• 17/10/17

    «Un esprit malin» : les services de renseignement voulaient recruter le terroriste Mohammed Merah

    16 oct. 2017, 18:27 - Avec AFPSur RT Mohamed Merah lors d'un rodéo automobile L'ex-patron du renseignement intérieur toulousain a expliqué devant la cour d'assises de Paris, où comparait le frère du djihadiste Mohammed Merah, que sa direction centrale imaginait recruter le terroriste un mois avant qu'il ne passe à l'action. C'est après un voyage de Mohammed Merah au Pakistan, entre août et octobre 2011, que la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) avait voulu voir le jeune... [Lire la suite]
     
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    17/10/17

    «Sa a été le plus beau moment de ma vie» : une lettre de Merah à Sarkozy dévoilée dans la presse

      22 sept. 2017, 21:52 Sur RT Mohamed Merah lors d'un rodéo automobile. Une lettre manuscrite, qui aurait été rédigée par le terroriste Mohamed Merah après ses attaques, a été révélée dans la presse. Dans cette missive à l'orthographe approximative, il revient sur ses mobiles et assure ne pas regretter ses actes. L'hebdomadaire Marianne a révélé le 22 septembre le contenu d'une lettre manuscrite attribuée au terroriste Mohamed Merah, partiellement adressée à celui qui était à l'époque président de la... [Lire la suite]
     
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    16/10/17

    Dans ses enregistrements, Merah dit avoir été trahi par les services secrets français

    >Faits divers|12 juin 2012, 14h16| C'est un document explosif, qui pose autant de questions qu'il apporte de réponses. «Le Parisien-Aujourd'hui en France» a pu se procurer la retranscription des deux enregistrements vidéos réalisés par Mohamed Merah le 22 mars dernier à Toulouse, à la fin du siège au cours duquel il a perdu la vie. D'après ce document, révélé ce mardi matin par le quotidien algérien «Echourouk», Merah était bel et bien «traité» par les services secrets français. Le parquet de Paris a dans la foulée demandé... [Lire la suite]
     
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    16/07/15

    Mohamed Merah travaillait pour les RG.La DCRI est chargée de l'enquête alors qu'elle st elle-même mise en cause.

      La DCRI est chargée de l'enquête sur les meurtres commis par le djihadiste. Alors qu'elle est elle-même mise en cause. Par Armel Méhani et Aziz Zemouri Publié le 07/06/2012 à 21:37 - Modifié le 08/06/2012 à 08:15 | Le Point.fr La famille d'Imad Ibn Ziaten, assassiné par Mohammed Merah à Toulouse, a été reçue par les juges antiterroristes le 14 mai.AFP©Mehdi Fedouach Le 18 octobre 2007, Mohamed Merah faisait l'objet d'un contrôle routier aux abords d'un quartier de Toulouse. Au volant d'une BMW, le conducteur et... [Lire la suite]
     
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  • Points de vue russes sur les référendums séparatistes en Espagne et en Irak



    Saker USSaker US

    Par le Saker – Le 5 octobre 2017 – Source The Saker

    Les récents référendums en Catalogne et au Kurdistan, tout en n’étant pas des développements essentiels pour la Russie, ont provoqué un débat animé dans les médias et le public russes. Le Kremlin lui-même s’est retenu de faire des déclarations fortes, ce qui peut indiquer qu’il pourrait y avoir différentes opinions sur ces questions dans des ministères importants. Examinons ces deux situations d’un point de vue russe. 

    Kurdistan

    C’est le plus simple, en comparaison : il est impossible que la Russie prenne le risque de s’aliéner l’Iran, l’Irak, la Syrie et la Turquie. En outre, le « Kurdistan indépendant » est si évidemment un projet américano-israélien qu’il n’y a aucun électorat en Russie pour le soutenir. Ou existe-t-il ?

