troubles de ce type. C’est un lieu dangereux pour elle, qui pourrait avoir de graves répercussions sur son état mental.

    Ana Belén Montés est sensée recouvrer la liberté en 2026, dans 11 ans. Elle a déjà accompli 14 ans de réclusion. Elle est soumise à un régime d’isolement extrême. Elle ne peut pas recevoir la visite d’amis, uniquement celles de ses parents et de sa fratrie. Son père est décédé et sa mère est impotente. Sa sœur Lucy et son frère Alberto ont tous deux des postes à responsabilité au sein du FBI, elle à Miami, et lui à Atlanta. Lucy a d’ailleurs été décorée pour sa contribution à l’arrestation des membres du réseau « Avispa » auquel appartenaient les Cinq. Ce ne sont donc pas eux qui vont lui apporter un grand réconfort ! Reste son jeune frère Juan Carlos dont nous savons seulement qu’il tient une crèmerie à Miami.

    Ana est interdite de téléphone, n’a accès à aucun moyen d’information, ni journal, ni revue, ni livre. Elle n’a pas le droit de regarder la télévision et ne peut recevoir de colis. Il lui est même interdit d’avoir le moindre contact avec les autres personnes détenues.

    Les autorités pénitentiaires ne donnent aucune information sur sa santé, les traitements médicaux qu’elle reçoit, ni ne justifient le fait qu’elle soit dans un centre destiné aux personnes souffrant de troubles psychiatriques.

    Le régime carcéral qu’elle subit est plus sévère que celui appliqué aux dangereux criminels et n’est surtout pas conforme aux Droits de l’Homme.

    Un essai a été fait de lui écrire. La lettre a été renvoyée à l’expéditeur en recommandé. Le Bureau fédéral des Prisons y précisait qu’elle ne pouvait avoir de contacts qu’avec ses parents les plus proches, étant donné qu’elle était condamnée pour espionnage.

    En avril 2013, pour la première fois sa sœur Lucy a accepté de répondre aux questions d’un journaliste, en l’occurrence, Jim Popkin. Ses frères se sont opposés à tout interview.

    C’est ainsi que nous avons appris qu’Ana avait voisiné successivement  avec une femme ayant étranglé une femme enceinte, une ancienne infirmière ayant tué par injections 4 patientes et une admiratrice de Charles Manson ayant tenté de tuer le Président Ford. Le travail d’enquête de plus d’une décennie de la journaliste Betty Brink du Weekly, un journal local de Fort Word où est situé Carswell, nous apprend que cet hôpital-prison fédéral a succédé à un précédant fermé entre autres raisons, pour négligence médicale généralisée. C’est très exactement l’identique qui s’y est installé et perdure au vu et su de toutes les autorités en place. Rares sont les critiques, et les dénonciateurs s’exposent à le payer très chèrement. Le terme de « négligence » utilisé est un euphémisme et cette pratique tant sadique qu’assassine englobe des personnels au delà du médical, au regard de chacune des histoires sordides (nombreuses et répétées) ayant pu être connues. Sur une longue période en décennies, et c’est le cas, il est possible de dire qu’elle est structurelle.

    Lucy dévoile que dans une lettre de 14 pages, Ana lui avait écrit « il ne me plait pas d’être en prison, mais il y a certaines valeurs pour lesquelles il vaut la peine d’être en prison, ou qui méritent que l’on se suicide pour ne pas passer tout ce temps en prison ».

    Nous voyons à travers ces paroles qu’Ana a gardé intactes ses convictions, et lui infliger de vivre dans de telles conditions relève du sadisme et doit avoir des effets dévastateurs.

    Nous devons aider cette femme courageuse. Nous devons faire connaître son histoire, et développer des campagnes pour que dans la prison où elle endure sa peine, elle puisse au moins avoir un traitement plus humain.

     

    Jacqueline Roussie

    Maurice Lecomte

     

    SOURCE : Correspondante particulière

    ********

     

    Pour bien commencer l’année.

    L’année 2015 est à marquer d’une pierre blanche pour avoir été celle qui aura donné un élan à la connaissance de l’histoire inhumaine d’Ana Belén Montés.

