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    Venezuela : Une marée humaine accompagne Maduro pour le dépôt de sa candidature

    28 Février 2018, 18:13pm

    Publié par Bolivar Infos

     

    Le dirigeant révolutionnaire Nicolás Maduro s'est rendu avec le peuple vénézuélien au Conseil National Electoral (CNE), à Caracas, pour déposer sa candidature aux élections présidentielles du 22 avril prochain. La foule est partie du Palais de Miraflores à Caracas, où Maduro se trouvait avec des centaines de Vénézuéliens qui l'ont suivi vers la place Caracas, où se trouve le siège du CNE.

     

    Le candidat, qui était à bord d'un véhicule Tiuna avec son épouse Cilia Flores, son fils, Nicolás Maduro Guerra, et les dirigeants Diosdado Cabello, Elías Jaua, Jorge et Delcy Rodríguez, a salué ses sympathisants tout le long du trajet et a reçu les traditionnelles lettres du peuple.

     

    Auparavant, il était allé à la Caserne de la Montagne 4F, près de Miraflores, où il a affirmé son engagement envers le projet politique légué par le Commandant Hugo Chávez et reflété dans le Plan de la Patrie 2013-2019.

     

    Pour conserver les politiques économiques et sociales envisagées dans ce document, Maduro déposera le Plan de la Patrie 2019-2025 en déposant sa candidature aux élections.

     

    traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos

     

    Source en espagnol :

    http://albaciudad.org/2018/02/en-fotos-una-marea-popular-acompano-a-maduro-al-cne/

    URL de cet article :

    http://bolivarinfos.over-blog.com/ 2018/02/venezuela-une-maree-humaine-accompagne-maduro-pour-le-depot-de-sa-candidature.html


  • L’offensive générale

     

    Un ancien ministre de l’économie socialiste qui, plus tard, créera un parti libéral à son image a un jour détaillé l’art et la manière d’enfanter une société de marché : « N’essayez pas d’avancer pas à pas. Définissez clairement vos objectifs et approchez-vous en par bonds en avant qualitatifs afin que les intérêts catégoriels n’aient pas le temps de se mobiliser et de vous embourber. La vitesse est essentielle, vous n’irez jamais trop vite. Une fois que l’application du programme de réformes commence, ne vous arrêtez plus avant qu’il soit terminé : le feu de vos adversaires perd en précision quand il doit viser une cible qui bouge sans arrêt. » M. Emmanuel Macron ? Non, M. Roger Douglas, en novembre 1989, en Nouvelle-Zélande. Il livrait alors les recettes de la contre-révolution libérale que son pays venait d’expérimenter (1).

    Près de trente ans plus tard, le président français reprend toutes les vieilles ficelles de cette « stratégie du choc ». SNCF, fonction publique, hôpital, école, droit du travail, fiscalité du capital, immigration, audiovisuel public  la honte de la République ») : où regarder et comment résister quand, au prétexte de la catastrophe qui vient ou de la dette qui explose, l’engrenage des « réformes » tourne à plein régime ?

    Les chemins de fer ? Un rapport confié à un compère dépoussière l’inventaire des prières libérales jusque-là inexaucées (fin du statut des cheminots, transformation de l’entreprise en société anonyme, fermeture des lignes déficitaires). Cinq jours après sa publication, une « négociation » s’engage déjà pour maquiller le diktat qu’on veut imposer aux syndicats. Il convient en effet de profiter sans tarder du climat de démobilisation politique, de division syndicale, d’exaspération des usagers devant les retards, les accidents, la vétusté des lignes, la cherté des billets. Car l’« urgence à agir » qu’invoque la ministre des transports, elle est là. Quand l’occasion se présente, « vous n’irez jamais trop vite », insistait déjà M. Douglas.

    Le gouvernement français compte également sur les fake news des grands médias pour disséminer des « éléments de langage » favorables à ses projets. L’idée — vite lancée, aussitôt reprise — que « la SNCF coûte 1 000 euros à chaque Français, même ceux qui ne prennent pas le train », rappelle d’ailleurs à s’y méprendre le fameux « chaque Français paierait 735 euros pour l’effacement de la dette grecque », qui, en 2015, a contribué à l’étouffement financier d’Athènes.

    Parfois, la vérité éclate, mais trop tard. Plusieurs « réformes » des retraites ont été justifiées par l’allongement général de l’espérance de vie. Une étude officielle vient cependant de conclure que, « pour les générations 1951 et suivantes », c’est-à-dire 80 % de la population française, « la durée moyenne espérée passée à la retraite devrait baisser un peu par rapport à la génération 1950 » (2). Autant dire qu’un progrès historique venait tout juste de s’inverser. Ce genre d’information n’a pas martyrisé nos tympans. Et M. Macron ne semble pas penser qu’il y aurait « urgence à agir » sur ce front…

    Serge Halimi

    (1Cf. Le Grand Bond en arrière. Comment l’ordre libéral s’est imposé au monde, Agone, Marseille, 2012 (1re éd. : 2004).