    N’oublions pas que malgré tous les sourires et les déclarations d’amitié réciproque officiels, Erdogan n’a pas, et n’aura jamais, jamais, la confiance du Kremlin. En plus, n’oublions pas que la Russie et la Turquie se sont affrontées dans douze guerres (1568-1570, 1672-1681, 1686-1700, 1710-1713, 1735-1739, 1768-1774, 1787-1791, 1806-1812, 1828-1829, 1853-1856, 1877-1878, 1914-1918). Nous ne devrions pas non plus oublier le rôle joué par la Turquie dans son soutien au terrorisme takfiri en Tchétchénie. Ou le fait que Erdogan lui-même porte une immense responsabilité dans le bain de sang en Syrie. Oh, et il y a le problème du bombardier russe abattu (avec l’aide des États-Unis) dans l’espace aérien de la Syrie. Donc, dans l’ensemble, il s’est passé beaucoup de choses dans le passé et les Russes ne les ignoreront pas. Alors qu’il n’est certainement pas dans l’intérêt national de la Russie de soutenir totalement un Kurdistan indépendant quelque part (ce qui signifie pas en Turquie, pas en Irak, pas en Iran et pas en Syrie), un approche inspirée par la Realpolitik suggèrerait que les Russes ont un intérêt objectif à laisser la question kurde s’envenimer, uniquement pour avoir un levier potentiel contre la Turquie. Est-ce du cynisme ? Oui, absolument. Je ne dis pas que c’est moralement et éthiquement juste, seulement qu’il y en aura en Russie qui défendront cette position.

    Je pense que le vrai problème pour la Russie est le suivant : la paix entre la Russie et la Turquie est-elle encore possible ? Personnellement, je le crois et, non seulement cela, je crois même que la paix entre la Russie et la Turquie est absolument nécessaire. Et cela, à son tour, signifie qu’elle pourrait être inévitable. Je vous explique.

    Premièrement, les dynamiques des XXe, XIXe, XVIIIe, XVIIe et XVIe siècles ne sont pas transposables au XXIe siècle. Si les facteurs géographiques n’ont pas changés au cours de ces derniers siècles, les réalités militaires l’ont fait. Oui, la Russie et la Turquie peuvent encore être en concurrence pour l’influence ou le contrôle de la mer Noire, mais pour la première fois dans l’Histoire, le résultat d’une guerre russo-turque est devenu absolument prédictible : la Russie gagne, la Turquie perd ou même disparaît totalement. Les Russes le savent, et les Turcs aussi. Il est extrêmement peu probable que cela change dans un futur prévisible.

    Deuxièmement, je dirais que la Russie et la Turquie ont des problèmes communs et des ennemis communs. Assurément, la Turquie est encore membre de l’OTAN, je ne pense pas que cela changera bientôt, mais sa participation dans le processus perd beaucoup de sa substance. La tentative de coup d’État contre Erdogan, totalement soutenu et aidé par les États-Unis, est une puissante illustration qu’avec des amis comme les USA, la Turquie n’a pas besoin d’ennemis. Donc examinez la question du point de vue turc : que veulent la Russie et les États-Unis pour la Turquie ? Les États-Unis veulent que la Turquie soit une colonie étasunienne et l’utiliser contre la Russie, l’Iran et les pays arabes dans la région ainsi que pour soutenir Israël. Que veut la Russie de la Turquie ? Qu’elle soit un partenaire prévisible, fiable et vraiment indépendant avec lequel elle peut travailler. Maintenant, si vous étiez turc, quelle option vous intéresserait le plus ?

    Troisièmement, les anciens ennemis peuvent devenir des partenaires – pensez seulement à la France et à l’Allemagne, par exemple. Cela peut se produire lorsque des facteurs objectifs se combinent à une volonté politique et « poussent » ensemble à une transition fondamentale d’ennemis à partenaires. J’incline de plus en plus à penser que cela pourrait advenir entre la Russie et la Turquie.

    Je ne pense pas jouer ici au « jeu du contentement » de Pollyanna. Et oui, il y a encore une masse de problèmes en Turquie qui peuvent s’embraser, y compris la mégalomanie d’Erdogan, les fantasmes impériaux néo-ottomans, une méchante sorte d’islamisme ottoman, la politique toxique de la Turquie à l’égard de Chypre, de la Grèce et de la Serbie, etc. Mais la Russie ne peut pas se plaindre de la stupidité aveugle des Européens de l’Est qui échouent à saisir les différences fondamentales entre l’ancienne URSS et la nouvelle Russie et en même temps agir comme si la Turquie moderne était l’ancien Empire ottoman. Il y a des moments dans l’histoire où ce qui est exigé de dirigeants sages, est d’avoir le courage intellectuel de comprendre que quelque chose de fondamental a changé et que les anciennes dynamiques ne s’appliquent tout simplement plus. À tout le moins, la Russie devrait faire tout ce qui est en son pouvoir pour encourager la Turquie à abandonner ses anciennes manières et à suivre la Russie dans la compréhension que son futur n’est pas avec l’Ouest, mais avec le Sud, l’Est et le Nord.

