• 6 Mars 2018

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    En tout cas, avec une participation de 73%, les Italiens ont placé la Liga, l'extrême droite, en tête de la coalition extrême droite-droite extrême de Silvio Berlusconi, Les Italiens ont également accordé 32% de suffrages au Mouvement 5 étoiles, organisation de droite et de droite aux discours autant racistes que les premiers compères. Sauf que ce parti politique fait un peu dans le social pour rafler des voix aux sociaux-démocrates actuellement au pouvoir. Et même si comparaison n'est pas raison, le fascisme de Benito Mussolini en 1922 ne faisait-il pas aussi dans le social?

    Ceci dit, l'Italie, l'une des 4 puissances économiques en Europe est en crise politique, morale et sociale depuis belle lurette. Aujourd'hui, le chômage atteint 11,5%. Couplé avec la précarité et un faible taux d'emploi, due au dynamitage du droit du travail par le pouvoir social-démocrate, seulement 58% de la population active est occupée. En 2016, 30% de l'Italie est exposé à la grande pauvreté, 28,7% en 2016. Il est donc normal que le Parti démocrate au gouvernement, conduit par le premier ministre Matteo Renzi, qui allait soi-disant révolutionner la social-démocratie en Europe, chute à moins de 20% des suffrages.

    Dans cette hécatombe électorale qui profite à l'extrême droite, à la droite extrême et à la droite, des dissidents du Parti démocrate obtiennent 3,4% des suffrages. Quant aux communistes, ou ce qu'il en reste, avec Pouvoir au peuple, ils affichent 1% à leur compteur.

    Hier, le PCI était une force politique qui comptait en Italie. Mais il y a 27 ans, il s'est sabordé de son plein gré pour se dissoudre dans la formation social-démocrate du Parti démocrate, tout en se faisant fort de suivre les orientations de l'UE du capital. Et nombre de dirigeants de l'ex-PCI devinrent des dirigeants et des parlementaires du Parti démocrate, jusqu'à devenir président de la République italienne. La CGIL, syndicat autrefois de classe en Italie, avait soutenu ce sabordage organisé du PCI.

    On mesure aujourd'hui ce que provoque l'abandon de la lutte des classes dans la stratégie d'un mouvement ouvrier hier révolutionnaire.

    De toute façon, l'UE du capital n'a aucune crainte avec la montée de l'extrême droite en Italie, mais aussi en France, en Allemagne, en Autriche, en Hongrie, en Pologne ou bien ailleurs sur notre vieux continent. Tous ces partis, qui sont au gouvernement de leurs pays ou qui aspirent à l'être, appliquent ou appliqueront à la lettre les directives antisociales de Bruxelles et du Marché. CQFD.

    Italie, élections des députés et des sénateurs: qui qu'en veut de l'UE du capital?


  • 6 Mars 2018

    Publié par El Diablo

    Les groupes armés rebelles retranchés dans la Ghouta, tels Jaïch al-Islam, refusent aux civils la possibilité de quitter les zones de combats. Le géopolitologue Alexandre Del Valle rappelle que cette stratégie est celle du bouclier humain.

     

    «Aujourd'hui dans la Ghouta, on a un problème. C'est qu'on a des djihadistes liés à al-Qaïda, ex-Front al-Nosra [désormais] Fatah al-Cham, qui s'est noyé dans un groupe qui a changé de nom pour avoir l'air respectable, et encore d'autres groupes soutenus par l'Arabie saoudite qui ont refusé les termes de l'évacuation. On oublie de le dire.» Pour Alexandre Del Valle, professeur, écrivain et auteur de Les vrais ennemis de l'Occident : du rejet de la Russie à l'islamisation des sociétés ouvertes (L'artilleur, 2016), la situation dans la Ghouta orientale n'est absolument pas celle qui est décrite dans une certaine presse ou par les dirigeants occidentaux.

     

    «[Ils] prennent des populations civiles en otage, un peu comme fait le Hamas quand Israël veut bombarder», continue-t-il, analysant la stratégie des rebelles de la Ghouta de la façon suivante : «On accuse l'ennemi [Damas] de faire des carnages mais soi-même on se cache exprès [parmi] une population qu'on empêche de partir pour être sûr qu'il y ait un carnage.» Et d'ajouter pour conclure : «Donc les véritables criminels qui sont à l'origine de la mort de ces civils, ce sont les djihadistes qui ont refusé les termes de l'évacuation et qui prennent leurs femmes, leurs enfants comme boucliers humains.»

     

    Ce sont des islamistes extrêmement radicaux

     

    Alexandre Del Valle s'attache également à nommer correctement ce que recouvre le vocable de «rebelle» : «Il faut quand même dire que la totalité des mouvements soi-disant rebelles – ça fait presque sympathique, "rebelles" – sont des djihadistes d'obédience salafiste ou Frères musulmans [...] ce sont des islamistes extrêmement radicaux.»

