• 13 Août 2017

    Publié par El Diablo

    photo d'illustration (source: libération)

    photo d'illustration (source: libération)

    Un peu plus d'un Français sur trois seulement est satisfait de l'action d'Emmanuel Macron en tant que président de la République, près de cent jours après son élection, selon un sondage Ifop. Soit moins que François Hollande à la même période...

    D'après une enquête Ifop pour Le Figaro publiée le 11 août, l'action d'Emmanuel Macron, en tant que chef d'Etat, satisfait une minorité de 36% des Français. A la même époque en 2012, son prédécesseur François Hollande réunissait encore 46% d'avis positifs.

    Près de deux tiers des personnes interrogées (64%) se disent mécontentes du président de la République, dont 19% «très mécontentes», selon cette enquête. Quelques jours après son élection, le 7 mai, 62% des Français se disaient satisfaits d'Emmanuel Macron, selon une précédente enquête de l'Ifop.

    Cent jours après – le 15 août – la suspicion est donc désormais de mise et seules 23% des personnes interrogées considèrent que les choses sont en train de changer «plutôt en bien» en France, contre 39% qui sont d'un avis contraire et 38% pour qui «elles ne changent pas».

    Les Français sont en revanche plus partagés sur la tenue des engagements pris par le candidat Macron durant la campagne présidentielle. Si 45% estiment que le chef de l'Etat tient ses engagements, 55% pensent à rebours.

     

    SOURCE :


  • 13 Août 2017

    Publié par El Diablo

    Le 12 septembre, les ÉTUDIANTS dans la rue contre la politique antisociale et les coupes budgétaires

    Frappés par la diminution de l'Aide personnalisée au logement, titulaires du baccalauréat exclus des universités : les politiques d'austérité, de sélection, de restrictions budgétaires inspirées par les marchés financiers et l'Union européenne frappent de plein fouet la jeunesse


  • Qu'est-ce que l'Union européenne, pourquoi est-il nécessaire de la quitter, et pourquoi n'est-ce pas encore fait? (modifié)

    13 Août 2017 , Rédigé par Réveil Communiste Publié dans #l'Europe impérialiste et capitaliste, #Euroboycott, #Impérialisme, #élection 17, #GQ, #classe ouvrière

    Qu’est-ce que l’UE ?

    L’UE est un processus historique délibérément très lent dont la limite asymptotique est la formation des « États-Unis d’Europe », grand empire capitaliste continental, à tendance de plus en plus oligarchique, sur le modèle réalisé outre-Atlantique, processus dont les peuples concernés ne veulent pas, et dont il s’agit de contourner patiemment la volonté. Mais c’est aussi un processus impossible à mener à terme, parce que l’agenceur de la construction européenne depuis 1948, l’allié américain, qui prend aussi en charge la défense militaire de l’UE, ne veut pas le voir complètement aboutir, car il se satisfait de sa satellisation actuelle. l'Europe est donc le lieu où on débat de la meilleure formule pour sauver le capitalisme, sans pouvoir jamais conclure.

    L’UE est aussi une force expansionniste dans la mesure où l’impérialisme étatsunien et le néo-impérialisme allemand qui pousse son dernier couac peuvent se concilier un moment, contre la Russie ou le monde arabo-musulman.

    Il y a plusieurs forces politiques et culturelles européennes qui veulent voir aboutir le projet d’une Europe fédérale: l’Allemagne (et de par l’influence historique du SPD, une partie de la social démocratie européenne) et l’Église catholique qui vise à une longue influence politique future dans un ensemble politique où elle serait, théoriquement, majoritaire, et une force extérieure non négligeable, la Chine, ou certains secteurs en Chine, qui chercherait ainsi à dissocier en deux morceaux un bloc occidental qui est tendanciellement très menaçant pour elle.

    Il y a d’autres forces qui veulent immobiliser le statu quo d’une zone de libre échange en déclin économique sous protectorat américain : l’allié et patron étatunien, la bourgeoisie parisienne, la Grande Bretagne, les multinationales du Net et de la finance, parce que cette conjoncture prolongée leur permet de s'approprier une plus grosse part du gâteau.

