Les militants marocains pour le boycott d’Israël ont fini par avoir gain de cause. Un festival de danse organisé par une danseuse israélienne, et programmé du 3 et le 10 juin à Marrakech, a été annulé. (...)
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Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
http://www.europalestine.comPublication CAPJPO - Europalestine -
Une danseuse israélienne privée de danse du ventre au Maroc
10 juin 2019 -
Un juge américain refuse la livraison d’un Palestinien aux tortionnaires israéliens
10 juin 2019Un juge américain a ordonné le retour aux Etats-Unis d’un citoyen palestinien sur le point d’être livré aux autorités israéliennes, évoquant le risque de torture encouru par cet homme s’il était remis au régime de l’apartheid.
La décision du magistrat est intervenue in (...) -
Concours de fascistes pour le pouvoir en Israël
10 juin 2019Un bon résumé, par Jonathan Cook, de l’embrouillamini électoral israélien actuel. Pour les Palestiniens, c’est le choix, parmi les divers prétendants au trône de ce régime d’apartheid, entre la peste et le choléra.
Netanyahu a été forcé de (...) -
Un autre infirmier de Gaza tué par l’armée israélienne
10 juin 2019Mohammad Jadeili, Palestinien de Gaza, âgé de 36 ans, vient de succomber ce 10 juin aux graves blessures infligées par des tirs de snipers de l’armée d’occupation israélienne le 3 mai dernier, alors qu’il exerçait ses fonctions de personnel (...)
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Libérez Mahmoud, 14 ans, amputé et détenu par Israel !
10 juin 2019Mahmoud Salah, 14 ans, jouait tranquillement à l’extérieur de sa maison dans son village de Al-Khader au sud de Béthléem, quand l’armée d’occupation (...)
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Un film à ne pas rater : c’est ce samedi à la librairie Résistances
9 juin 2019"Enfance palestinienne au pied du mur" : un film réalisé en Palestine occupée, et qui sera projeté ce samedi 15 juin à 18 H à la librairie Résistances, en présence d’Abdelfattah Abusrour, directeur du centre culturel et théâtre Alrowwad dans le camp de réfugiés d’Aïda à Bethleem ! (...)
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"le Président des Ultra-Riches" : présentation et débat avec Monique Pinçon-Charlot à la librairie Résistances
8 juin 2019Retenez la date et venez nombreux : jeudi prochain 13 juin, Monique Pinçon-Charlot viendra présenter son dernier livre "Le Président des Ultra-Riches, une chronique du mépris de classe dans la politique d’Emmanuel Macron". (...)
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Syrie : à quand un djihadiste au cimetière national d'Arlington ?
La glorification d'un djihadiste syrien par les médias occidentaux est un signe que la guerre est loin d'être terminée Par Moon of Alabama − Le 9 juin 2019 Les médias occidentaux publient actuellement des notices nécrologiques à la gloire d'un "rebelle" syrien, connu pour son sectarisme extrême et pour son appartenance à un groupe ...
Guerres hybrides : 6. Stratagème pour endiguer la Chine (VII)
Par Andrew Korybko – Le 29 juillet 2016 – Source Oriental Review Partie 1 Partie 2 Partie 3 Partie 4 Partie 5 Partie 6 La partie insulaire de l’ANASE tient un rôle stratégique dans la présidence des points d’accès maritimes vers la région et au-delà, mais c’est la stabilité politique de l’ANASE ...
À l’aube de la guerre, ou pourquoi l’Iran ne pliera pas
Par Yossef Bodansky − Le 19 mai 2019 − Source oilprice.com Le 14 mai 2019, une semaine après que le secrétaire d’État américain Mike Pompeo eut visité Bagdad et rencontré un haut fonctionnaire iranien, le chef suprême de l’Iran, l’ayatollah Seyyed Ali Khamenei a défini la trajectoire de la crise actuelle que traverse actuellement ...
Rumeurs de guerre
Par James Howard Kunstler – Le 27 Mai 2019 – Source kunstler.com La course à l'effondrement économique est une compétition internationale qui suscite des menaces et des tensions qui font naître le spectre de la guerre. Le centre en cours d'implosion de cet effondrement est celui de la technocratie industrielle basée ...
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Eh non, le compteur Linky n'est pas gratuit : voici quand et combien vous allez le payer
Par Magazine MariannePublié le 11/10/2018 à 15:30Si ce n'est pas déjà fait, un technicien d'Enedis va un jour frapper à votre porte pour vous proposer d'installer son nouveau compteur électrique, le fameux Linky. Parmi les diverses inquiétudes, voire résistances que soulève le boîtier fluo, une question revient souvent : sa pose est-elle gratuite ? Sur le moment, oui, vous n'aurez rien à débourser et ne recevrez pas de facture. Mais à un moment donné, une contribution vous sera bel et bien prélevée… Explications.