     

    SOURCE :


  • 06/03/18

    Bras de fer «Coalition occidentale» contre «BRICS/OCS»: Point de situation et perspectives

    mardi 6 mars 2018
     
    Nul ne le conteste aujourd’hui, c’est le coup de bluff de Ronald Reagan le 23 mars 1983 qui a permis de gagner la guerre froide. Ce jour-là le président Reagan dévoile un grand défi militaire US baptisé «la guerre des étoiles». Il s’agissait du projet de bâtir un bouclier de satellites équipés de lasers capables de détruire en vol tous les missiles ennemis. Ce système ne verra jamais le jour mais le bluff a fonctionné. L’URSS a tenté d’emboîter le pas aux USA, au prix de dépenses énormes. Elle s’est épuisée jusqu’à l’effondrement, engloutie par la folie de son appareil  militaro- industriel.
    C’est donc bien par l’effondrement économique de l’adversaire que la «coalition occidentale» d’alors a gagné la guerre froide sans le moindre affrontement militaire.
     
    Aujourd’hui deux conceptions de l’organisation du monde s’opposent de plus en plus ouvertement dans un véritable «bras de fer» plus ou moins feutré.
     
    Celle de la «coalition occidentale» qui défend le maintien d’un statut quo qui l’avantage (monde unipolaire sous leadership occidental, FMI, Banque Mondiale, dollar, et….. «devoir d’ingérence»: concept bien commode pour défendre ses intérêts… sous des prétexte de plus en plus douteux, et souvent mensongers…..).
     
    Et celle des deux organisations BRICS/OCS qui vise au changement des règles du jeu et à l’avènement d’un monde multipolaire (fin des ingérences occidentales dans les affaires d’états souverains, réforme de l’ONU, refus de l’hégémonie du dollar et de celle des structures créées et dirigées par les occidentaux et héritées de Bretton Woods: FMI, Banque mondiale, agences de notation…..).

    La question qui se pose et dont la réponse porte en germe les futurs équilibres économique et géopolitique du monde est la suivante : Lequel des deux blocs USA+UE d’une part, BRICS- OCS d’autre part emportera le bras de fer économique et à quel terme ?
    Bras de fer «Coalition occidentale» contre «BRICS/OCS»: Point de situation et perspectives

    En ce début d’année 2018, il n’est pas inutile de faire un point de situation sur ce bras de fer et d’en déduire quelques perspectives.

    * 

    L’année 2017 a été une excellente année pour les alliances « BRICS-OCS » qui font incontestablement avancer leur projet de changer l’équilibre et la gouvernance mondiale.

    Sur le plan économique, c’est le retour à la croissance de la Russie (pays sous sanctions occidentales), du Brésil et de l’Afrique du Sud, trois pays BRICS qui étaient en récession en 2016. Avec une croissance de 1,8 à 1,9%, la Russie a fait en 2017 aussi bien que la France…….
    Tous les pays BRICS et OCS ont sur-performé en 2017 par rapport aux prévisions du FMI. La Chine et l’Inde, moteurs économiques des BRICS et de l’OCS, mais aussi de la croissance mondiale,  continuent  de  rouler  trois  fois  plus  vite  que  les  occidentaux  sur  l’autoroute  de  la croissance (+ 6,8% contre 2,2 à 2,3%). Selon les prévisions actuelles du FMI, le PIB indien dépassera ceux de la France et de la Grande Bretagne dès 2018; le PIB du Brésil les talonnera.
    Les investissements pharamineux de la Chine sur l’ensemble de la planète dans le cadre du projet «La ceinture et la route», mais aussi les rachats massifs d’entreprises occidentales au cours des dernières années, commencent à porter leurs fruits et vont, à n’en pas douter, booster les résultats économiques de la Chine dans les années à venir.
    Première puissance commerciale au monde, première détentrice de réserve en devises étrangères au monde, première puissance en PIB-PPA (Parité de Pouvoir d’Achat) depuis 4 ans et deuxième en PIB nominal, première créancière des États Unis, la Chine poursuit tranquillement et inexorablement, en liaison avec ses partenaires BRICS et OCS, son objectif de changer la donne dans la gouvernance économique et la géopolitique mondiale.
    Sur le plan financier, les efforts BRICS/OCS vont incontestablement dans le sens d’une dédollarisation très progressive des échanges internationaux et dans celui de la promotion du yuan.
    67 accords bilatéraux ont été conclus par la Chine pour commercer en monnaies nationales, donc en contournant le dollar.
    La notation très argumentée de la dette américaine au niveau BBB+ avec perspective négative par l’agence de notation chinoise DAGONG en janvier 2018 ne va pas renforcer le dollar dont la valeur a baissé de 10 % par rapport au yuan en 2017.
    La création de la Banque de développement des BRICS, de l’AIIB (Asian Infrastructure Investment Bank) et du fond de la route de la soie permet à l’ensemble BRICS/OCS de faire avancer ses projets, avec ou sans l’aide du FMI et de la Banque Mondiale.
    L’évolution très rapide des PIB  cumulés des pays BRICS en milliards de dollar nominal et la comparaison 2017 avec les PIB des USA et de l’UE est éloquente. Selon les données du FMI : http://www.imf.org/external/datamapper/NGDPD@WEO/USA/EU/GBR/CHN/IND/BRA/RUS/SSD/ZAF
    Fin 2017: les 5 pays BRICS ont dépassé l’UE à 28 états et talonnent les USA.
    640x478_19486_vignette_DILEM-BRICS-EUROPE
    En 2020 (c’est demain): les pays BRICS auront largement distancé l’UE à 27 (après BREXIT) et dépassé les USA……
    Les chiffres ci dessous sont donnés en milliards de dollars.
    Tableay01-Coal