    (2« L’âge moyen de départ à la retraite a augmenté de 1 an et 4 mois depuis 2010 » (PDF), Études et Résultats, no 1052, direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), ministère de la santé, Paris, février 2018.


  • Ça n'empêche pas Nicolas

    Blog de Jean Lévy sur l'actualité politique au jour le jour.

     

     

    1 Mars 2018

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    Un bras de fer entre les Français et leurs cheminots d'un côté  et un pouvoir au service des intérêts privés et de la finance internationale de l'autre

    Une nouvelle bataille du rail,

    conflit de classe et lutte nationale

    par Jean LEVY

     

    Macron et son gouvernement veulent aller vite pour brader la SNCF au secteur privé.
    Ils comptent utiliser le bulldozer, en clair les ordonnances, pour imposer leur choix de classe. Choix antinational dans son objectif, puisque l'entreprise ferroviaire, hier gloire de la France, doit être, selon les directives européennes, livré à la concurrence des compagnies étrangères. Et pour faire bonne mesure afin d'appâter celles-ci, le pouvoir macronien tient à délester la SNCF de son statut et du "fardeau"  que seraient les lignes secondaires, jugées "non rentables".

    Le gros mot est dit : rentable, c'est-à-dire qui rapporte du profit. Pour la classe au service de qui  travaille le Président de la République, toute entreprise doit être rentable et en conséquence rapporter des dividendes aux actionnaires.

    Comme si cet objectif était le but d'une entreprise nationale de service public, telle la SNCF ! Pour les Français qui sont pour le moment ses actionnaires, les dividendes qu'ils attendent sont d'une autre nature : un moyen de transport de qualité à leur service permettant à chacun de voyager dans des conditions de confort, avec une ponctualité respectée, dans des créneaux horaires correspondant aux besoins collectifs et individuels, qu'on demeure en métropole ou dans une petite ville d'une province excentrée.

    Le pouvoir des financiers ne l'entend pas de cette oreille.

    Desservir toutes les gares, selon lui, coûte trop cher, car non rentables. Le plan gouvernemental est donc de fermer nombre de lignes secondaires (7 à 9000 kms sur 35.000 que compte le réseau). Tant pis pour les usagers privés de trains : ils n'auront qu'à prendre des bus Macron ( si conformes aux objectifs de réduction des gaz à effets de serre ...!.). 

    Mais l'objectif passe mal parmi les millions de Français qui demeurent  dans les terroirs, et leurs élus de proximité. Et donc non rentable au niveau des indices de popularité, l'Elysée et Matignon pensent à repasser la patate chaude aux Régions, à elle de passer au rabot  le réseau secondaire, à leurs élus la responsabilité !

    Mais revenons à l'argument de rentabilité.

    Avancé par Macron et les siens, et appliqué dans tous les secteurs publics, les transports comme la santé, l'alibi gouvernemental ne tient pas. Pensons à la défense : en quoi l'armée est-elle "rentable" , si ce n'est que son rôle naturel est de dissuader tout agresseur éventuel ? Comme quoi la fameuse rentabilité ne se calcule pas toujours en termes de dividendes et de profit financier.

    Autre argument mis en avant par nos gouvernants : aujourd'hui, la SNCF ne remplit plus convenablement son rôle et déçoit les usagers, pardon, les clients, pour reprendre le terme employé par la direction de la SNCF. Et de rappeler les retards incessants, les pannes incontrôlées, les trains supprimés, les prix prohibitifs, un réseau ferré en piètre état , et localement, en situation de dangerosité.

    Le pouvoir espère ainsi que les Français vont se détourner du service public et laisser faire Macron sa réforme...

    Mais qui est responsable de l'état actuel de notre réseau ferré ? Sa direction*, bien sûr. Celle-ci par sa politique du "tout TGV" au détriment des lignes secondaires, a fait un choix, celui de l'Europe, qui correspond aux besoins du marché, favorisant les voies de communication internationales, en vue du temps gagné par les grandes entreprises dans leurs échanges commerciaux.
    Et tant pis si les régions enclavées, et de ce fait, moins rentables, sont aujourd'hui sacrifiées. 

    La responsabilité de monsieur Guilllaume Pepy  , le 'patron' de la SNCF, et ses adjoints, est donc entière. Mais qui les ont placés aux postes de direction, et qui, malgré leur gestion, jugée aujourd'hui, désastreuse, les y ont maintenus **?

    Sarkozy, Hollande et... Macron ! 

    Pepy, en leur nom,  développe  depuis une décennie une politique conforme aux besoins des intérêts financiers français et européens. Avec, à la clef, une répression des militants syndicaux - ceux de la CGT et de Solidaires en premiers - pour faire taire toute contestation. 