Depuis l'automne 2015 et jusqu'en 2021, Enedis tente de déployer 35 millions de compteurs "intelligents" sur tout le territoire. Si l'installation, dont le coût unitaire est évalué à 130 euros, n'est pas immédiatement facturée aux ménages, Enedis n'a accepté que temporairement de prendre en charge la totalité des frais de mise en place. In fine, les particuliers finiront bel et bien par y participer en s'acquittant d'une contribution au titre du "coût du déploiement".
15 euros par an pendant 10 ans
La Commission de régulation de l'énergie (CRE) et le distributeur d'électricité ont en effet décidé d'appliquer un système de "différé tarifaire". En clair, il est prévu de ne faire payer les ménages qu'à partir de 2021, quand ils auront enregistré leurs premières économies "grâce à cette nouvelletechnologie", fait valoir Enedis, ce qui permettra "d'équilibrer les dépenses".
Selon les calculs de l'UFC-Que choisir, les particuliers auront à "payer 15 euros par an pendant dix ans pour permettre à Enedis d'installer un compteur". Soit jusqu'en 2031. Mais au bout du compte, l'opération sera-t-elle "neutre"pour les particuliers, comme l'affirme la CRE ? Selon une étude publiée le mois dernier par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), Linky permettra aux foyers de faire des "économies de 7,7% en moyenne" qui "pourront aller jusqu’à 10% pour les plus gros consommateurs". Très concrètement, un particulier qui occupe un studio sans se chauffer à l'électrique et qui s'acquitte d'une facture d'électricité annuelle oscillant entre 247,80 euros et 262,32 euros, en fonction de son fournisseur d'électricité, devrait donc pouvoir économiser entre 19 et 20,20 euros. De leur côté, des occupants d'une maison de plus de 80 m2 qui se chauffent à l'électricité, économiseront entre 189,92 euros et 197,92 euros, sur une facture de près de 2.500 euros. Si l'on se fie à ces prévisions, l'opération semble donc effectivement gagnante pour le consommateur.
Mais le principal gagnant restera tout de même Enedis… En effet, les financements reçus par le distributeur d'électricité pour pouvoir prendre en charge le coût d'installation des compteurs ont été obtenus à des conditions très favorables. Selon un rapport de la Cour des comptes, si la pose de 3 millions de compteurs a été financée à partir de fonds propres d'Enedis, le reste l'a été via un "prêt intragroupe au taux de 0,77% adossé à un financement de la Banque européenne d'investissement (BEI)" accordé au distributeur d'énergie. Or, le taux d'intérêt de l'avance faite aux ménages est quant à lui fixé à 4,6%, relèvent les magistrats. D’après leurs calculs, l’opération représenterait donc "une marge de 2,8%" pour Enedis.Pour les usagers, cela devrait correspondre à un "surcoût de 506 millions d’euros sur la période 2014-2031".
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VENEZUELA • Ecrivain et journaliste Romain Migus était invité en Suisse par «Gauchebdo» pour une conférence sur le Venezuela, pays où il a vécu dix ans. Le spécialiste des révolutions latino-américaines et de la guerre médiatique a répondu à nos questions.
Nicolas Maduro lors de son investiture comme président du Venzuela en janvier dernier. (LDD)Depuis quelques semaines, on n’entend peu parler du Venezuela. Quelle est la situation dans le pays aujourd’hui?
Romain Migus Après le show de l’aide humanitaire du 23 février 2019 et surtout la tentative de coup d’Etat du 30 avril suivant, la situation s’est un peu calmée au niveau politique. En ce moment, des délégations de l’opposition et du gouvernement sont en Norvège pour favoriser un dialogue et parler de thèmes politiques, économiques et électoraux. Néanmoins, sur le terrain, la lutte continue d’être féroce car le pays est soumis depuis plusieurs années à une guerre de quatrième génération.
Quelles sont les caractéristiques d’un tel conflit?
La guerre de quatrième génération a été théorisée par des stratèges militaires états-uniens en 1989, deux ans avant que les USA livrent une guerre pourtant «traditionnelle» à l’Irak. Il s’agit d’un affrontement, qui n’est pas seulement militaire, mais qui touche de nombreux aspects. Il n’y a pas de hiérarchie ou de commandement unifié, mais plusieurs fronts qui ont euxmêmes une certaine autonomie entre eux. La guerre de quatrième génération ne fait pas de distinction entre civils et militaire, c’est une guerre contre le peuple dans sa globalité. Les opérations psychologiques ont une importance tactique particulière et s’appliquent autant à l’interne qu’à l’externe, c’est-à-dire à l’opinion publique mondiale. C’est très grave, car cela signifie que les cerveaux des gens, par exemple des citoyens suisses, sont des cibles militaires d’un théâtre d’opération en cours. Enfin, les opérations militaires répondent à des tactiques de guerres asymétriques.