    Évolution des PIB cumulés des BRICS en milliards de dollars (Comparaison avec USA et UE)

    Graphique01-Coal
    L’analyse des données ci-dessus se passe de commentaires ……
    La comparaison des PIB PPA cumulés USA+ UE d’une part et BRICS d’autre part en milliards de dollars PPA (Parité de Pouvoir d’Achat) est elle aussi très éloquente.
    EVOLUTION DES PIB «PPA» des blocs «USA+UE» et BRICS en milliards de dollars PPA
    Graphique02-Coal
    Les PIB-PPA cumulés des 5 pays BRICS ont donc dépassé en 2017 les PIB-PPA cumulés USA+UE.
    Or, c’est dans le domaine des budgets de défense que la comparaison des budgets-PPA est la plus pertinente. Les pays BRICS n’achètent quasiment pas d’équipements militaires aux USA ou à l’UE et leurs personnels militaires perçoivent des salaires très inférieurs à ceux de la «coalition occidentale»…….
    Sans prendre le risque d’être démenti par les faits, on peut donc d’ores et déjà affirmer que la parité des budgets de défense en dollars PPA sera atteinte en 2020 entre l’OTAN et les pays BRICS-OCS.
    Entre 2020 et 2030, les budgets de défense PPA des BRICS-OCS creuseront l’écart très rapidement face au budget de défense de l’OTAN sous le simple   effet   du différentiel de croissance économique d’une part et d’un effort de défense très modeste de la composante UE de l’OTAN (inférieur à 2% du PIB).
    La plupart des experts occidentaux tentent de rassurer l’opinion de leur pays en affirmant que les BRICS et l’OCS  n’ont pas de véritable cohésion et sont composés de pays aux intérêts fortement divergents, voire d’ennemis héréditaires.(Chine-Inde, Pakistan-Inde…..), ce qui est vrai. Ils en déduisent un peu vite que ces coalitions ne sont pas solides et ne demandent qu’à éclater pour peu que la coalition occidentale «manœuvre» avec habileté.
    Cette affirmation anesthésiante pour les occidentaux ne résiste pas à l’analyse. En août 2017, Chine et Inde sont au bord d’un affrontement armé au sujet d’un corridor économique reliant la Chine au Pakistan qui empiète sur le territoire du Bouthan, allié de l’Inde. Le 2 Septembre 2017, les dirigeants des pays BRICS se rencontrent à Xiamen. Les présidents indiens et chinois se serrent la main comme si de rien n’était, enterrant leur querelle, et co-signent avec les chefs d’état russe, brésilien et sud Africain une déclaration commune de 71 articles qui scelle, une fois de plus, leur entente sur leur projet commun de changer les règles d’organisation et de gouvernance mondiale. http://www.bricschn.org/English/2017-09/05/c_136583711.htm
    Cette anecdote montre clairement que les dirigeants des pays BRICS/OCS font passer leurs querelles bilatérales au second plan, dès lors que l’objectif défini en commun face au clan occidental est en jeu.
    Ce projet BRICS s’oppose clairement à celui de la coalition occidentale . Les articles 29 et 30, et 38 à 42 du communiqué commun du 4 septembre 2017 méritent une lecture plus attentive. Ils  concernent les aspects économiques, financiers, et surtout «relations internationales».   Des exemples ?
    Article 38: «……Nous condamnons les interventions militaires unilatérales, les sanctions économiques et l’utilisation arbitraire de mesures coercitives unilatérales en violation de la législation internationale et des normes universellement reconnues en matière de relations internationales. Nous répétons avec insistance qu’aucun pays ne devrait renforcer sa sécurité au détriment de la sécurité des autres. (La coalition occidentale sous leadership US devrait se sentir visée.)
    Article 41: «Nous répétons que la seule solution durable à la crise syrienne  est celle d’un processus politique conduit par les syriens eux mêmes qui sauvegarde la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de la Syrie en application de la résolution du conseil de sécurité de l’ONU 2254 (de 2015) et qui promeuve les légitimes aspirations du peuple syrien.(c’est un soutien clair à la position russe et au gouvernement légitime syrien de Bachar el Assad, et une position qui exclut toute ingérence occidentale, déjà condamnée à l’article 38.)
    Article 42: Nous insistons sur l’urgente nécessité d’une solution juste durable et compréhensive au conflit Israelo-Palestinien…… avec l’objectif de créer un état palestinien indépendant, viable et contigu, co-existant avec Israël, en paix et en toute sécurité. (cette vision des BRICS, qui est aussi celle de l’OCS, est diamétralement opposée à la vision israélo-US)
