• Arrêtez de dire que le bombardement de la centrale nucléaire est surgi de nulle part. Il rentre parfaitement dans le cadre de la guerre terroriste nazie voulue par Zélensky !

    Article rédigé par Brigitte Bouzonnie le 4 septembre 2022

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    La centrale nucléaire de Zaporijia (Ukraine), le 5 avril 2022, sur une photo diffusée par l'agence Sputnik, contrôlée par l'Etat russe. (SPUTNIK VIA AFP)
    La centrale nucléaire de Zaporijia (Ukraine), le 5 avril 2022, sur une photo diffusée par l'agence Sputnik, contrôlée par l'Etat russe. (SPUTNIK VIA AFP)

    Au JT de 18 heures sur France Inter, il était de nouveau question de la centrale nucléaire de Zaporiejia. Le journaleux aux ordres faisait croire aux auditeurs, qu'il ne savait pas, qui des russes ou des ukrainiens bombardaient la centrale. Quel mensonge ! Quelle profonde hypocrisie ! Comment peut-on nous traiter pareillement comme des billes !

    Reprenons les évènements de façon chronologique : en 2015, Jacques Attali, répète-jacquot de l'état profond américain, annonce un projet de guerre en Ukraine voulue par les Etats-Unis, pour nuire aux russes.

    Ensuite, il faut savoir que la guerre en Ukraine devait être déclarée par les ukrainiens/OTAN contre la Russie, début mars 2022. Poutine les a pris de court en déclarant la guerre huit jours avant, soit le 24 février 2022. Le premier geste de l'armée russe, dans les huit premiers jours du conflit, a été de confisquer les centrales nucléaires, afin de les sécuriser. Empêcher une attaque nucléaire sur Moscou qui est à 200 kilomètres.

    Comment je le sais ? Il suffit d'écouter ce que dit Poutine. Arrêter de le prendre pour un crétin fini, par anti-Poutinisme primaire.

    Lorsqu'on sait ces évènements liminaires, on comprend que les russes, qui ont peur d'une guerre nucléaire chez eux, ne veulent à aucun prix bombarder une centrale nucléaire ukrainienne, dont par ailleurs, ils sont les maitres !

    Il faut arrêter de faire semblant de croire et de dire que le bombardement de la centrale nucléaire est surgi de nulle part, alors qu'il rentre parfaitement dans le cadre de la guerre terroriste nazie menée par Zélenski !


  • Poutine se marre !

    Lu sur le site Réseau International du 5 septembre 2022

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  • Centrale nucléaire de Zaporijia : L’ONU confirme la tentative de sabotage ukrainienne et remercie la Russie !

    Article rédigé par par Francesca de Villasmundo, publié par Réseau International

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    Centrale nucléaire de Zaporijia : L’ONU confirme la tentative de sabotage ukrainienne et remercie la Russie

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    par Francesca de Vil

    Le danger nucléaire affectant la centrale d’Energodar (Zaporijia), sous bombardements constants, reste un enjeu fondamental, même si l’urgence d’un éventuel danger d’explosion tend à être mis de côté.

    Energodar et la centrale nucléaire de Zaporijia sont sous contrôle russe depuis début mars. En août, le site nucléaire a été la cible d’attaques régulières d’artillerie et de drones, que Moscou et Kiev se sont mutuellement imputées. Les responsables ukrainiens ont également affirmé que l’armée russe utilisait l’usine comme base militaire, y stationnant des armes lourdes. Moscou a nié les accusations, affirmant qu’il n’y avait que des gardes légèrement armés pour défendre l’installation.

    Moscou a appelé à une visite de l’AIEA à Zaporijia, la plus grande centrale nucléaire d’Europe, depuis juin, mais l’insistance de l’Ukraine pour que la mission passe par Kiev pour défendre la souveraineté ukrainienne a contribué à retarder la mission jusqu’à cette semaine.

    La mission de l’AIEA, l’Agence internationale de l’énergie atomique, demandée depuis des semaines par la partie russe, a eu lieu hier 1er septembre. Les cadres de l’Agence internationale de l’énergie atomique se sont rendus à l’intérieur de la centrale, où une visite complète était prévue pendant au moins deux jours. Le chef de mission Rafael Grossi, PDG de l’organisation, qui est arrivé sur place a terminé l’inspection en seulement deux heures :

    « Aujourd’hui, nous avons pu recueillir beaucoup d’informations – a-t-il déclaré – j’ai vu les choses essentielles que je voulais voir ».

    Les techniciens ont tiré des conclusions sur la centrale nucléaire de Zaporijia en quelques heures, une décision qui a suscité des réactions tant du côté de Kiev que de Moscou.

    Malgré cela, Grossi a déclaré que certains représentants de son équipe resteraient sur place quelques jours. Au cours de la visite, comme le montrent certaines vidéos circulant sur le web depuis hier, le numéro un de l’AIEA a eu l’occasion de s’entretenir avec le sous-chef de Rosatom, qui, lui montrant un missile tombé à seulement 29 mètres d’un réacteur, il a précisé :

    « Si les bombardements ukrainiens ne cessent pas, tant la Russie que l’Ukraine et l’Europe seront au bord d’une tragédie colossale ».