    La petite bourgeoisie est globalement européiste, par conformisme idéologique, sans voir ce clivage.

    Les classes populaires sont globalement anti UE car elles ont compris depuis longtemps que l’UE n’est rien d’autre que le nom de marketing du capitalisme du futur, qui ne leur promet en fin de compte que le chômage et l'anomie, non sans verser parfois dans la nostalgie du capitalisme national de papa.

    Le Brexit a ouvert la contradiction entre les deux forces européistes qui représentent deux projets d’avenir différents pour le capitalisme. Ces deux projets sont également dangereux et la tension entre les deux aboutit à une surenchère belliciste extrêmement dangereuse. Car qu’on veuille une Europe allemande ou américaine, elle sera certainement anti-russe.

    Pourquoi quitter l’UE ?

    1. Pour des raisons de démocratie

    L’UE est un pouvoir politique qui surplombe les institutions nationales de ses pays membres, et qui se trouve entre les mains de personnalités et d’institutions non élues, ou quand elles le sont, non responsables. La logique même de la construction consiste à limiter au maximum l’incidence du suffrage universel. Un des modèles historiques tirés du passé qui peut resservir à penser cette démocratie très limitée est l’Empire austro-hongrois, qu’on nommait avec raison « la prison des peuples ».

    1. Pour des raisons de souveraineté populaire

    Les États membres abandonnent par pans entiers leur indépendance, et perdent leur autonomie en matière de politique économique, budgétaire, monétaire, mais aussi sur le plan de la politique étrangère. A quoi sert dans ces conditions de voter pour des élus qui devront rendre compte en plus haut lieu, à Bruxelles ou à Francfort ?

    1. Pour des raisons économiques

    Le projet économique européen fixé par l’Allemagne est un projet libéral contrôlé, avec monnaie forte, parce que ce choix monétaire favorise les propriétaires au détriment des travailleurs. Il abouti à une désindustrialisation dans tous les autres pays qui y sont associés. A ce projet se superpose la politique globaliste de dérégulation financière qui a les faveurs de la Commission, qui est totalement perméable au lobbying des multinationales. Ces deux politiques également nocives pour l’emploi deviennent catastrophiques pour les travailleurs quand on cherche à les mettre en pratique ensemble.

    1. Pour des raisons sociales

    Ces deux projets sont également producteurs d’inégalité et de précarité, le premier étant favorable à une institutionnalisation de la pauvreté, et le second à une spécialisation parasitaire de l’économie dans la division du travail internationale (finance, marketing, spectacle, idéologie) qui ne propose aux classes populaires que des emplois de service déqualifiés.

    1. Pour des raisons patriotiques élémentaires

    L’identité psychique élémentaire des individus vivants, dans la mesure où elle excède celle de simples consommateurs de marchandises est structurée par leur appartenance nationale. L’Europe est même le continent le plus clivé sur ce plan. La disparition des patries européennes signifiera la mise au rancard de peuples entiers et notamment des classes populaires, ceux qui ne possédant rien possédant au moins leur pays. Sans elles, il n’y a plus aucune intégration à rien d’autre que la marchandise globale, et cela pour les immigrés comme pour les autochtones.

    1. Pour la Paix

    Le projet européen peut bien se faire passer pour la paix éternelle entre la France et l’Allemagne, il signifie bel et bien une attitude fermée et hostile envers les autres continents, un déplacement et un renforcement des barbelés, et une sorte de mise en commun de l’impérialisme et de ses guerres. La guerre exclue de l’intérieur rejaillira aux frontières en des opérations néocoloniales qui prendront prétexte des « valeurs » universelles telles les "droits de l'homme" qui sont appropriées sans vergogne comme patrimoine européen quasi-national.