Comment cela se traduit-il au Venezuela?
On observe cinq fronts. Le premier est le front institutionnel, c’est-à-dire la création de pouvoirs parallèles qui prétendent se substituer aux pouvoirs légitimes de l’État vénézuélien. L’opposition a par exemple créé un Tribunal suprême de Justice parallèle au
Panama, et il y a évidemment le président autoproclamé, Juan Guaidó. Le deuxième front est diplomatique et tente d’isoler le Venezuela sur la scène internationale. Le front médiatico-psychologique vise, lui, à conquérir l’opinion publique nationale et internationale, au moyen notamment de fake news. Il y a aussi un front économique: le Venezuela est soumis à une guerre économique et à un blocus financier criminels, qui se sont traduit dans les deux dernières années par 40’000 morts selon les économistes étatsuniens Jeffrey Sachs et Mark Weisbrot. Enfin, le cinquième front est militaire et s’exprime par une guerre asymétrique, c’est-à-dire la lutte entre des groupes irréguliers et l’armée nationale.
La guerre a donc déjà commencé au Venezuela?
Les gens ont une vision de la guerre faite d’images d’horreur, de bombardements, d’intervention de troupes au sol, de la capture ou de l’assassinat du méchant, de l’occupation et la pacification du territoire. C’est une forme de guerre qui n’aura pas lieu au Venezuela. En réalité, la guerre a déjà débuté, mais sous une forme qui n’est pas forcément compréhensible au premier abord. On est plus proche du modèle des guerres de Libye ou de Syrie. Il y a déjà aujourd’hui la tentative de constituer une armée parallèle avec des déserteurs qui ne répondraient plus à Nicolas Maduro, mais à Juan Guaidó. Selon les chiffres de l’opposition elle-même, il n’y a eu qu’environ 1000 déserteurs de la police et de l’armée, ce qui représente à peine 0,2% des forces de défense et de maintien de l’ordre. A ces déserteurs s’ajouteront aussi des civils, des militants de l’opposition. Les guarimba, ces épisodes insurrectionnels qui se sont déroulés en 2014 et 2017, étaient en fait une répétition pour morceler le pays. Les civils qui ont participé aux guarimba pourraient très bien ensuite prendre part à des conquêtes de portions de territoire vénézuélien. Aux déserteurs et aux civils vient s’ajouter la pègre locale, qui est déjà en lutte avec l’État pour le contrôle du territoire, notamment des zones stratégiques où transitent les marchandises agricoles, l’élevage, mais aussi la drogue. Le 4 mai, une bande criminelle appelée Tren de Aragua a tendu une embuscade et assassiné un général d’aviation vénézuélien, qui était aussi le directeur de l’école des troupes professionnelles, ainsi que quatre officiers, en blessant quatre autres. Ces offensives sont déjà en cours, ainsi que plusieurs sabotages visant à détruire les installations industrielles du pays.
Qu’en est-il des éléments étrangers?
Erik Prince, le fondateur de l’armée privée Blackwater, voulait mobiliser 5000 mercenaires pour Juan Guaidó. Fin novembre 2018, Nicolas Maduro avait dénoncé le fait que 734 militaires s’entrainaient sur les bases de Tolemaida en Colombie et d’Eglin en Floride. En février dernier, le gouvernement bolivarien a dénoncé la venue de plusieurs dizaines de mercenaires d’Amérique centrale pour agresser le Venezuela. En plus des mercenaires, il y a les paramiliataires colombiens, liés à l’oligarchie de leur pays, très actifs à la frontière et sur le couloir andin-côtier, qui ne manqueront pas d’agresser et d’essayer de conquérir des portions de territoires au Venezuela. Enfin, il y a l’implantation de forces spéciales américaines dans certaines îles des Caraïbes, qui a été dénoncée par Cuba.
Quel est le but poursuivi par ce front militaire?
L’idée n’est pas tant de conquérir tout le pays, ni peut-être même de renverser le président Nicolas Maduro. Le gouvernement bolivarien a une armée bien entraînée, avec un équipement militaire de pointe, notamment dans sa défense anti-aérienne. De plus, il a aussi l’armée de réserve, la milice nationale bolivarienne constituée de deux millions de civils pouvant être armés très rapidement et qui sont entraînés aux techniques de guerre asymétrique. Le gouvernement a donc de quoi résister. Le but des États-Unis est plutôt d’aller envahir des zones stratégiques du pays, d’empêcher l’acheminement des aliments ou des biens de consommation vers les grandes villes situées sur la côte, de morceler le pays pour rendre impossible, et durablement, l’administration du territoire et des ressources naturelles par l’État.