    Et comme le temps presse, Macron veut accélérer les choses, d'où le recours évoqué aux ordonnances. 

    Les cheminots vont riposter. Le succès de leurs actions va dépendre d'abord de leur ampleur, mais aussi et surtout,  du soutien de la population. Non seulement par solidarité, mais également en fonction des menaces qui pèsent sur la SNCF en temps que service public, un bien qui appartient à la France et à son peuple. 

     

    NOTES :

    *Selon Wikipédia, l'équipe dirigeante de SNCF est regroupée autour de Frédéric Saint-Geours, président du Conseil de Surveillance, Guillaume Pepy, président du Directoire et de Patrick Jeantet, président délégué du Directoire.

    ** Le 27 février 2008, c'est Nicolas Sarkozy, alors président de la République, qui nomme Guillaume Pepy à la présidence de l’entreprise publique,  lui fixant comme priorités dans sa lettre de mission le développement et la modernisation de l'entreprise et lui demandant de faire en sorte que la SNCF entre « tout entière, dans l'ère du développement et de la concurrence ». 

     

    Tag(s) : #Services publics

  • 1 Mars 2018

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    Invitée du 7-9 de France inter, elle a sans doute ressorti les  vieilles notes de son père pour parler du travail. Elle s'est posée aussi en la Jeanne d'Arc des cheminots contre la politique gouvernementale en la matière. Mais bien vite, pour  l'héritière des idées de son père, et elle le sera un jour de son immense fortune, chassez le naturel, il revient au galop.

    Que voulez-vous, son instinct actuel de millionnaire est toujours plus fort dans la lutte des classes. Sur le statut des cheminots, elle affirme sur France inter « qu’il puisse y avoir des évolutions [comme] la prime charbon… c’est vrai qu’on se dit que c’est obsolète ». Fermez le ban.

    Et lorsque ladite radio demande à la championne toutes catégories nationale et populaire si elle sera dans la rue le 22 mars, lors de la manif générale des travailleurs du rail et des usagers de la SNCF à Paris, Marion Le Pen, de son nom de guerre Marine, répond: « Non mais, moi vous savez la manifestation c’est quelque part une culture de gauche. »

    Et sur les syndicats: "Moi ce que j’aimerais bien, encore une fois, c’est que les Français se posent des questions sur les syndicats qui sont censés les représenter. Et sur la complicité de ces syndicats dans la situation dont ils souffrent aujourd’hui ». Bon, le journaliste ne lui a pas demandé si le patronat n'était pour rien dans la crise que subit le peuple de France. Et comme lui aussi possédait de mauvaises fiches, il ne lui a pas rappelé que durant l'occupation nazie de la France, l'extrême droite au pouvoir avec le soutien des forces de l'argent fonda la Charte du travail liant dans une même organisation patrons et travailleurs. Pour les conséquences que l'Histoire a démontré depuis.

    Bien, ceci dit, contre la loi El Khomri édictée par la gôche en 2016, la cheffe de l'extrême droite française fut d'un silence assourdissant. Mais qui ne dit mot, consent. Non?

    Pour ceux qui s'intéresse à l'histoire sociale du chemin de fer, la prime charbon n'existe plus à la SNCF depuis l'extinction des machines à vapeur fonctionnant au charbon.

    Après la guerre, nombre d'entre elles furent remplacées déjà par des machines à vapeur dont la chaudière fonctionnait au fioul. En ce qui concerne la vapeur fonctionnant par du charbon, seuls les chauffeurs qui alimentaient la chaudière à grands coups de pelle, en bénéficiaient. Ainsi, les conducteurs vapeur, les conducteurs électriciens, tout comme ceux des autorails ne bénéficiaient pas de ladite prime. En fin de compte, ladite prime n'était attribuée de plus en plus qu'à un petit nombre d'agents de conduite.

    Mais lorsqu'elle battait à plein régime, la prime charbon était calculée sur la capacité à économiser le charbon lors de la conduite du train. Pour cela, la SNCF avait estimé une consommation de référence pour un trajet donné. Si la machine avait économisé x tonnes de charbon, le chauffeur, responsable du foyer et de son entretien, recevait une part de l'économie réalisée. Il ne s’agissait donc que d’une prime basée sur la performance individuelle. De quoi ravir les politiciens et leurs experts économiques d'aujourd'hui partisans d'une rémunération à l'objectif!

    CAPTURE D'ECRAN

    CAPTURE D'ECRAN


  •   En désaccord avec le traitement médiatique du conflit syrien, Noël Mamère quitte Le Média

    En désaccord avec le traitement médiatique du conflit syrien, Noël Mamère quitte Le Média© JEAN-FRANCOIS MONIER Source: AFP
    Noël Mamère
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    Noël Mamère a annoncé le 26 février qu’il quittait Le Média en signe de protestation face au traitement réservé au conflit syrien dans le JT du 23 février et en soutien au récent départ de la présentatrice Aude Rossigneux.