    Article 45: Nous soutenons fermement le JCPOA (Traité sur le nucléaire iranien) et appelons toutes les parties prenantes à s’acquitter   de l’intégralité de leurs obligations et à assurer l’application totale et   efficace du JCPOA pour promouvoir la paix et la stabilité régionale. (vision totalement opposée à la vision israélo-US mais encore soutenue  jusqu’à présent par l’UE).
    Les pays BRICS et OCS ont bien conscience que la «coalition occidentale» sous leadership US tentera par tous les moyens d’empêcher la réalisation de leur projet et qu’une confrontation armée n’est pas à exclure. Ils préparent d’ailleurs leurs forces armées et multiplient les grandes manœuvres bilatérales (une dizaines de grands exercices navals ou terrestres impliquant les pays de l’OCS en 2017). Les budgets de défense BRICS et OCS sont dans une période de croissance forte et continue (entre 7% et 10% par an pour l’Inde et la Chine). La croissance économique pour les uns, l’effort de défense pour la Russie rendent possibles et expliquent ces fortes hausses. Les BRICS multiplient également les démonstration de Forces pour dissuader l’occident de tenter une option militaire. Voir ci après en vidéo :
    – Parade du 9 mai 2015 sur la place Rouge avec la participation d’importants contingents Chinois et Indiens, mais aussi d’une douzaines de pays amis en présence de la quasi totalité des chefs d’état BRICS et OCS.  https://francais.rt.com/international/2241-defile-70eme-victoire
    – Parade chinoise du 3 Septembre 2015 sur la place Tien an Men en présence Vladimir Poutine, invité d’honneur: https://www.youtube.com/watch?v=0_biGuK_NCo (extraits) ou version intégrale https://www.youtube.com/watch?v=YoC0Xcjko0A
    – Parade du 30 juillet 2017 en Chine pour le 90 ème anniversaire de la fondation de l’APL (Armée populaire de Libération)  https://www.youtube.com/watch?v=zle002ZZIbw (2 mn 49)
    La Chine, la Russie et l’Inde ont respectivement les 2ème, 3ème et 4ème budget de défense au  monde  en  2018.  Ces  trois  états  distancent  très  largement  leurs  rivaux  immédiats  (GB, Allemagne, Japon, Arabie Saoudite et France) surtout si l’on considère ces budgets de défense en
    «Parité de Pouvoir d’achat»……
    Enfin, il faut prendre conscience que ces deux ensembles, BRICS et OCS, ont vocation à s’élargir et que les candidats ne manquent pas.
    Pour l’OCS, les prochaines admissions pourraient bien être celle de l’Iran, candidat et membre observateur de l’OCS depuis 12 ans, et celle de la Turquie, partenaire de discussion de l’OCS depuis 6 ans et membre de l’OTAN depuis 65 ans… Les dirigeants turcs, soutenus par leur opinion publique, se sentent de plus en plus mal à l’aise dans le camp occidental ……
    Pour les BRICS, une admission du Mexique dont le président était invité au sommet de Xiamen en Septembre dernier et qui vient   d’annuler une visite officielle aux USA, prévue de longue date,  après une  communication téléphonique orageuse avec Trump (à propos du mur), constituerait un coup de tonnerre dans le camp occidental. Une admission de l’Égypte, dont le président était lui aussi, présent à Xiamen, et qui prend peu à peu ses distances avec la coalition occidentale, n’est pas à exclure à moyen terme, peut être dans une nouvelle formule baptisée BRICS + .
    Bref, le lecteur aura compris que les projets BRICS/OCS (http://www.bricschn.org/English/2017-
    09/05/c_136583711.htm ), sous la houlette de la Chine, de la Russie et de l’Inde sont en voie de réalisation dans un délai qui n’est plus très lointain.
    *
    L’état des lieux de la coalition occidentale en ce début 2018 est beaucoup moins réjouissant. Sur le plan économique, cinq séries de données méritent une attention particulière.
    1 – Une croissance dont on peut dire qu’elle est de trois fois inférieure à celle des pays BRICS: de 2 à 2,3% contre 6,8% à 6,9%. L’image à garder en mémoire est celle d’une voiture «occidentale» roulant à 50 à l’heure alors que la voiture BRICS roule à 150 à l’heure sur l’autoroute de la croissance……..et les prévisions du FMI pour les années à venir (2019 et 2020) ne prévoient pas de réduction significative de ce différentiel de croissance …..