Que peuvent faire ceux qui, en Suisse ou ailleurs, veulent s’opposer à cette guerre?
Dans cette guerre de quatrième génération, les citoyens du monde entier sont considérés comme des cibles militaires, ce qui est inadmissible. Je crois que la première action est de lutter pour que nous ne soyons plus bombardés médiatiquement. Nous sommes nous-mêmes des victimes de la guerre médiatique. Face à cela, nous pouvons donner un autre son de cloche: faire connaître le blocus, la réalité du Venezuela, sa démocratie participative, son peuple en mouvement qui est acteur permanent de la prise de décision politique. Pas besoin d’aller parler à la radio! On peut en discuter avec son voisin, son collègue de travail, rejoindre les groupes de solidarité qui sont déjà actifs, faire un travail sur les réseaux sociaux. C’est cela dont le Venezuela a le plus besoin de notre part: que nous soyons tous acteurs dans cette guerre de l’information
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Brésil: Les enquêteurs anticorruption auraient conspiré pour empêcher le retour au pouvoir de Lula
BRESIL Le site d’investigation The Intercept, cofondé par le journaliste américain Glenn Greenwald, a lancé ces accusations après avoir eu accès à leurs échanges privés
Publié le 10/06/19 à 07h32 — Mis à jour le 10/06/19 à 14h59
Des supporters de l'ancien président brésilien Lula, emprisonné pour corruption, réclament sa libération, le 8 juillet 2018. — Denis Ferreira Netto/AP/SIPALes responsables de l’enquête anticorruption Lava Jato (Lavage express) au Brésil ont manœuvré pour empêcher le retour de l’ex-président de gauche Lula au pouvoir l’an dernier, rapporte dimanche The Intercept, sur la base de fuites potentiellement explosives.
Le site d’investigation – cofondé par le journaliste américain Glenn Greenwald – a lancé ces accusations après avoir eu accès à un grand volume de messages privés échangés notamment sur Telegram entre les procureurs et le juge Sergio Moro, chargé de Lava Jato, et obtenus par « une source anonyme ». Ce juge est aujourd’hui le ministre de la Justice du président d’extrême droite Jair Bolsonaro.
« Alors qu’ils ont assuré longtemps qu’ils étaient apolitiques et motivés par la seule lutte anticorruption, les procureurs de Lava Jato ont en fait comploté entre eux sur les moyens d’empêcher le retour au pouvoir de Lula et de son Parti des travailleurs », écrit le site
« De sérieux doutes sur les preuves de la culpabilité de Lula »
Si leur véracité est établie, ces échanges battent en brèche la supposée nécessaire impartialité du juge Moro, qui aurait fourni des indications et conseils aux procureurs contre sa bête noire, l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva, qu’il avait condamné en première instance en 2017.
D’autres messages révèlent aussi que les procureurs avaient eux-mêmes « de sérieux doutes sur des preuves suffisantes de la culpabilité de Lula » dans l’affaire de l’obtention d’un triplex en pots-de-vin et qui l’a finalement envoyé en prison, pour huit ans et dix mois après une révision récente de sa peine.
Sa condamnation a empêché Lula, le favori des intentions de vote à l’époque, de se représenter à la présidentielle d’octobre dernier. Il n’a cessé de clamer son innocence et de se dire victime d’une machination politique destinée à l’empêcher de se présenter à un troisième mandat, après ceux de 2003 à 2010.
Des archives « parmi les plus importantes de l’histoire du journalisme »
Dans une réaction rapide, les responsables de Lava Jato se sont dits « sereins » face aux accusations selon lesquelles ils auraient agi dans l’illégalité, tout en déplorant d’avoir été « les victimes de l’action criminelle d’un pirate qui a mené des activités très graves contre le parquet, la vie privée et la sécurité de ses membres ».
Le juge Moro a de son côté « déploré la non-identification de la source (…) responsable du piratage criminel des portables des procureurs » et le fait que le site « ne soit pas entré en contact (avec lui) avant la publication, ce qui est contraire aux règles de base du journalisme ». Sur le fond, il dément toute irrégularité dans son comportement lors de l’enquête tentaculaire qui a permis de mettre sous les verrous des centaines de responsables politiques et économiques en cinq ans.
« Les archives obtenues par notre site sur le Brésil sont parmi les plus importantes de l’histoire du journalisme », a écrit dans un tweet le cofondateur de The Intercept, Glenn Greenwald. « Elles contiennent des secrets explosifs sous la forme de chats, d’audios, de vidéos, de photos et autres documents » sur le procureur de Lava Jato, Deltan Dallagnol, le juge Moro et « un grand nombre de responsables qui continuent d’exercer une importante influence politique et économique au Brésil et dans d’autres pays ». « Nos reportages ne font que commencer », a-t-il averti.