    1. Parce que l’Europe en fait n’existe pas : c’est l’appendice de l’Occident anglo-saxon, dominé par les États-Unis.

    Le monde actuel est dominé par une structure impériale en emboitement : les États-Unis d’Amérique et leurs multinationales de la finance, du pétrole et du Net, les pays anglo-saxons homogènes aux États-Unis et "junior-partners" qui servent d’amplificateur à leur influence mondiale, la zone satellisée de l’Union européenne, et les pétromonarchies du Golfe, sans parler de la classe dirigeante acculturée des écoles de commerce et des pensionnats de luxe partout dans le monde. L’UE n’est qu’une pièce rapportée de cette structure dont les ambitions sont dépassées par rapport au processus de domination globale à l’œuvre dans le monde.

    Pourquoi ne quitte-t-on pas l’UE puisque tout ce qui précède est bien connu ?

    1. Quitter l’UE comme toute lutte a un coût que le public atomisé et timide actuel redoute d'avoir à payer. D’autant que les défenseurs de l’Europe ne masquent pas leur volonté d’exercer des représailles en un tel cas.
    2. Il existe une très forte propagande pro-UE, activée par des forces idéologiques convergentes et influentes (social-démocratie, libéralisme, anarcho-libertarianisme, christianisme social, gauchisme néo-soixante-huitard), active dès la rédaction des programmes scolaires, et bénéficiant d’une quasi unanimité dans les médias de masse. Cette propagande procède par confusion, répétition, diabolisation et amalgame pour intimider les hérétiques.
    3. L'Europe se moque des principes élémentaires de la démocratie et de la souveraineté du peuple, mais existe-t-il encore dans l'univers consumériste des "citoyens" au sens originaire du terme?  des gens prêts à se battre jusqu'au bout pour ces "valeurs"? Les adversaires de la tyrannie européistes parlent beaucoup mais font fort peu de choses. Tout se passe comme si ces idéaux étaient déjà morts, n'étaient plus que des grands mots.
    4. L’Europe est une tyrannie « non-létales », les forces de répression policières, militaires, et les services secrets agissant dans un cadre national. De ce fait elle ne paye pas le coût politique de la répression.
    5. L’UE est un facteur de corruption de la vie politique de ses pays membres : subventions, ONG, aides ciblées permettent de favoriser systématiquement les partisans de l’UE et de confiner petit à petit ses adversaires dans la marge du politique et dans l’inefficacité.
    6. On adhère à l’UE par « néonationalisme » honteux, par nostalgie de puissance, en un sentiment formé par le résidu des différents romans nationaux élaborés au XIXème siècle et enseignés à l’école jusqu’aux années 1970. On veut participer d’une grande histoire, d’une grande puissance ! La France et l’Allemagne opiniâtrement poursuivent sous le masque européen depuis 1940/45 la vaine tâche de reconstituer leur stature mondiale perdue.
    7. Il existe un inconscient raciste à l’œuvre dans le projet européen qui reste prégnant. Se reconnaître dans l’Europe, c’est qu’on le veuille ou non se reconnaître dans le continent des blancs, des chrétiens et des impérialistes qui s’est défini historiquement contre l’Afrique, L’Asie, l’Islam et la Russie.
    8. L’alternance politique sanctuarise le projet européen : les mécontents sont invités à se prononcer à chaque élection pour une alternative tout aussi pro-UE que le pouvoir sortant. Le débat politique sur cette question centrale est complètement verrouillé.
    9. Le mythe de l’Europe sociale mystifie certains opposants qui sont plus radicaux en parole qu’en réalité : ils veulent employer les moyens bureaucratiques qui sont utilisés pour imposer les normes du libéralisme économique, pour une massive redistribution des revenus à l’échelle du continent. Mais si par extraordinaire des sociaux-démocrates keynésiens redistributeurs et résolus (?) prenaient le pouvoir simultanément dans plusieurs pays et surtout dans les deux pays clés (la France et l’Allemagne), ils seraient obligés de quitter l’UE pour appliquer leur programme qui heurte de front les Institutions telles qu’elles fonctionnent au régime du Traité de Lisbonne (2008), et qui ne sont pas réformables : pour modifier une disposition, il faut obtenir l’unanimité des 27 pays membres ce qui est en pratique impossible. L’Europe sociale n’est donc rien de mieux qu’une promesse électorale pour éternels opposants.
    10. Le plus importants : les adversaires de l'UE qui sont majoritaires, sont divisés en deux camps politiques irréconciliables, placés à l’extrême droite et à l’extrême gauche du champ politique. Bien que ces « extrêmes » ne le soient guère que par les arrières pensées qu'on leur prête à tort ou à raison, dans les faits aucun compromis ni aucune alliance n'est possible entre les deux camps sous peine de désintégration réciproque, et c'est bien là la pièce clef du dispositif qui sanctuarise l'UE. La seule sortie de cette difficulté passe par la reconquête hégémonique du camp anti-UE par "l’extrême gauche", c’est à dire par le champ politique influencé par le marxisme, l’extrême droite ne fonctionnant que comme leurre-épouvantail inconsistant, n’aboutissant qu’à consolider le pouvoir du bloc central européiste. Mais l’extrême gauche ne peut manger l’extrême droite qu’en reprenant à son compte des revendications populaires que celle-ci s’est appropriée, et en rompant ses attaches idéologiques avec le libéralisme global.