    2 – Une dette abyssale, incontrôlée et incontrôlable, qui ne sera plus très longtemps supportable (compte tenu de la faible croissance) et qui va peser de plus en plus sur la crédibilité du dollar et, au-delà, sur la crédibilité de la gouvernance économique mondiale, des agences de notation (occidentales) et du système de Bretton Woods conçu par les occidentaux pour les occidentaux.
    Je laisse à chacun le soin de découvrir le montant de la dette US et surtout son évolution sur le site:  http://www.usdebtclock.org/ dont les données sont fiables.
    A près de 21.000 milliards de dollars, la dette US devance celle de l’UE (16.000 milliards de dollars) et celle du Japon à près de 10.000 milliards de dollars. Elle augmente d’un trilliard par an soit  3 milliards de dollars par jour……
    Je laisse aussi à chacun la possibilité de constater le fait que les pays BRICS ont des endettements publics dont le total est dix fois moins élevé que l’endettement occidental pour une croissance globalement trois fois plus forte…….. : http://www.usdebtclock.org/world-debt- clock.html
    La dette publique US se répartit schématiquement en 3 tiers. Un tiers est détenu par l’administration américaine (Federal Reserve) qui s’emprunte à elle-même en faisant tourner la planche à billet. Un second tiers est détenu par les fonds de pensions et les citoyens américains. Seul   le troisième tiers (6 310 milliards  sur 20 500 milliards au 31/12/2017) est détenu par des créanciers étrangers.
    Sur ces 6 310 milliards: la Chine + Hong Kong en détiennent 1 380, le Brésil 250, l’Inde 145 et  la  Russie 102. Les BRICS détiennent donc, au total, 1 877 milliards de dollars de créances américaines soit 30 % du total aux mains des créanciers étrangers et 9% de la totalité de la dette US.  http://ticdata.treasury.gov/Publish/mfh.txt
    Chacun peut imaginer le levier (pour ne pas dire l’arme) que constitue ces 1877 milliards de dollars de créance. Une   remise  brutale  sur   le   marché  d’une partie  significative de ces bonds  du  trésor US pourrait provoquer un choc boursier considérable et un effondrement du dollar, de l’économie US, et un chaos mondial (ce qui, à ce jour, n’est souhaité par personne).
    3 – La nouvelle politique économique de Trump est simple, mais constitue un pari extrêmement risqué:
    – réduire les taxes des entreprises et des particuliers  pour relancer la croissance: donc réduire les rentrées fiscales,
    augmenter les dépenses  d’investissements  (infrastructure  nationale,  mur  frontalier  avec  le
    Mexique, budget de défense……).
    Chacun peut comprendre qu’une telle politique va se traduire par l’explosion du déficit budgétaire et donc d’une dette  déjà astronomique et entraînera inévitablement une baisse de la confiance dans la solvabilité des USA et dans un dollar qui ne s’appuie aujourd’hui que sur un Himalaya de dettes.
    C’est du moins ce qu’en pense l’agence de notation chinoise DAGONG  qui a dégradé  la notation de la dette US à BBB+ avec perspectives négatives en argumentant sur ce manque de solvabilité US: http://en.dagongcredit.com/uploadfile/2018/0116/20180116034946792.pdf
    Les «Shutdown» budgétaires qui affectent les administrations US successives se répètent à un rythme qui va en s’accélérant. Ces faits ne sont pas non plus de nature à renforcer la confiance dans le dollar……
    Par ailleurs, il est peu probable que les pays BRICS-OCS acceptent encore longtemps de financer l’effort de défense US, via la dette, sachant que cet effort est ouvertement dirigé contre eux.
    La Chine et la Russie ont été clairement nommée en tête des principales menaces dans la dernière «Stratégie de Défense Nationale» US de Janvier 2018.
    4 – La remise en cause des grands traités internationaux par l’administration Trump n’est pas bonne pour la cohésion du clan occidental. Le retrait du partenariat Transpacifique qui regroupait douze pays représentant 40 % de l’économie mondiale ouvre de nouvelles opportunités aux BRICS. La remise en cause de l’ALENA indispose autant le Canada que le Mexique. Le projet de Partenariat Transatlantique entre les USA et l’UE est au point mort.
    Le retrait US de l’accord sur le climat et de l’UNESCO, la menace de retrait de l’accord sur le nucléaire iranien, et la reconnaissance unilatérale de Jérusalem comme capitale d’Israël, quasi unanimement condamnée à l’ONU, font perdre aux USA toute légitimité à exercer un leadership mondial et contribuent à leur isolement.