    Quatrièmement, la question kurde présente aussi un risque indirect sérieux pour la Russie : même si celle-ci n’est pas directement impliquée, des tensions ou, Dieu nous en garde, une guerre dans n’importe quelle combinaison de la Turquie, de l’Iran, de la Syrie et de l’Irak serait un désastre pour la Russie parce que tous ces pays sont, à des degrés divers, des alliés des Russes. N’importe quel conflit entre ces pays les affaiblirait et, par conséquent, affaiblirait aussi la Russie.

    Pour toutes ces raisons, je suis personnellement convaincu qu’avoir un problème kurde persistant n’est pas dans l’intérêt national russe. Cependant, il n’est pas dans l’intérêt national des Russes d’essayer de s’impliquer profondément sur cette question. Au mieux, les Russes peuvent proposer d’agir comme intermédiaires afin d’aider les parties à trouver une solution négociée, mais c’est tout. La Russie n’est ni un empire ni un gendarme mondial et elle n’a pas à essayer d’influencer ou, encore moins, de contrôler les résultats dans cette affaire épineuse.

    Israël et les États-Unis feront tout leur possible pour empêcher la Turquie d’intégrer des partenariats régionaux avec la Russie ou l’Iran, mais ce pourrait n’être pas assez pour empêcher les Turcs de comprendre qu’ils n’ont pas d’avenir avec l’UE ou l’OTAN. Dans l’Empire anglosioniste, certains sont plus égaux que d’autres, et la Turquie ne se verra jamais garantir un quelconque partenariat véritable dans ces organisations. Le résultat est le suivant : la Russie a beaucoup à offrir à la Turquie et je crois que les Turcs commencent à le comprendre. La Russie peut, en outre, faire beaucoup mieux que soutenir simplement le séparatisme kurde comme moyen de maintenir la pression sur Ankara. « L’ennemi de mon ennemi est mon ami » est trop primaire pour être à la base de la politique de la Russie à l’égard d’Ankara.

    Pour toutes ces raisons, je ne vois pas la Russie soutenir le séparatisme kurde. Elle n’a rien à gagner à soutenir ce qui est clairement un projet américano-israélien destiné à déstabiliser toute la région. Je crois que les Kurdes eux-mêmes ont commis une immense erreur historique en s’alignant sur les États-Unis et Israël et que par conséquent ils vont récolter les fruits amers de cette erreur de calcul stratégique : personne dans la région ne soutient un « second Israël » (à part Israël, bien sûr) et la Russie pas plus que les autres.

    Catalogne

    La Catalogne est loin de la Russie et le résultat de la crise là-bas n’aura aucune influence réelle sur les intérêts nationaux russes. Mais sur un plan politique, la Catalogne est très importante pour les débats politiques russes. Voyez vous-mêmes.

    Le cas de la Catalogne est comparable à celui de la Crimée : un référendum local, organisé contre la volonté du gouvernement central. En revanche, lorsque le Kosovo a été détaché de la Serbie dans l’illégalité la plus totale et sans aucune sorte de référendum, tout l’Occident a fait une standing ovation à cette abomination. Les Russes émettent alors de sérieux avertissements sur le précédent que cela constitue et ensuite s’est produit en Ossétie du Sud, en Abkhazie et en Crimée. La sécession de la Catalogne n’est-elle pas l’étape suivante logique ? N’y a-t-il pas une beauté karmique dans le fait que l’Espagne et le reste de l’UE sont maintenant frappés par le même démon qu’ils ont lâché sur le Kosovo ? Il y a une certaine Schadenfreude pour de nombreux Russes à voir ces ânes pompeux de politiciens européens assis sur le nid de fourmis rouges du séparatisme – voyons combien vous êtes vraiment intelligents et « démocratiques », les gars ! C’est assez drôle, de manière douce-amère, de voir comment des policiers « démocrates » frappent des manifestants pacifiques dont le seul « crime » était de vouloir mettre un bulletin dans une urne. Beaucoup de Russes disent maintenant que la Russie est aujourd’hui le seul pays véritablement démocratique et libre qui reste. Inutile de dire que la manière dont le gouvernement de Madrid a géré cette situation porte encore plus atteinte à la crédibilité de l’Occident, de l’Union européenne et de toute la notion d’une « Europe civilisée » qui serait « démocratique ».

    Mon sentiment est que la manière dont le gouvernement central a traité cet événement a aliéné la plupart des Russes qui sont tout simplement déroutés par la stupidité crasse et la brutalité inutile de la répression policière pendant le vote : qu’est-ce que les flics essayaient de faire ? Ont-ils vraiment pensé qu’ils pourraient empêcher le vote ? Et quel est le sens de nier qu’un référendum a eu lieu ? Et que dire de l’éloge de la police et de son comportement ? Je dois dire, malgré tous mes préjugés pro-espagnols, que la manière dont Madrid a géré tout ça me semble extraordinairement stupide et suicidaire.