    Un mois après son lancement par des proches de La France insoumise, Le Media, dont l’objectif affiché est de présenter l’actualité sous une forme alternative, connaît ses premières dissensions. Après le départ de la présentatrice Aude Rossigneux, qui a dénoncé un «traitement violent et brutal» en référence à la décision de son employeur de mettre fin à sa période d’essai, Noël Mamère a également décidé de quitter la webtélé.

    «Je considère que la tournure qu'est en train de prendre cette confrontation […] ne me plaît pas. Je suis venu librement au Média pour procéder à ces interviews mais je n'y suis pas venu pour me retrouver dans cette atmosphère que je déplore, et qui me contrarie beaucoup», a déclaré l’ancien député écologiste de la Gironde sur France Culture quelques heures après avoir annoncé son départ le 26 février.  

    Lire aussi : Interrogé sur le sort des abeilles, Noël Mamère répond «je n'aime pas Poutine» (VIDEO)

    Le traitement du conflit syrien, l’autre pomme de discorde

    Une première raison avancée qui est suivie par une seconde, d'une autre nature : «Je n'accepte pas qu'on établisse un parallèle dans le conflit syrien meurtrier, entre les responsabilités du "boucher de Damas" et celles de ses opposants.» Une attaque à peine voilée contre l'analyse du chroniqueur spécialiste du Moyen-Orient du Média, Claude El Khal, au sujet de la situation dans la région syrienne de la Ghouta orientale, thème principal du journal télévisé de 20h diffusé le 23 février. 

     

     

    Dans sa chronique, le journaliste libanais présentait les différentes perspectives existant sur le conflit syrien, mettant face à face la version défendue par les partisans du président syrien et celle soutenue par ses opposants.

    Abordant la situation dans la Ghouta orientale, il a ainsi rappelé la présence de combattants islamistes issus du Front al-Nosra, groupe rebelle lié à al-Qaïda, ou encore de l’Armée de l’islam. Par ailleurs, il a dénoncé un double discours chez les gouvernements et les médias occidentaux qui utilisent encore à profusion le terme «rebelles» pour désigner les combattants issus du Front al-Nosra, pourtant officiellement considéré comme une organisation terroriste par de nombreux pays.

    Il a en parallèle dénoncé les victimes civiles résultant des bombardements «quels que soient ceux qui bombardent» et a estimé que «le gouvernement de Bachar el-Assad et ses alliés sembl[ai]ent bien décidés à reprendre chaque parcelle du territoire syrien quel que soit le coût en vies humaines».

    Enfin, il a souligné que les informations et images rapportées par l'Observatoire syrien des droits de l'homme, incarné par une seule personne vivant en Grande-Bretagne, largement relayées par les agences de presses occidentales, ne pouvaient être vérifiées car elles n'émanaient que des combattants qui tiennent la Ghouta et ne montraient jamais «les djihadistes d'al-Nosra». Refusant de la même manière d'utiliser les documents fournis par les agences de presse du gouvernement syrien, comme Sana, il a décidé de ne pas diffuser d'images du conflit pour éviter de faire «du sensationnalisme», mais au contraire faire «de l'information». «Cette guerre est sanglante. Nous ne souhaitons pas y participer», a-t-il conclu. 

    Lire aussi : Bassam Tahhan sur les rebelles de la Ghouta : imaginez «10 000 terroristes en banlieue» de Paris

    La Ghouta orientale, l'un des derniers bastions islamistes en Syrie

    Située dans la banlieue Est de Damas, la Ghouta est le dernier bastion islamiste dans cette région. Un territoire encore contrôlé par différents groupes islamistes notamment Jaïch al-Islam, le Front al-Nosra, Ahrar al-Sham ou encore Faylaq al-Rahmane, qui ne cessent de mener des bombardements contre les civils à Damas. Le 18 février, les forces gouvernementales syriennes ont lancé une vaste opération militaire afin de mettre fin à ces frappes et de reconquérir la zone.

    Les pays occidentaux accusent les autorités syriennes de vouloir massacrer les civils, mais Damas répond que les djihadistes retiennent en otage la population. Le 23 février, les groupes rebelles de la Ghouta avaient en effet fait part de leur refus de toute évacuation des civils de la zone.

    La Russie a ensuite annoncé la mise en oeuvre d'une trêve quotidienne à partir du 27 février, qui devait permettre d'instaurer des corridors humanitaires. Mais l'ONU a confirmé la reprise des combats.

    Lire aussi : Accusations d'attaques au chlore en Syrie : Florence Parly concède n'avoir ni preuve ni certitude