    5 – La politique de sanctions économiques unilatérales et tous azimuts (Russie, Iran, Corée du Nord, Chine, Syrie…..) condamnée par les BRICS-OCS et menée par la coalition occidentale, mais surtout par les États-Unis, «maîtres du monde»,  qui ignorent superbement l’ONU et tordent les bras de  leurs  propres  alliés  (   https://youtu.be/BGJrkmLIWB8  ),  sont  de  plus  en  plus  contre- productives en contribuant à la division du camp occidental et à la cohésion des blocs BRICS- OCS.
    La menace d’application de ces sanctions à leurs alliés en application du principe d’extra- territorialité du droit US affectent durement les intérêts économiques de l’Union Européenne en général, de la France en particulier. (Sanctions anti-russes, Affaire North Stream 2, affaire Alsthom, ventes d’Airbus à l’Iran, ou de Rafales à l’Égypte, affaires BNP Paribas et Société générale….etc). https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-179632-vente-de-rafale-la-france-subit-une-nouvelle-fois-lextraterritorialite-des-lois-americaines-2156152.php#xtor=EPR-3059-%5Bnl_ideesdebats%5D-20180228-%5BProv_popup_unknown_art1%5D-1999238
    Une guerre économique entre les USA et l’UE serait dommageable pour les deux parties et, dans tous les cas, n’affectera pas sensiblement les BRICS ……
    Sur le plan économique, la situation occidentale déjà peu reluisante est aggravée par les divisions qui se développent au sein de l’Union européenne, avec le BREXIT bien sûr, mais aussi avec les divergences qui opposent l’est et l’ouest de l’UE sur la politique migratoire, sur les sanctions anti-russes et surtout sur leurs conséquences économiques.
    Des divisions profondes se sont également développées au sein de chacun des états de l’UE sur les solutions à appliquer face à la crise migratoire. Les chefs d’états des grands pays de l’UE (France, Royaume Uni et Allemagne) doivent composer avec leurs opinions publiques. Tous plutôt mal élus, ils ne représentent plus vraiment les aspirations majoritaires de leurs peuples  et doivent, pour les deux derniers gouverner avec des coalitions parlementaires fragiles.
    Sur le plan militaire, l’OTAN a perdu de sa superbe avec le désarmement massif qui a suivi la chute du mur de Berlin. La forte réduction des budgets de défense affectant les pays de l’UE conjuguée aux ingérences US tous azimuts coûteuses dans les affaires du monde ne permettent plus un renouvellement et un maintien en condition satisfaisant des matériels.  Ces matériels ont vieilli et ont une disponibilité technique opérationnelle très insuffisante dénoncée par plusieurs chefs d’état major ou rapports parlementaires dans différents pays de l’OTAN.
    Dans toutes les armées de l’OTAN, le taux de sélection et de fidélisation des personnels est faible et leur turn-over est beaucoup trop élevé. Leur sous entraînement et le faible niveau de leur moral  ont  également  été  dénoncés    dans  différents  rapports  ou  auditions  de  chefs  militaires éminents.
    Au delà des rodomontades politiques et médiatiques, force est de reconnaître que la défense des pays de l’OTAN n’a jamais été aussi fragile, depuis sa création, face aux principaux adversaires potentiels désignés. (Chine et Russie) 
    ***
    Il semble encore prématuré de tirer des faits présentés ci-dessus une conclusion générale et définitive sur l’évolution du bras de fer qui oppose les blocs OCS-BRICS à la coalition occidentale et à l’OTAN.
    La victoire dans ce bras de fer ne sera probablement pas le fruit d’un affrontement militaire qui serait catastrophique pour l’état qui en prendrait l’initiative. Elle sera plus probablement, comme pour la guerre froide, le fruit de l’effondrement économique, plus ou moins brutal, d’un système à bout de souffle qui ne peut pas tenir dans la durée. Un tel effondrement peut désormais survenir à tout moment. De nombreux économistes le prédisent aujourd’hui.
    Les perspectives à très court terme (deux à trois ans), ne sont assurément pas favorables au clan occidental. Ce camp, qui est le notre, aura-t-il les capacités économiques et la forte volonté politique nécessaires pour conserver durablement son rôle dominant dans les affaires du monde ? Les opinions publiques occidentales sont elles prêtes à accepter les remises en cause inévitables de leurs «acquits» et à faire les sacrifices consentis par le camp d’en face pour pouvoir rivaliser avec lui ?
    A chacun de répondre à cette intéressante question. Pour moi, la messe est dite.
     