    Historiquement, l’URSS a été du côté républicain pendant la guerre civile espagnole et il existe toujours de nombreux liens entre la Russie et la Catalogne aujourd’hui. Il y a cependant aussi de la sympathie entre la Russie et l’Espagne et les Russes comprennent que l’Espagne soutient toutes les politiques américaines à l’égard de la Russie parce qu’elle est une colonie étasunienne totalement soumise. Pourtant de nombreux commentateurs russes ont parlé du « fascisme » de Madrid dans sa gestion des événements en Catalogne, et les images d’anti-séparatistes criant des slogans franquistes n’a pas aidé.

    Certains Russes, cependant, libéraux pour la plupart, mettent en garde contre le soutien aux mouvements séparatistes en Europe à cause de la Russie, elle-même nation multi-nationale, et du risque que la mode séparatiste y revienne. Je ne crois pas que ce soit un véritable risque. Pas après la Tchétchénie. Je ne vois pas de région qui soit vraiment intéressée à tenter de se séparer de la Fédération de Russie. Le cas échéant, je vois plus de possibilités pour diverses régions de l’autre côté de la frontière russe de rejoindre la Russie (la Novorussie pour commencer).

    La question qui divise beaucoup de Russes est la suivante : la Russie s’en tire-t-elle mieux avec une UE forte, parce qu’une UE forte pourrait être plus apte à tenir tête aux États-Unis ou la Russie est-elle mieux avec une UE faible, parce qu’une UE faible affaiblit le « front » occidental contre la Russie ? Mon opinion personnelle est que l’UE est condamnée de toute façon et que son effondrement serait une bonne chose pour les peuples d’Europe parce que cela nous rapprocherait de l’inévitable décolonisation du continent européen. Cela me suggère l’idée que tandis que le résultat final de la crise actuelle est probablement sans importance pour la Russie, le fait qu’une crise ait lieu est à son avantage.

    Je pense que la plupart des Russes ont des sentiments positifs à l’égard de l’Espagne comme de la Catalogne. Les seuls sentiments clairement négatifs que j’ai vus ces derniers jours sont provoqués par la manière brutale et idiote dont Madrid a traité la crise : la plupart des Russes sont sincèrement consternés par la violence et l’hypocrisie des politiciens européens. Mais sinon, la position du Kremlin, « c’est un problème interne à l’Espagne », est probablement soutenue par une majorité d’experts. La Russie n’a rien à gagner à s’immiscer dans la crise et elle ne le fera donc pas.

    Conclusion

    Les récents référendums au Kurdistan et en Catalogne ont le potentiel de se transformer en l’étincelle proverbiale qui provoquera une immense explosion. Les Russes sont conscients de ce risque et feront ce qu’ils peuvent pour éviter un tel résultat. Contrairement aux États-Unis qui se nourrissent de crises, d’où leur soutien public aux Kurdes et leur soutien caché aux Catalans, le « modèle politique » (au sens de « modèle de gestion ») de la Russie n’a pas du tout besoin de crises ; en fait les Russes les détestent absolument (encore une autre raison pour laquelle l’idée d’une invasion russe de n’importe quel pays, y compris en Europe, est tout simplement ignorante de ce fait et totalement stupide). Il y a un paradoxe ici : les États-Unis, dont l’armée n’a pas remporté de victoire importante depuis la guerre dans le Pacifique, pousse au conflit, au chaos et à la violence, alors que la Russie, qui a probablement l’armée la plus impressionnante sur la planète, semble considérer les conflits comme un fléau qui doit être évité à tout prix. En réalité, il n’y a là aucun paradoxe, mais tout simplement deux modèles civilisationnels fondés sur des visions fondamentalement différentes du genre de monde dans lequel ils veulent vivre. Quoiqu’il se passe à l’avenir, les Russes observeront ces deux conflits avec quelque inquiétude et ils en débattront chaudement. Mais je ne les vois pas essayer de s’impliquer activement dans ce qui n’est, fondamentalement, pas leur problème.

