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    Bruno Le Maire aussi a refusé de débattre avec Marine Le Pen à "L’Emission politique", pour des "raisons d’agenda"

    19/10/17

    Bruno Le Maire aussi a refusé de débattre avec Marine Le Pen à "L’Emission politique", pour des "raisons d’agenda"   pour voir la photo en entier cliquez sur ce titre.......

     

    Bruno Le Maire aussi a refusé de débattre avec Marine Le Pen à "L’Emission politique", pour des "raisons d’agenda"

    Publié à 13h02, le 18 octobre 2017 , Modifié à 06h36, le 19 octobre 2017 

    Sur le LAB

    Bruno Le Maire © LIONEL BONAVENTURE / AFP
    Image Sébastien Tronche

    Sébastien Tronche

    Jeudi 19 octobre, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics d’Emmanuel Macron et futur ex-LR, débattra avec Marine Le Pen dans l’Emission politique sur France 2 pour la grande rentrée médiatique de la présidente du Front national. Mais l’ancien directeur de campagne de Nicolas Sarkozy n’était pas le premier choix de la chaîne.

    Ainsi apprend-on ce mercredi par Le Figaro qu’après Laurent Wauquiez, Bruno Le Maire a aussi décliné l’invitation à débattre avec la députée FN et finaliste de la dernière présidentielle face à Emmanuel Macron. Un refus balancé par le député frontiste Sébastien Chenu et confirmé par l’entourage du ministre de l’Economie qui évoque des "raisons d’agenda" en pleins débats budgétaires à l’Assemblée nationale.

    Au Figaro, l’entourage du ministre souligne également que "BLM" a déjà débattu avec la fille de Jean-Marie Le Pen sur France 2. C’était il y a quatre ans.

    Gérald Darmanin s’était amusé de la fin de non-recevoir de Laurent Wauquiez, estimant que Marine Le Pen aurait plus de "contradiction" avec lui qu’avec le favori pour la présidence de LR et tenant de l’aile droite du parti de la rue de Vaugirard. On imagine que sa réaction sera plus nuancée sur le refus de Bruno Le Maire, son collègue de Bercy.

    [BONUS TRACK] Refus en séries

    Outre Laurent Wauquiez et Bruno Le Maire, pour des raisons différentes, plusieurs autres personnalités politiques n'ont pas accepté de débattre avec Marine Le Pen, apprend-on dans Le Parisien du jeudi 19 octobre. Ainsi Benjamin Griveaux, secrétaire d'Etat auprès de Bruno Le Maire, a-t-il lui aussi fait valoir des "questions d'agenda" avec l'examen du budget à l'Assemblée. Egalement sollicité, le patron des Hauts-de-France Xavier Bertrand a décliné pour se "concentrer sur sa tâche à la région", explique son entourage au quotidien. Quant à Manuel Valls, il "ne veut pas être l'invité qui arrive à 22 heures-22h20 sur le plateau".

     
    Posté par Jocegaly à - Commentaires [0]

  • 19/10/17

    En Camargue, des canards remplacent les désherbants dans les rizières

    Crédit photo : Canard des Rizières

     

    Ce riziculteur camarguais utilise des canards plutôt que des pesticides afin de préserver la biodiversité et l'environnement. Une méthode écologique.

     

    Après les canards nettoyeurs de vignes, voici les canards qui nettoient les rizières. Inspirée d’une technique japonaise ancestrale, cette méthode sans engrais ni pesticides est 100% naturelle. Elle permet de lutter contre la dégradation de la nature et contre l’impact négatif des pesticides sur la santé. 

    Bernard Poujol, riziculteur en Camargue, emploie une technique japonaise écologique afin de prendre soin de ses rizières : 1 200 canards laissés en liberté sur ses plantations, avec pour seul mot d’ordre de vivre leur vie de canards en se nourrissant des mauvaises herbes, ce qui permet ainsi d’entretenir les rizières.

    Regardez :

    (Si la vidéo ne s’affiche pas, cliquez ici)

     

    Cette méthode a été mise au point en 1978 par Takao Furuno, un riziculteur japonais bien décidé à ne plus avoir recours aux pesticides, à restaurer la biodiversité de ses rizières et à améliorer leurs rendements, en toute autonomie.

    Crédit photo : Canard des Rizières

    Bernard Poujol confie à Des Racines et des Ailes :

    « On se rend compte qu’on peut vivre en symbiose comme ça. On a réussi à créer un certain équilibre où, finalement, l’homme devient l’organisateur du jardin, et non pas le prédateur. »

     

    Quant aux canards, ils finiront certes dans les assiettes des consommateurs, mais en ayant tout de même vécu une belle vie en liberté dans la nature.

     

     

    Sur : https://positivr.fr/canards-rizieres-camargue-alternative-ecologique/

     
    Posté par Jocegaly à -

  • Notre sélection des sorties

    en Sud-Avesnois

    pour un week-end réussi !

     

     




    Du 3 octobre au 3 décembre

    Exposition bricolage

    rationnel et magique

    MTVS

    FOURMIES
     
     

     
     



    Du vendredi 20 au

    dimanche 22 octobre


    Exposition des Ymagiers

    Salle des fêtes

    GLAGEON


     

     

     

     



    Samedi 21 octobre

    La nocturne du ValJoly

    A partir de 19h30

    Station Touristique Du ValJoly


    EPPE-SAUVAGE

     

     
     

     
     



    Dimanche 22 octobre

    Concous officiel

    Equifeel

    Ecuries de la Demi-Lieue

    TRELON

     
     

     



    Dimanche 22 octobre

    Jeu du cheval de bois

    Ecuries de la Demi-Lieue


    TRELON
     
     
     

     
     



    Dimanche 22 octobre

    Fest'loc Rock Rolly

    Salle des fêtes

    A partir de 14h00

    TRELON

     

     
     
    Contactez-nous !