    Coalition occidentale = USA + Israël + UE + Canada + Japon + Australie + Qques fans ……..
    BRICS = Brésil + Russie + Chine + Inde + Afrique du Sud (+ nombreux fans)
    OCS = Organisation de Coopération de Shangaï = Russie + Chine + Inde + Pakistan + Kazakhstan + Kirghizistan + Tadjiikistan + Ouzbékistan (+ nombreux fans)
     
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  • 06/03/18

    Agnès Buzin, tu abuses ! Ta guerre contre les enfants est perdue. Par Christian Cotten, psychosociologue.

    sur alterinfo.net

     

    Pamphlet humoristique, poétique et invraisemblable.
    Mais aussi :
    Appel à la résistance et à la guerre civile symbolique contre les 11 vaccins-poisons Agnès Buzin, adressé à tous les Citoyens Libres et Souverains des Peuples Francophones et à la Démocratie Souveraine de France.
    Christian Cotten, psychosociologue, Président de Politique de Vie.
    Dimanche 11 février 2018.

     

    Christian Cotten
    Vendredi 2 Mars 2018

     
    Agnès Buzin, tu abuses ! Ta guerre contre les enfants est perdue.
    Oui, citoyenne Agnès Buzin, momentanément Ministre de la Santé, c’est à toi que nous nous adressons en ce vendredi 23 février 2018, jour de fête de Saint-Lazare.
    Agnès Buzin, tu mens.
    Nous allons appeler ici un chat, un chat. Nous entendons t’offrir un recadrage pédagogique on ne peut plus clair qui ne peut qu’être salutaire pour tous nos concitoyens et ta propre sauvegarde.
    Agnès Buzin, tu tentes d’empoisonner près de 800 000 bébés par an. Ceci s’appelle un crime.
    Agnès Buzin, tu as ouvert la guerre aux enfants.
    Nous ne te laisserons pas faire. Ta loi des 11 vaccins-poisons ne sera pas appliquée.
    Agnès Buzin, tu mens et tu sais que tu mens, ou alors, jette ton diplôme immérité de médecin.
    Tu oses prétendre publiquement que les adjuvants des vaccins ne sont pas toxiques.
    Des chercheurs italiens légitimes et crédibles, intègres et indépendants, ont identifié en 2017 plusieurs dizaines de composants métalliques nanométriques toxiques dans 44 vaccins, dont tes onze poisons. Le seul vaccin « propre » : un vaccin pour chats.
    Strictement personne ne répond aux questions scientifiques majeures qui se posent face à ces nanotechnologies toxiques dont les effets sont radicalement inconnus à ce jour.
    Voir : [http://www.morpheus.fr/composants-metalliques-nanometriques-toxiques-vaccins]url:http://www.morpheus.fr/composants-metalliques-nanometriques-toxiques-vaccins

    De même tu connais aussi bien que nous la question de l’aluminium. Le dossier est amplement documenté aujourd’hui par les plus grands noms de la médecine recherche et de la médecine, lorsque ceux-ci réussissent à sauvegarder leur éthique de soignants.
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=4&v=GlQMgvu39gM

    Agnès Buzin, tu mens car tu sais que les poisons que tu veux nous vendre et nous imposer ne sont que d’infâmes mélanges de molécules violemment toxiques dont aucun scientifique ne peut à ce jour anticiper les interactions et les effets sur nos corps et nos cerveaux.
    Agnès Buzin, tu ne nous feras pas croire que tu ignorais que tes vaccins sont des poisons destinés à réduire les populations de la planète. Les idéologues malthusiens de la prétendue nécessaire réduction des populations l’annoncent depuis des années.
    Agnès Buzin, nous avons compris que tu sers aux citoyens une vaste opération commerciale, faite de manipulations de l’information scientifique et de dénigrements ou d’assassinats de ceux qui dérangent par leurs questions et leurs alertes.
    Tes poisons ne sont pas des vaccins mais l’arme d’un crime contre les enfants.
    Nous prenons acte de cette déclaration de guerre civile que tu nous as faite et nous te disons : tu as perdu ta guerre, ta loi ne sera jamais appliquée.

    Nous en sommes désolés : l’heure n’est plus de débattre mais de combattre. Notre combat symbolique ne cessera qu’avec ta disparition de la scène publique, toi et ta loi des onze vaccins-poisons.
    Il va donc falloir que chaque français prenne parti dans cette guerre que tu as déclarée aux populations.
    Agnès Buzin, tu ne peux ignorer que ta loi enfreint le Code de Nuremberg tout comme le pacte des Droits Civils et Politiques de 1966 ou le pacte d’Oviédo de 97, qui rappellent qu’il est interdit de soumettre une personne sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ou encore que l'intérêt et le bien-être de l'humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

