• Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    J’aime « farfouiner » et « farfouiller » dans la vraie vie. Du prix de la baguette au prix de la fenêtre, je suis presque incollable. Je suis un économiste d’en bas. On ne se refait pas. C’est ainsi.

    J’ai déjà eu l’occasion d’exprimer mon accord avec une mesure gouvernementale (ce qui, vous en conviendrez, est plutôt rare).

    En effet, il y a quelques semaines, avant la révolte des gilets jaunes, le gouvernement avait annoncé qu’il supprimait les déductions d’impôts pour remplacement des fenêtres.
    Comme économiste d’en bas, j’ai « applaudi » à cette démarche, car il est injuste de faire payer une partie de mes fenêtres par la collectivité que je remercie au passage de son don fort sympathique (je taquine et provoque un peu pour faire réagir). Merci donc à tous ceux qui payent des impôts de payer mes fenêtres, car c’est bien de cela qu’il s’agit.

    Ensuite, je constate qu’à chaque fois qu’il y a un crédit d’impôt, globalement, et pour faire simple, le prix du produit concerné augmente du montant de la déduction ou de l’avantage octroyé par l’État. Les sous ne vont pas dans la poche du gouvernement. Ils ne vont pas non plus dans la poche du consommateur. Il va dans les poches du grand méchant capital, comme dit mon hémisphère gauche(iste) du cerveau.

    Sauf qu’aussi sec, mon hémisphère droit (libéral) affirme qu’il faut laisser les marchés se réguler tout seuls.

    Si les vendeurs de fenêtres veulent vendre des fenêtres, eh bien ils baisseront leurs prix jusqu’à trouver des acheteurs… (souvent l’économie c’est très simple).

    D’ailleurs, de vous à moi, je suis en train de faire une super affaire !!!!

    La super affaire à Sannat, économiste d’en bas !

    Je n’aime pas jeter l’argent par les fenêtres. C’est de famille depuis l’arrière-pépé qui a été ruiné. Ça laisse des traces dans l’inconscient familial. Pensez donc, y en a un qui a été ruiné par la guerre, et l’autre par le jeu… Alors le premier qui parle de casino dans la famille terminait généralement le repas dehors.

    Bref, à la maison, les fenêtres sont un poil vieillottes. Ma femme dit plus directement et avec moins ambiguïté « on se caille à la maison ». Il faut dire que mon aîné coupe régulièrement le thermostat pour faire baisser la consommation et donc la facture, ce qui enrage sa maman, pour notre plus grand bonheur collectif. Bref, maman est frileuse. Étant un mari tout de même amoureux de son épouse, j’ai décidé de casser la tirelire et de remplacer les fenêtres. Surtout que (et vous me voyez venir) quand l’État cesse les aides, la demande s’effondre. Quand la demande s’effondre, les prix font de même !

    Si comme disait Coluche il suffit de pas acheter pour que ça se vende pas, on peut aussi rajouter que c’est quand personne ne veut plus d’un truc que c’est le meilleur moment pour en prendre ! Cela fonctionne aussi pour les actions en plein krach, mais laissez encore baisser, c’est pô fini, on y reviendra.

    Voici la preuve par le devis !!

    Du coup, c’est le moment de changer ses fenêtres.

    Je me suis donc rendu chez Lapeyre il y quelques semaines (j’aime bien Lapeyre, c’est comme ça, je n’ai pas l’impression de me faire avoir, j’ai un catalogue avec des prix qui ne sont pas à la tête du client et c’est un grand groupe français, qui… produit et fabrique beaucoup dans notre pays).

    J’ai donc regardé  pour des fenêtres en alu, vendues 100 euros plus cher que le PVC… en promotion et en plus, avec la pose offerte, le tout étant fabriqué en France. Au moins, je fais bosser les copains ouvriers gilets jaunes d’ici et pas de là-bas !

    J’ai donc eu 8 fenêtres pour 6 000 euros TTC, pose incluse et offerte par la maison… Bon, il faut que j’attende le mois de mars pour la livraison et la pose et l’hiver sera passé, mais en 2019, ma femme aura moins froid. Je ne dis pas qu’elle aura chaud, car mon fils et moi comptons bien baisser encore la consommation électrique !!

    Comme en plus, chez Lapeyre, « y en a pas deux », et que la vente de fenêtres c’est coton en ce moment, il est possible de payer entre 3 et 10 fois sans frais… Allons y donc pour le 10 fois sans frais et le dossier avec pleins de justificatifs à fournir.

    Que va-t-il se passer maintenant ?