    Deux livres ont publié son histoire. En mars 2015, celui d’Hernando Calvo Ospina « Latines, belles et rebelles »,  et en avril 2015 celui de Patrick Pesnot (Monsieur X)  «Le grand livre des espions». Son histoire a aussi été publiée dans des revues d’amis de Cuba.

    En cette année 2015, un comité « pour un traitement humain d’Ana Belén Montés » est né dans la société Cubaine. De tels comités ont aussi été crées à Porto Rico, en Italie, en Suisse, en Espagne et sont en cours de création dans d’autres pays. En France nous en sommes aux balbutiements. En attendant, Jacqueline Roussie et Maurice Lecomte assurons la liaison en France, et relayons les actions en faveur d’Ana. Par sa mère, Ana a appris le mouvement de solidarité naissant et en a été bouleversée.

    Au delà de la cause d’Ana Belén Montés, ne perdons pas de vue que c’est son positionnement intimement articulé avec la défense des principes fondateurs de la Charte de l’ONU qui l’a amenée en cellule d’isolement. En soutenant sa cause, ce sont ces principes que nous appuyons. Ils sont la boussole du mouvement internationaliste pour la paix dont nous avons tant besoin, notamment  nous, pays colonisateurs ou néo colonisateurs. La France a été un des pays fondateurs de l’ONU et doit s’en montrer digne.

    Voilà, la liaison est toute trouvée pour la prochaine action, sachant qu’il en faudra bien d'autres et sur le long terme pour que les choses bougent.

    Le 28 février prochain, Ana « fêtera » ses 59 ans. En réalité un bien triste anniversaire pour elle qui vit cloitrée dans sa cellule. Alors ce serait bien qu’à cette occasion nous soyons nombreux à lui envoyer une petite carte. Ne nous faisons pas d’illusion, elle ne la recevra certainement pas, mais quelquefois un gardien plus humain peut faire une petite entorse au règlement. Même si elle ne reçoit aucune de nos cartes, l’administration pénitentiaire verra elle, qu’Ana commence à être connue dans le monde. Avec le précédent des Cinq, cela peut peser, et le Président Obama  dispose d’un éventail d’initiatives possibles ne serait-ce que s’en tenir à la stricte levée de l’isolement absolu. Ce ne serait pas une démarche bien coûteuse pour lui et ne constituerait en fait qu’une simple mise en adéquation avec un respect minimal des droits de l’homme, mais pour Ana Belén Montés ce serait l’ouverture d’une fenêtre sur le monde.

    L’adresse : Ana Belén Montés

    N° 25037-016

    FCM (Fédéral Medical Center) P.O. Box 27137

    Fort Worth, TX 76127

    USA

    Il faut lui écrire un mot gentil et court sur le thème de son anniversaire, mais anodin qui ne se retourne pas contre elle dans cette prison de sinistre réputation.

    Il faut timbrer au tarif « monde » depuis la France.

    Pour que la carte arrive à temps, il faut l’envoyer vers la fin janvier. Pour que nous ayons une idée de l’impact de ce que nous faisons et pouvons faire, informez  nous de l’envoi de votre carte par un simple courriel à l’adresse: kakine.roussie@orange.fr. En décembre la lettre envoyée à Obama l’a été au nom de 261 personnes. 

    Voilà ce que nous voulions vous dire.

    Comme c’est le mois des étrennes, voici la chanson de David Robics et sa traduction. Nous joignons aussi l’histoire d’Ana mise à jour, et un article du professeur Douglas Calvo Gainza « Qui va gagner et qui va perdre dans la bataille pour Ana Belén Montés ? ».

    Ce professeur de théologie cubain a été en 2015 le coordinateur du Comité cubain pour un traitement humain d’Ana Belén Montes.

     

    Le 11 janvier 2016

    Jacqueline Roussie et Maurice Lecomte.

     

     

    D'AUTRES ARTICLES EN LIENS CI-DESSOUS: 

    http://www.legrandsoir.info/ana-belen-montes-29272.html

    http://www.michelcollon.info/J-ai-obei-a-ma-conscience-avant-d.html

    http://mouvementcommuniste.over-blog.com/2015/12/sortons-ana-belen-montes-de-l-enfer.html