    Office de Tourisme du Sud-Avesnois
    20a, rue Jean Jaurès - BP 20077 - 59613 FOURMIES Cedex
    Tél.: +33 (0) 3 27 61 16 79 - Fax: +33 (0) 3 27 57 30 44

    contact @ sudavesnoistourisme.fr
    www.sud-avesnois-tourisme.com


    Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h
     
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  • La fin des cotisations sociales signera la mort de la Sécurité Sociale !

    Publié le 19 octobre 2017 par FSC

    SOURCE : L'Humanité

    Si le mouvement ouvrier et le peuple ne se bouge pas plus que ça, la SECU C'EST FINI... et reviendra alors ce que Croizat appelait "la terrible angoisse du lendemain et la vieille obsession de la misère"

    par Michel Etievent

    ll est à craindre que les français ne soient pas conscients de ce qu'ils sont en train de perdre avec les attaques violentes contre la sécurité sociale.

    Ce formidable projet de société, imposé par le peuple français à la libération et qui, selon Ambroise Croizat, le bâtisseur, devait « mettre fin à l'obsession de la misère et aux incertitudes du lendemain" est aujourd’hui en passe de s’effondrer sous les coups de boutoir du gouvernement contre ce qui fait son fondement solidaire : la cotisation sociale.

    Au fil des 70 ans qui nous séparent de sa création, un continuum acharné de mesures de dégradation et de plans de casse successifs n’a cessé de mettre à mal une institution devenue pierre angulaire de notre identité sociale. Dès sa conception en effet, droite, patrons, médecins libéraux, lobbyings privés de tous ordres, ont peu à peu sapé les principes fondateurs de l’institution.

    A ces oppositions, un moment tues par le rapport de force de l’époque, s’est ajoutée une avalanche de réformes passant par les ordonnances gaulliennes de 1967 qui ont fait basculer sa gestion dans les mains du patronat, les plans Barre de 1980 libérant les honoraires, les mesures Fabius ouvrant aux complémentaires santé la gestion de la protection sociale, l’impôt CSG de Rocard l’étatisant progressivement. Viendront ensuite les mesures Georgina Dufoix imposant forfait hospitalier et déremboursements successifs, les lois Veil Balladur de1993 à 1995 allongeant la durée de cotisation à 40 ans et accélérant la fermeture des hôpitaux de proximité, les plans Chirac Raffarin attentant aux retraites, les lois Jospin de 2001 imposant les règles assurantielles et les normes européennes aux mutuelles. Sans oublier les lois Douste Blazy de 2004 qui videront les conseils d’administration de leurs pouvoirs en chapeautant la sécurité sociale par la création de l’Uncam directement nommée par l’état. N’oublions pas enfin l’instauration de la T2A en 2005, les lois Bachelot de 2009 confiant la gestion de la protection sociale aux « préfets sanitaires » des agences régionales de santé. En imposant l’obligation de mutualité d’entreprise, l’ANI 2013 accélérera un peu plus la voie de la privatisation.

    Si la destruction affichée de la cotisation sociale par le gouvernement Macron, n’est pas récente, elle est aujourd’hui ouvertement frontale et délibérée. Le rêve du patronat devenu une arme de gouvernement néo libéral. Il importe de rappeler la quadruple peine qu’elle impose aux bénéficiaires. Elle est tout d’abord une amputation directe du salaire dont la cotisation est partie intégrante.

    C’est un « salaire socialisé » fondé sur les richesses créées dans l’entreprise. La seule création de richesse qui va directement du cotisant vers le bien être des gens afin de faire face aux aléas de la vie sans passer par la poche des actionnaires. Si le salaire net c’est pour le quotidien du mois, le salaire brut c’est pour la vie. La seconde peine réside dans la destination même de cette « économie » patronale.

    Elle n’ira ni vers l’emploi, ni l’investissement mais servira comme le gouvernement l’annonce à « restaurer » ou à augmenter les marges patronales et à gonfler les poches des actionnaires. (80% des profits patronaux terminent leur course dans la poche des actionnaires). A cette atteinte aux salaires, s’ajoute la troisième peine : la hausse de la CSG qui alourdit la feuille d‘impôt et plus gravement encore fiscalise et étatise un peu plus encore la sécurité sociale.

    Depuis 1995 la part de la fiscalisation dans le financement de la sécu est passé de 4, 9 à 28 % tandis que la part de la cotisation sociale tombe de 86,8 à 67,3 %.

    Imagine-t-on ce que pourrait devenir une sécurité sociale entièrement abandonnée aux mains de l’état ? Une seule loi ou ordonnance à l’image de ce qu’a vécu l’Espagne pourrait engendrer coupes sombres ou pire privatisation immédiate.

    La quatrième peine est encore plus lourde. Par la fin du grand principe de solidarité, la mort de la cotisation sociale n’est rien d‘autre que la mort de la sécu.

    Une coquille vide prête à être livrée au privé, aux assurances santé inégalitaires et coûteuses. La fin du droit de vivre dignement…

    Michel ETIEVENT (article publié dans l'Humanité)


  • Concertation bidon!

    Publié le 19 octobre 2017 par FSC

    C'est le Monde qui le dit!

    Alors côté syndical à quoi bon contribuer à donner l'illusion que le pouvoir macronnien concerte !

     

    Et par ailleurs en diverses occasions il a estimé 

     

    Que les syndicats ne représentent pas l'intérêt général,

    ET affirmé :

    " Je suis pour un changement profond de la répartition des rôles entre l'Etat et les partenaires sociaux, qui font beaucoup plus de politique que de dialogue social"

    La CGT étant particulièrement visée par ce genre de déclarations.





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