    Le gouvernement va remettre la déduction fiscale pour les fenêtres par démagogie, et ceux qui n’ont pas grand-chose et payent déjà trop d’impôts vont payer pour ceux qui changent leurs fenêtres, ce qui relève d’un choix personnel et individuel.

    Le crédit d’impôt devrait être de 100 euros par fenêtre, ce qui va conduire les prix à augmenter rapidement de 200 euros au moins par fenêtre…

    Oui me direz-vous, mais c’est pour la transition écologique !!!

    Et là je vous répondrai vertement… la quoi ? Hahahahahahahahaha… cessez de me faire rire !

    La vraie transition écologique, ce n’est pas de déduire de ses impôts une partie de ses fenêtres. C’est faire en sorte que l’énergie soit peu coûteuse pour les plus fragiles d’entre nous. C’est pour cette raison qu’EDF doit continuer à s’appeler EDF. Électricité de France pour tous ceux qui habitent la France, vivent en France, et ont besoin de se chauffer ici et maintenant.

    EDF n’est pas une entreprise comme les autres, EDF doit bien plus que la lumière, EDF est un bien commun.

    Mais l’Europe en a décidé autrement.

    Non seulement je ne les ai pas payées cher, mais en plus je vais pouvoir les déduire de mes impôts, ce que je n’avais pas prévu… Enfin, si De Rugy pouvait permettre de défiscaliser en 2019 les achats de fenêtres signés en 2018 pour l’acompte, mais posées en 2019, ça m’arrangerait sacrément… Mais au fait, comment va fonctionner ce crédit d’impôt avec le prélèvement à la source ?

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles SANNAT

    « Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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    « À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

    « Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »


  • La voiture électrique face aux événements inattendus


    Antonio TurielAntonio Turiel

    Par Antonio Turiel – Le 20 septembre 2018 – Source CrashOil

    Javier Pérez a partagé avec moi il y a quelques jours ses réflexions à propos de certains aspects du comportement des voitures électriques dans des situations réelles qui ne sont pas toujours prises en compte dans les visions idéalisées de ce moyen de locomotion dans le futur. Comme je pense que ces réflexions peuvent avoir un intérêt général, j’ai décidé de les publier. J’espère que cela vous intéressera.

    Je vous laisse avec Javier.

    Antonio Turiel


     

    Comme nous le savons tous, bien que parfois nous ayons du mal à l’intérioriser, les choses vont bien jusqu’à ce que quelque chose foire. Tout est merveilleux jusqu’au moment ou cela cesse de fonctionner. La technologie est ce qu’il y a de meilleur pour l’humanité jusqu’à ce qu’une pièce quelconque se mette à fonctionner d’une manière inattendue.

    Et cela est également vrai pour la voiture électrique, même si l’on s’attend bientôt à lire qu’Élie, le prophète, a été emporté au ciel dans une voiture électrique. Ça n’a pas encore été dit, mais patience, ça pourrait venir.

    La question se pose parce que les partisans de la voiture électrique, ses promoteurs et ses vendeurs (en admettant qu’ils différent de quelque manière), semblent avoir réponse à tout : meilleures batteries, charge plus rapide, plus grande autonomie etc. À tout, sauf aux situations inattendues, ce qui nous amène à penser que la voiture électrique pourrait être un objet certes efficace, mais fragile.

    Voyons ça avec un exemple

    Il y a quelques mois, vers la fin janvier, je me suis retrouvé sur une autoroute allemande, près de Stuttgart, pris dans un embouteillage causé par un accident de la circulation. Un camion renversé ou quelque chose du genre. Les gens en parlaient, mais mon allemand n’est pas très bon.

    J’insiste sur le scénario : fin janvier, en Allemagne, approximativement sept degrés en dessous de zéro à neuf heures du matin. Il y avait un peu de brouillard, ou en tout cas quelque chose capable de flotter dans l’air à cette température de moins sept degrés, et qui n’était pas de la fumée.

    L’autoroute comportait trois voies dans chaque sens. Utilisant la procédure d’urgence que les Allemands appellent Rettungsgasse, qui consiste à contraindre tout le monde à se placer sur un côté quitte à ce que les carrosseries se frôlent ou frôlent le rail de sécurité, ils réussirent à établir quatre voies en direction de Stuttgart, dont une permettait le passage d’un camion de pompiers, pendant que les autres étaient immobilisées. Personne ne surpasse ces gens en matière d’organisation dans ce genre de situations. En tout cas c’est ce que m’a enseigné l’expérience.