    The Saker

    Cet article a été rédigé pour Unz Review

    Traduit par Diane, vérifié par Wayan, relu par Catherine pour le Saker francophone


  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
    Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
    http://www.europalestine.com

    Publication CAPJPO - Europalestine
     
       




     


  • 17 Octobre 2017

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    Des maisons de santé: des coquilles vides sans moyens humains dedans

    Le gouvernement des riches a sorti le doublement des maisons médicales pour lutter contre les déserts médicaux dans lesquels sont perdus les fainéants, les excités, les jaloux, bref presque toute la ppulation de France. Pour ma part, à Mantes-la-Jolie, ville de plus de 45 000 habitants et sous-préfecture des Yvelines, j'en suis à mon 4e médecin traitant pour cause de retraite. Et je vous dis pas combien il faut attendre pour prendre rendez-vous chez un spécialiste. Quant à l'Hôpital public de Mantes-la-Jolie, il est soumis aux dogmes capitalistes de l'austérité pour donner toujours moins de services au public.

    Bref, Mantes-la-Jolie est un désert médical par excellence. Et croire que cette catastrophe sanitaire ne frappe que les zones rurales sous-peuplées, c'est se gourer grave. Mais revenons à une maison médicale avec généralistes, spécialistes et tutti quanti. Et hop, tournicoti tournicoton, les voilà sorties du chapeau d'un magicien!

    Mais où les trouve-t-on ces spécialistes de la santé publique ? On a beau bazarder des millions d'euros à la pelle en multipliant les aides, ce qui réjouit Jean-Paul Ortiz, le président du premier syndicat des toubibs du privé (CSMF), sans augmentation du numerus clausus pour accroitre le nombre d'étudiants, le gouvernement des riches ne compensera jamais les départs conséquents à la retraite des médecins pour tous les autres. Les étudiants en médecine sont formés avec l'argent public: Normal. D'autres catégories professionnelles également: normal aussi. Mais un cheminot reçu à son examen de conducteur est affecté dans un dépôt en manque d'effectif. Pareil pour l'enseignant, où le sous-officier à l'armée. Ne ne sont que des exemples.

    Et pour les toubibs ça ne pourrait pas se faire?

    Ben non, ils sont dits libéraux: c'est à dire formés avec de l'argent public, mais avec la liberté absolue d'aller poser leur stéthoscope où bon leur semble. A cause peut-être du serment d'Hippocrate.

    Je dis ça, je dis rien, je fais partie des jaloux qui de plus foutent le bordel. Je n'ai donc pas à l'ouvrir.

    Mais suite à l'annonce du doublement des maisons médicales,  j'ai relevé ceci sur Europe 1: "(...) Plusieurs communes se plaignent en effet de ne pas parvenir à attirer des médecins généralistes dans leur projet de maisons de santé. "Depuis bientôt un an, nous n’avons plus de généraliste. Cette maison a été mise en place dès 2012 à l’initiative de deux médecins. La première est partie au bout d’un an et le deuxième est parti s’installer près de Toulouse fin 2016. Depuis, nous n’arrivons pas à fidéliser de généraliste", déplore ainsi une infirmière de la maison de santé de Hautefort, en Dordogne.(...)"


  • 17 Octobre 2017

    Publié par El Diablo

    VENEZUELA : Large victoire du CHAVISME aux élections régionales…Nouvelle défaite de la DROITE et des MÉDIAS

    Le dimanche 15 octobre, plus de 18 millions de vénézuéliens étaient invités à élire les 23 gouverneurs de 23 états parmi 226 candidats de droite ou bolivariens (= chavistes) – sauf à Caracas qui n’est pas un État. À cet effet le Centre National Électoral avait installé dans tout le pays 13.559 centres de vote et 30.274 tables électorales. Le taux de participation a été de 61,4 %, un taux très élevé pour un scrutin régional.

     

    Les bolivariens remportent une large victoire avec 17 états contre 5 pour l’opposition. Celle-ci gagne notamment dans les états stratégiques de Mérida, Táchira, Zulia, proches de la Colombie, foyers de violence paramilitaire. Les bolivariens récupèrent trois états historiquement gouvernés par la droite : les états d’Amazonas, de Lara et – victoire hautement symbolique – celle du jeune candidat chaviste Hector Rodriguez dans l’État de Miranda, longtemps gouverné par le milliardaire et ex-candidat à la présidentielle Henrique Capriles Radonsky.

     

    C’est le 22ème scrutin depuis que le chavisme est arrivé au gouvernement, et le deuxième de l’année (on peut y ajouter plusieurs consultations – organisées en interne et sans cadre légal – par les partis de droite en 2017). Cette élection des gouverneurs sera suivie par celle des maires puis, en 2018, par les élections présidentielles.

     

    […]

    LIEN VERS LA SUITE DE L’ARTICLE CI-DESSOUS 





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