    Fondamentalement ce qu’on appelle « l'Europe » représente le projet fatal d’universaliser l’individualisme de masse, de répandre partout un discours consensuel factice lénifiant et endormeur, et de détruire toute forme de résistance sociale ou culturelle à l’uniformisation du monde sous le contrôle des trusts du Net et de la finance. Tout esprit épris de liberté doit la vomir. Abattre la tyrannie rosâtre et (pour l’instant) non-létale de l’Union européenne est une aventure ouverte aux nouvelles générations, aux jeunes de toute origine et de tous les pays européens, c’est un projet à la mesure de notre temps, pour reconquérir la dignité et la liberté des peuples et le droit de replacer l'égalité et le droit au travail à la base de la société.

    Mais ce ne sera pas une affaire tranquille et facile, et il faudra de nouveau que les aspirants au changement social acceptent de résider et de se compromettre avec le négatif. En castillan, "comprometido" veut dire tout simplement "engagé".

     

    GQ, 26 mai - 12 juin 2017


  • Pourquoi fondamentalement remplacent-ils la cotisation sociale par la CSG ?

    Publié le 13 août 2017 par FSC

    NON , le transfert du financement de la protection sociale de la cotisation sociale à la CSG ce n'est pas seulement le creusement des inégalités mais vise à la modification fondamentale du caractère révolutionnaire de ce financement conquis à la Libération avec des hommes comme Ambroise Croizat adossé à un mouvement de masse puissant et à une CGT forte de 5 millions d'adhérents.

    Et c'est donc l'extension de ce système qu'il faut exiger en même temps comme à son origine que la gestion des centaines de milliards en jeu par les travailleurs eux mêmes.

     

    Se reporter à cet égard aux interventions de Bernard Friot  et son interview à l'Humanité du 14 août 2013 :

     

    http://www.frontsyndical-classe.org/article-retraites-b-friot-renouer-avec-et-prolonger-le-caractere-revolutionnaire-des-conquetes-de-la-lib-119554776.html

     

    __________________

    SOURCE : LA MARSEILLAISE

    Plus de CSG pour la sécu, l’idée qui creuse les inégalités

     

    La Sécurité sociale est déficitaire et le gouvernement Macron propose de remplacer le système de cotisation sociale pour son financement par un impôt.

    La déconnecter ainsi du monde du travail et exonérer les entreprises de leur responsabilité conduira à un droit à la santé à deux vitesses, avec des soins pour les riches et d’autres les pour pauvres. Le point avec Jean-Marie Angeli, secrétaire CGT CPAM 13.

    Jusqu’à la mobilisation à laquelle la CGT appelle le 12 septembre, « la Marseillaise  » se propose de porter un éclairage sur les multiples conséquences de la réforme du code du travail et plus généralement par les positions plus que libérales du nouveau président de la République sur tous les aspects de l’activité des services publics et privés. Dans le domaine de la santé comme de l’éducation Premier axe de cette série d’articles, les atteintes à la démocratie sociale, notamment dans les entreprises.