    Même comme ça, l’embouteillage a duré presque quatre heures. L’accident devait être grave. Une première voie a été libérée, puis une autre etc. La file de voitures a atteint 30 kilomètres à son maximum, comme je l’ai lu le lendemain, et a concerné 22 000 véhicules. Ce sont les informations qui ont été diffusées. Ce fut un embouteillage important, mais pas historique, tous les ans il y a en a deux cents de ce type en Allemagne comme dans n’importe quel autre pays.

    Eh bien voyez : sur les 22 000 véhicules, à moins 7 degrés, à peine 25 sont tombés en panne de carburant ce matin alors qu’il fallait maintenir le chauffage sous peine d’être congelé. Cette vingtaine de véhicules a été poussée avec beaucoup d’efforts sur la voie latérale, ce qui a eu pour résultat qu’il n’y avait plus que trois voies libres, mais le THW (une sorte de protection civile allemande) et les pompiers ont distribué 5 litres de carburant à chaque véhicule arrêté. J’estime que le temps de ravitaillement a été approximativement de trois minutes par véhicule.

    Imaginez-vous cette situation dans un monde rempli de voitures électriques ?

    Pas besoin de calculs compliqués pour se rendre compte combien ce serait déraisonnable, le simple bon sens suffit. Essayons de voir ça.

    Disons que tu es un type normal, un jour normal. Tu sors de chez toi pour faire un déplacement de 35 kilomètres. Ta voiture est chargée pour 120 kilomètres, parce que tu aimes être prévoyant. Tu as une charge représentant quasiment quatre fois celle nécessaire. Tout va bien. Mais il fait -7°C et on sait ce qui se passe avec les batteries avec de telles températures. Tu n’as plus que 100 kilomètres d’autonomie à tout casser, estimation haute. Se rajoute à cela le brouillard qui t’oblige à allumer tes phares pendant tout le chemin. Tu n’as plus que 85 kilomètres d’autonomie. Ce n’est plus quatre fois le nécessaire mais seulement deux fois et demie…

    La route est normale, tout va bien. Mais alors qu’il te reste 19 kilomètres à parcourir, la file s’arrête et tu restes bloqué 4 heures à cause d’un accident. Tu laisses le chauffage en marche… tu l’éteins de temps en temps, certes… mais… combien de temps ta batterie va-t-elle tenir ? Une heure ? Une heure et demie ? A partir de ce moment c’est la merde. Avant toi se retrouveront dans la merde ceux qui étaient un peu juste, puis ceux qui étaient un peu moins prévoyants, et après toi un bon nombre d’autres conducteurs se retrouveront aussi dans la merde, peut-être les 30 ou 40% les plus riches, avec de meilleures batteries ou plus prévoyants, tout dépend de la durée de l’embouteillage. Ça se passera comme ça non ?

    Faisons le point :

    1. Parmi les 22 000 véhicules bloqués dans l’embouteillage, combien penses-tu qu’il y en aura en panne de batterie pendant ces quatre heures ? Cinq mille ? Encore plus ? Ce n’est pas une situation hypothétique. C’est une chose qui est déjà arrivée et arrive souvent. Dans un embouteillage de 4 heures à -7 degrés, certains pensent que cela pourrait atteindre 65% des véhicules. Dans ce cas 15 000 voitures. Cela me semble exagéré, mais acceptons ce chiffre.

    2. Quand les secours arriveront avec leurs batteries ou leurs câbles, ou avec des piles sur l’épaule comme tu préfères, combien de temps faudra-t-il pour recharger ces batteries au milieu de nulle part ? Avec une météo peu favorable, mais sans excès… sur une autoroute quelconque. En pleine nature. Trois minutes par véhicule ? Non on est loin du compte, une demi-heure ? Sais-tu ce que représente une demi-heure par véhicule pour 15 000 véhicules ? 7 500 heures, soit 312 jours si il n’y a qu’un appareil d’assistance. Si l’on multiplie les appareils d’assistance par cent, il faut quand même trois jours. Pas mal…

    3. Comment pourrait-on effectuer ces recharges dans ce bordel ? Parce que apporter 5 litres d’essence ou de diesel à chaque véhicule ça se fait avec peu de chose… Mais ça ? Si c’était quatre voitures, d’accord, on les remorque ou les déplace à la grue… Mais le problème c’est que là il y a au moins 4 000 véhicules qui ont besoin de secours. Ou dix-mille. Ou bien plus, et très dispersés, comme lors du dernier hiver où des centaines de véhicules sont restés bloqués par la neige dans le nord.

    4. Et le plus important : combien de temps faudrait-il en pratique pour résorber l’embouteillage ? Parce que les problèmes s’accumulent. Il y a eu 22 000 véhicules parce que ça a duré 4 heures. Si cela avait duré plus longtemps il y aurait eu davantage de véhicules. De combien de temps parlons nous pour un retour à la normale et pour quel coût ?