    Une invitation, donc, à une vision de la sécurité globale qui – pour la protection des peuples européens – devrait pouvoir dépasser la dichotomie purement guerrière dans une action objective et impartiale.

    Message reçu seulement partiellement, apparemment, et les déclarations de Grossi le démontrent une fois de plus : accidents nucléaire

    « L’objectif de l’Agence internationale de l’énergie atomique est de protéger la centrale nucléaire de Zaporijia des risques d’accidents, a souligné le directeur général, il faut tout mettre en œuvre pour parvenir à un accord entre les parties garantissant la sécurité de l’usine. Les inspecteurs visiteront toutes les usines relatives à la production d’énergie et à la sécurité contre les fuites radioactives et s’assureront du respect de la réglementation ».

    Concernant le déroulement de la mission : elle a été retardée à un point de contrôle ukrainien hier jeudi matin avant de pouvoir entrer dans la centrale. Or juste avant leur visite, l’artillerie ukrainienne a visé la ville d’Energodar et la centrale nucléaire de Zaporijia elle-même, tandis qu’un groupe de commandos a traversé le réservoir de Kakhovka en bateau et a tenté de prendre d’assaut l’installation, a déclaré le ministère russe de la Défense.

    Le groupe d’assaut initial et les renforts qui ont suivi ont été anéantis par la Garde nationale et les hélicoptères de combat, a déclaré l’armée russe. Leur objectif, selon Moscou, était de s’emparer de la centrale électrique détenue par les Russes et d’utiliser le personnel de l’AIEA comme « boucliers humains » pour garder le contrôle de l’établissement.

    Venant contredire la partialité de Grossi, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU Stéphane Dujarric a reconnu devant les journalistes en conférence de presse cette tentative de sabotage ukrainienne consistant à prendre possession de la centrale et à se servir de la mission de l’AIEA comme bouclier humain, et a remercié la Fédération de Russie d’avoir assuré la sécurité des inspecteurs.

    Grazie @Musso___

    Il portavoce del Segr. Generale ONU, Stéphane Dujarric sul tentativo ucraino di impadronirsi di #ZaporizhzhiaNPP

    Conferma l’accaduto e ringrazia la Russia

    Mi preoccupa, ora, che possa accadere qualche « incidente » agli ispettori per incolpare la Russia

    (sub ita) pic.twitter.com/S0HKPvgeae

    — Stefano Alì (@steal61) September 2, 2022

    source : Medias Presse

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    Mots clés:

    AIEA

    centrales nucléaires


  • 5 Septembre 2022

    Publié par El Diablo

    Environ 70 000 personnes ont protesté le 3 septembre dans le centre de Prague contre le gouvernement tchèque, l'accusant d'accorder plus d'attention à l'Ukraine qu'à ses propres citoyens. Le Premier ministre y a vu la main des «pro-russes».

    «La République tchèque d'abord» : c'est derrière ce slogan qu'une manifestation a été organisée le 3 septembre à Prague, au nom de diverses revendications en lien avec l'inflation illustrée par une flambée des prix de l'énergie, la vaccination contre le Covid-19 ou encore la pression migratoire. Point de convergence des participants à cette mobilisation : l'exhortation à la démission du gouvernement de centre-droit de Petr Fiala, entré en fonction en décembre dernier. 

    «Le meilleur pour les Ukrainiens et deux pulls pour nous», pouvait-on lire sur une banderole, suggérant que les Tchèques ne seraient pas en mesure de payer les factures de chauffage en hiver.

    Dans les faits, le prix du gaz a largement augmenté simultanément au risque de pénurie qui plane sur plusieurs pays européens pour la saison hivernale, du fait notamment des tensions géopolitiques liées au conflit en Ukraine et de réductions de l'approvisionnement en énergies russes de l'Europe.

    Pas plus tard que ce 2 septembre, l'entreprise russe Gazprom a annoncé que le gazoduc Nord Stream, vital pour les livraisons en Europe, serait «complètement» à l'arrêt jusqu'à la réparation d'une turbine, alors qu'il devait reprendre du service le 3 septembre après une opération de maintenance.


    70 000 manifestants selon la police

    «Le rassemblement sur la place Venceslas est calme, nous n'avons pas eu à faire face à des problèmes sérieux. Nous estimons le nombre de participants à environ 70 000», a écrit la police tchèque sur les réseaux sociaux. 

    La République tchèque, qui assure actuellement la présidence tournante de l'UE, a accueilli environ 400 000 réfugiés venus de l'Ukraine depuis le début de l'offensive russe le 24 février et a fourni une aide militaire et humanitaire importante à Kiev.

    Le gouvernement de Petr Fiala a survécu à un vote de défiance au Parlement le 2 septembre, initié par deux partis d'opposition : le parti de centre droit ANO (qu'on peut traduire par «oui») de l'ancien Premier ministre Andrej Babis, ainsi que le parti nationaliste de droite SPD. 

    Face à l'ampleur de la mobilisation, le Premier ministre a dénoncé un rassemblement organisé selon lui par «des personnes pro-russes proches des positions extrémistes et dont les intérêts vont à l'encontre de ceux de la République tchèque». «Il est clair que la propagande russe et les campagnes de désinformation sont présentes sur notre territoire et que certaines personnes les écoutent tout simplement», a-t-il considéré.


    Vu sur l’application RT News