     

    Avec la reforme du code du travail, côté Sécurité sociale, les problématiques se cumulent, et pour le pire. Il y a d’une part son financement qui est remis en question dans un monde du travail de plus en plus précarisé. Et d’autre part, parler d’austérité concernant des prestations sociales pose un véritable problème de fond.

    La refonte qui ressemble à s’y méprendre à une casse du code du travail amène les travailleurs vers plus de difficultés, où les contrats à durée indéterminée se raréfient. Parmi les 24 millions de salariés en France, 7 millions sont précaires aujourd’hui. « Ce qui a un impact sur les cotisations et menace encore plus qu’il ne l’est déjà le système de protection social. Car avec des Smics, les cotisations sont plombées, explique Jean-Marie Angeli, d’autant plus que le choix du gouvernement va à l’exonération dite de charges des patrons ».

    Aujourd’hui au pot commun de ce système de solidarité nationale, abondent pour 58% les cotisations salariales et à hauteur de 23% la cotisation sociale généralisée (CSG), le reste correspondant à diverses taxes. Au fur et à mesure des années, la part de la CSG a augmenté. Et c’est sur cette pente que le gouvernement Macron a mis le cap.

    Or « supprimer les cotisations ne peut pas faire gagner du pouvoir d’achat puisqu’on se retrouvera à payer plus d’impôts sans avoir de salaires augmentés », recadre le syndicaliste qui note par ailleurs que le pays « n’a jamais autant redistribué de dividendes et on nous dit vous devez être compétitifs. La protection sociale est maintenant toujours affiliée à la notion de coût dans une gestion administrative et comptable. Mais ça ne peut pas être le fil directeur. Les patrons réclament la gestion des maladies professionnelles. Si tel était le cas, on pourrait encore attendre les indemnisations pour l’amiante. »

     

    Bricoler des bouts de ficelles

    On fonctionnait avec le système de solidarité nationale où chacun recevait selon ses besoins. On va vers un système universaliste où on a tous droit à sa part, sans pour autant que le trou de la sécu ne se renfloue. Pour les salariés des organismes sociaux, cette démarche se traduit par « faire plus. Quand on faisait 20 dossiers, on nous en demande aujourd’hui 50. On est sur un mode statistique. Il y a forcément des cas qui nous échappent à ce rythme. Et du coup la qualité se dilue dans la quantité.» Pour l’assuré, « moins il y a de rentrée d’argent, plus cela joue sur sa prise en charge ». Il faudra donc une bonne complémentaire. « On coupe le monde de la santé en deux en creusant les inégalités: ceux qui ont les moyens de se soigner, ceux qui ne les ont pas »

    Non pas qu’il ne faut pas réformer le code du travail, mais « dans le sens d’un renforcement, avec plus de moyens pour l’inspection du travail, plus de représentativité dans les conseils d’administration...» propose au contraire la CGT. Encore faudrait-il pouvoir en débattre. Mais le dialogue n’est pas inscrit au menu de ce président-là.

    Myriam Guillaume


  • 13 Août 2017

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    Dans une tribune au Monde, Patrick Braouezec, ex-député coco qui avait soutenu le banquier d'affaires Macron lors de la présidentielle, regrette que le chef de l’Etat n’ait pas su "contenir la puissance de l’argent". Non, ne riez pas encore...

    "J’espérais qu’Emmanuel Macron rompît avec l’immobilisme de Hollande et la politique réactionnaire de Sarkozy", déclare-t-il également. Sans blââguer?

    Il est vrai que le dernier sondage, 100 jours après son élection à l'Elysée, donne 36% de satisfaits à Emmanuel Macron et qu'il est peut-être temps pour certains de tourner sa veste toujours du bon côté.

    Mais aussi, comme disait Edgar Faure,  célèbre politicien français:

    Patrick Braouezec dans la rubrique "Ah il fallait pas, il fallait pas qu'il y aille, ah il fallait pas, il fallait pas y aller