    5. Autre chose importante : quand on parle de voitures électriques… quelqu’un a-t-il pensé à ce genre de problèmes ? Quelqu’un a-t-il pris en compte le fait que face à des situation imprévues la voiture électrique montrait une extrême fragilité ?

    C’est avec de telles réflexions qu’on se rend compte que nous sommes face à une totale improvisation et que rien n’est pensé pour une utilisation de masse de ces véhicules. De mon point de vue, la voiture électrique ne vient pas remplacer le moteur thermique, mais sert de prétexte pour éliminer le moteur thermique pendant que le moteur électrique sera vendu aux élites, alors que l’on forcera le reste de la population à utiliser des solutions dont il ne veut pas, mais qu’il devra accepter imposées par les élites.

    Les récents événements en France, avec la vague des gilets jaunes, ont montré que certains ont déjà réalisé ce qui se trame contre eux et quels clichés sont utilisés pour imposer un nouvel ordre.

    Comme je comprends les choses, l’automobile électrique est une des principales icônes de ces nouveaux mensonges, de cet élitisme vêtu d’idéologie, qui prétend défendre le milieu ambiant, alors qu’il se limite à offrir de nouvelles possibilités aux riches et une plus grande servitude aux pauvres.

    Le seul truc électrique qu’ils nous proposent, c’est la chaise, si nous nous plaignons, ou le scooter, si nous sommes bien silencieux et mignons. Pour le reste, pas question.

    Javier Pérez

    Traduit par Marc, relu par jj pour le Saker Francophone


  • Nouveaux sur notre site http://bolivarinfos.over-blog.com

     
    En page d’accueil:
     
    1) Venezuela : La Russie rejette les accusations d'Almagro concernant les bombardiers envoyés au Venezuela, un article d’Alba Ciudad du 17 décembre 2018 traduit par Françoise Lopez. Encore un mensonge qui risque de se répandre comme une traînée de poudre… 
     
    2)Cuba : L'étrange pluralisme des médias concernant les médecins cubains,un article de Cubadebate du 12 décembre 2018 traduit par Françoise Lopez. Un article très important: plusieurs personnes nous ont déjà parlé de ces médecins cubains qui « refusent de rentrer » à Cuba… A lire absolument et à diffuser le plus possible pour remettre dans leur contexte les mensonges des médias à ce sujet.
     
    3)Bolivie : Nous n'acceptons pas l'intervention d'autres pays, un article de Cambio du 17 décembre 2018 traduit par Françoise Lopez. Les élections en Bolivie auront lieu en 2019… La campagne contre la Bolivie a déjà commencé…
     
    4)Mexique : Pourquoi AMLO veut abroger la réforme de l’éducation, un article de Telesur du 12 décembre 2018 traduit par Françoise Lopez. 
     
     
    6)Amérique Latine : Pour la défense de l'Amérique Latine et des Caraïbes en tant que Zone de paix, la déclaration finale du XVI° Sommet de l’ALBA traduite et publiée par Granma en français.
     
     
    Bonne lecture à tous,
     
    Françoise Lopez

  • 18 Décembre 2018

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    Du poisson pêché en Atlantique (106, 5 millions de km2) ou en Méditerranée (2,5 millions de km2 tout de même), voilà les zones de pêche indiquées par la grande distribution, révèleUFC-Que choisir. De plus, par exemple, le cabillaud provient de la surpêche qui détruit les fonds marins et les espèces marines.

    Mais en veux-tu en voilà sur les étals à poissons et à produits de mer de la grande distribution, selon une enquête du 20 janvier au 3 février 2018 sur 1 134 poissonneries: 88% du cabillaud, 88% de la sole ou 80% du bar proviennent de la surpêche. Les méthodes de pêche ne s'en tirent pas mieux: l'info manque sur une étiquette sur quatre.

    En 2016, mais on s'en fout, la surpêche augmentait de manière alarmante : 31,4% des stocks de poissons dans le monde sont surexploités, 58,1% des stocks pleinement exploités et seulement 10,5% sous-exploités. C’est ce que révélait le rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

    A la veille des fêtes de fin d'année, la grand distribution vous souhaite bon appétit et une année 2019 toute écologique.

    Oh mon bateau oh, ho, oh: la grande distribution prise dans le filet de pêche en mer

  • LA pensées de ces jours ci

    Publié le 19 décembre 2018 par FSC

    A ceux qui font la fine bouche ...

     

     





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