    Or, ta loi des onze vaccins est bien une expérimentation médicale, chimique et nano-technologique à grande échelle, qui advient en violation du principe de précaution et de la morale ordinaire, en violation de la loi Kouchner ou des articles 16 et suivants du Code Civil.
    Tes onze vaccins pour plus de 2 000 bébés par jour, ce sont plusieurs dizaines de milliers d’enfants inexorablement atteints d’effets secondaires pouvant provoquer de nombreuses morts indues.
    Agnès Buzin, tu agis avec ta loi comme une véritable terroriste, à mi-chemin des inspirations idéologiques nazies et du radicalisme islamique, enfermée que tu es dans tes croyances sectaires. Tu crois détenir la vérité et tu prétends agir pour le bien des autres tout en les empoisonnant. Cela pourrait s’appeler : psychopathie, perversion, intégrisme…
    Nul humain sensé ne débat avec un terroriste dans l’instant où il commet son crime.
    Nous craignons, Agnès Buzin, que tu ne sois la prochaine victime de la mafia dont tu appliques les plans eugénistes et malthusiens : ils n’hésiteront pas à te sacrifier pour ton échec.
    Car une belle majorité de citoyens libres et souverains a désormais compris : tu mets en œuvre les projets d’une bande criminelle organisée qui utilise les services publics pour une vente forcée de faux vaccins qui vont enrichir les actionnaires de l’industrie des chimistes empoisonneurs tout en ponctionnant les fonds de la Sécurité Sociale.
    Agnès Buzin, tu mens, et tu nous voles, tout en empoisonnant nos enfants et petits-enfants.

    Pourquoi donc ton ministère n’utilise-t-il pas tous ces budgets pour supprimer les 70 000 placements abusifs d’enfants ou soutenir les personnels médico-sociaux en si grande souffrance ou encore lutter contre les réseaux et sectes pédocriminels qui impliquent des acteurs d’État au plus haut niveau dans l’abus et le sacrifice d’enfants au culte de Moloch? Quel budget de ton gouvernement pour retrouver les 11 000 enfants disparus ? Quel budget de ton ministère contre les trafics d’organes et les déclaration prématurées de décès en milieu hospitalier ?
    Agnès Buzin, tu as perdu ta guerre. À partir d’aujourd’hui, tu n’es plus médecin. Tu n’es plus crédible. Tu n’es donc plus légitime.
    L’heure n’est plus de débattre mais de combattre.

    Nous en appelons solennellement à tous les personnels soignants, libéraux ou fonctionnaires, médecins, pharmaciennes et pharmaciens, infirmières et infirmiers, travailleurs sociaux, responsables médico-administratifs, enseignants et éducateurs ; la plupart d’entre vous savent, il va vous falloir désormais prendre parti devant vos concitoyens : acceptez-vous d’appliquer une loi criminelle ou assumerez-vous d’entrer en résistance face au crime organisé porté par certains acteurs publics complices des vendeurs de poisons, eux-mêmes protégés par un système judiciaire à leur service ?
    L’heure n’est plus de débattre mais de combattre.

    Nous en appelons solennellement à un sursaut de conscience collectif : il est temps de sortir des pathologies et des violences imposées au peuple souverain par des élites particulièrement malades et dangereuses pour le bien-être des humains qu’elles cherchent à contrôler comme du bétail.
    L’heure n’est plus de débattre mais de combattre.

    Nous appelons tous les citoyens libres et souverains des peuples francophones à s’opposer par tous moyens non violents, symboliques, humoristiques, artistiques, verbaux et judiciaires, s’opposer donc, avec la plus grande détermination, à toute injection des onze vaccins-poisons Agnès Buzin à quelque enfant que ce soit.
    Nous les appelons tout autant à confronter leurs médecins et pharmaciens et tous autres acteurs de la santé pour leur rappeler leurs responsabilités et leur premier devoir de professionnels : ne pas nuire. Or, la loi Buzin est une véritable condamnation à mort ou à des maladies incurables pour un nombre injustifiable d’enfants, sans compter les conséquences génétiques.
    L’heure n’est plus de débattre mais de combattre.

    Nous appelons tous les dissidents et résistants aux attaques contre les peuples menées par des élites de plus en plus violentes et barbares à s’engager avec la plus grande intensité dans cette guerre civile qui nous est imposée par certains acteurs de l’État.
    L’heure n’est plus de débattre mais de combattre.

    Nous appelons ici solennellement les forces de sécurité de ce pays - policiers, gendarmes, CRS, militaires - et les fonctionnaires intègres qui veulent rester au service de la population, à entrer en résistance pour assumer leurs devoirs républicains, en sachant désobéir aux ordres illégaux et illégitimes.
    Agnès Buzin, tu as perdu. Tu n’existes plus, tu n’as jamais existé et tu n’existeras jamais, dans aucun temps ni aucun monde.

    Nous en sommes désolés pour toi et nous prierons pour que tu te libères des mages noirs pour qui tu travailles et pour que les citoyens en colère ne t’offre en place publique les plumes et le goudron que tu mérites.
    Non, tu n’empoisonneras pas nos enfants.
    Christian Cotten, psychosociologue, Président de Politique de Vie.
     
     
    Posté par Jocegaly à -

  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
    Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
    http://www.europalestine.com

    Publication CAPJPO - Europalestine